Méli-Mélo

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PDV Lorenzo :

Il a fallu peu de temps pour que tous ensemble mettons rapidement une stratégie en place. Malgré cela, il nous manquait pas mal d'information sur cette chasse et surtout sur son comportement. Je me suis mis en route vers cette maudite forêt. Mon rythme cardiaque s'accélérait, ma boîte crânienne prête à éclater, et mes mains serrant le volant, je filais à toute vitesse sur une route éclairée uniquement par la lune. J'imaginais à toutes les manières possibles de les tués.

Je ne supporterais pas qu'un autre homme la touche, la regarde, ou pire encore qu'ils la couvrent de coups. Si c'est le cas, je prendrais un malin plaisir à broyer leurs os en fine particules.

Je m'efforce de rester calme, en luttant contre mes pulsions de psychopathe. Je n'avais que des envies meurtrières :

· Les coupées en petit morceaux,

· Les démembré

· Les trancher en fine tranche...

Tout se désir devait rester en moi, car je ne voulais pas lui ressembler.

C'est trop tard pour ce côté-là.

La vibration de mon téléphone me fait sortir dans mes pulsons, ils fessaient un appel groupé :

- Vous avez de bonne information à me transmettre ?

- Oui, j'ai pu échanger avec la « Familia », Fernand nous suivait partout et connaissait tous nos allers-retours. Nous étions simplement une distraction pour lui, comme s'il regardait une série. Il se servait de toi ainsi que de la famille Suarez. Dit Rafael.

- Il y a un problème quelque part ! Son unique objectif est de transformer ses enfants en machines à tuer mais aussi tous les membres, et que la mafia de Madrid adhère à ses loisirs qui sont inhumains. Mon soi-disant mariage avec Lila n'a pas pour objectif de la rendre jalouse...

- Garde à l'esprit qu'elle est à la tête du plus imposant gang au Japon. Elle a des relations haut placées en Italie, en Corée, à Londres et je ne sais où encore. M'informa Miguel.

- Et si Mia n'est qu'un simple pion parmi tous les autres, même Lila est un pion ! Dit Valentina

- En fin de compte, tout cette mise en scène n'est que d'autre une diversion, en particulier toi Lorenzo. Dit Anna

- Cela ne présente aucun intérêt ! Pourquoi ? Dit Enzo

Quel est le but de tout ça ? sans doute que son passé le rattrape.

Je m'apprêtais à répliquer lorsque Emilio prit la parole.

- J'ai en ma possession la liste des femmes pour ce soir, en plus du nom de leurs vendeurs et de leurs chasseurs. Lorenzo, je crains que nous sommes en train de plonger dans un gouffre !

En l'écoutant cités les noms, je constate que nous sommes vraiment dans un gros merdier.

Il met en guerre tous les gangs et les puissants mafieux que j'ai pu avoir un contrôle et accord de paix.

C'est clairement une mission suicide, à moins qu'il essaie de me faire passer pour un minable.

Désormais, nous devons gérer tout cela avant que la bombe explose, sinon nous serons confrontés à une grande guerre avec des victimes innocentes sous les bras.

Je devais agir vite et efficacement, j'expose ma stratégie élaborer dans le jet, je n'étais pas sûr de moi mais c'était mon dernier recours.

Afin de limiter les dégâts, je demande systématiquement aux filles d'être nos oreilles et nos yeux.

- Ok, écoutez bien mes instructions, Rafael note bien les noms : agent Cheryl Philips, Edward Sentinelle, Scott Evis, Kwang Lee, Wang Mei, Hadès Valenzo, Curtis Smith, Cécilia Cortese. Pour les armes chez Sergio et Gonzales, ce sont les mieux. Indique leurs que c'est le moment attendu, ils savent de quoi je parle. Les filles, pour vous c'est un déplacement de l'internat aux cuves, aucun enfant doit mourir. Je pense qu'il ne veut pas reprendre les rênes mais comblé sa vengeance.

- C'est noté. Disent-ils.

- Bon tout le monde c'est quoi faire, je vous donne rendez-vous dans 30 minutes. Surtout, pas trop de victimes innocentes.

Puis je coupai la communication, et augmenta la vitesse de plus en plus. Je devais y être avant qu'il les pourchasse.

Une fois arrivée, je pouvais sentir tous mes muscles tendus, je commencé à fumais mes cigarettes une après l'autre, craignant que le pire ne se produise. J'étais angoissé à l'idée de ne pas réussir, de me faire prendre au piège, de la perdre, de ne pas être à la hauteur. Cette peur, qui m'envahit, me dévore de l'intérieur. Je n'aimais pas qu'on me voit ainsi, vulnérable.

Il me fait attendre au moins 20 bonnes minutes, pendant ce temps j'aperçois ces chiens en chaleur. L'un d'entre eux prévient de ma présence à mon père avant que je dérape, ce dernier s'empressa de venir, en la tirant derrière lui.

- Te voilà enfin ! Si tu n'avais pas été là, nous aurions commencé sans toi, mais cela aurait été moins drôle. Et elle marié à Axel, Pas vrai chaton ?

De loin, je pouvais remarquer son visage couvert d'hématomes, mais ce qui me mettais hors de moi c'est qu'elle portait juste une culotte et un tee-shirt.

Je perdis pieds, je me saisis de mon arme et tira entre les jambes de l'homme qui n'arrêter pas de la reluquer et de ce toucher.

- Putain ! Mec t'est complètement malade.

- On ne la regarde pas,  On ne s'excite pas sur son corps !!

Et je mis fin à sa douleur avec une balle dans la tête.

- On ne tue personne avant le départ, Tu commenceras 15 minutes après eux.

Imbécile qu'est ce que tu as fait !

Je ne vais le laisser baver sur elle !

Je lançai un coup de poing sur ma voiture.

Toi, je vais creuser ta tombe ici, Cher Père.





















Nous Deux IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant