Ce fut court mais intense

CHAPITRE 3

Les garçons étaient rentré chez Sidjil, et c'est mis en cercle autour de la table basse, pour mieux se voir et échanger.

- il sont où t'es parents ? Demande grim.

- ma mère elle travaille de nuit et mon père et mort.

C'était la première fois que Sidjil prononcer ses de mots ensemble, "père" et "morts" il ses pas pourquoi il a dis ça si spontanément ses comme si il pouvait se confier a eu, alors que il y a encore quelques heures il se connaissait pas.

- je suis désolée pour toi. Repris t'il.

- ses pas grave t'inquiète.

- sa vous dit on commende a mangé. Nicolas était venu en aide a son meilleur amis. Il avait vue a travers ses yeux. Il n'avait pas besoin de mots pour communiquer leur amitié était forte il savait qu'il pouvait compter l'un sur l'autre.

Il finir par commander il parler de tout et de rien il voulait juste apprendre à se connaître.

Sa fessait plus de 2h qu'il discuté quand Elian et Mathis devait partir. Il disent au-revoir a tous le monde. Puis se fut au tous de Nicolas de partir.

Maxime et la debout au milieu de l'appartement du plus grand a se demandé pourquoi il reste la et qu'est-ce se qui l'empêcher de partir. Et il regarde Sidjil fermer la porte.

Sidjil lui le détail maxime lui non plus ne sais pas pourquoi il et resté mais il et content qu'il soit et sa empêche ses pensées de venir lui remplir la tête.
Il et la lui aussi debout il ne ses pas pourquoi, mais il s'approche lentement vers le plus petit, qui lui n'a toujours pas bouger.

Il sont cas quelques centimètres l'un de l'autre il peuvent sentir l'air de l'autre se posé sur leur lèvres. Leur respiration sont saccadé ils essayent t'en bien que mal de la contrôlé. Et dans un geste incontrôlé Sidjil posé ses lèvres sur celle de Maxime. Puis il se retire pour voir  le réaction de celui ci. Il voit rien  il essaye d'apercevoir même une once de colère, mais apsolument rien. Il baisse la tête ne sachant pas quoi dire

Maxime lui et choqué il ne ses pas quoi dire, et dans un élan de courage il prend le tête de Sid entre ses mains et dépose ses lèvres.

Le baisé s'approfondit, se n'ai plus simplement un smack ses bien plus et il en sont conscients.

Il se sépare a bout de souffle et se regarder dans les yeux maxime senti des milliers de chenilles devenir de magnifiques papillons qui dansent dans ventre.

- Je doit y allez. Dis t il a contre cœur. Il commence a partir quand il sens un poids sur sont poignet ses Sidjil qui le retené.

- s'il te plaît me laisse pas, j'ai besoin de toi. On pouvez entendre de la tristesse dans sa voix.

- ok mais laisse moi prévenir ma mère. Maxime ne pouvait pas le laisser seul dans cette état il voulait comprendre et l'aider.

- oui pas de soucis, merci maxime.

Une fois les parents de Maxime prévenu et un guerre d'arguments pour savoir qui dormait dans le canapé et dans le lit. Ces finalement Sidjil qui avait réussi a convaincre maxime de prendre sa chambre.

Sid se demander se qui venait de se passer il avait embrassé un garçon et se n'aitai qu'autre maxime et lui il l'avait embrassé derrière. Mais il voulait plus il voulait pas finir cette soirée sur ça il le voulait près de lui et pour éviter que ses pensées viennent le hanté.

Il toqua à la porte de sa chambre et il entendit la voix du plus petit lui dire qu'il pouvait entré.

- tu dors pas ?

- toi non plus a se que je vois. Dis t'il en se dirigeant vers le fenêtre.

- qu'es ce que tu fais, il fais super froid dehors.

- t'inquiète j'en n'ai pas pour longtemps.

Il sortit un cigarette de sont paquet et la mit entre ses lèvres. La fumé sorti de ses poumons puis se retourne vers le plus petit qui l'avait appelé.

- pourquoi tu m'a demandé de rester ?

- parce j'avais besoin de compagnie.

- et pourquoi ?

- tu pose beaucoup de questions toi.

- ho aller répond.

- se juste que j'aime pas être seul.

- parce que tes pensé refont surface et tu n'arrives plus a dormir et tu ne sais plus quoi penser.

Sidjil se retourne un deuxième fois vers lui, comment avait t'il réussi a découvrir cette facette de lui.

- comment tu sais ?

- sa m'arrive aussi des fois.

- je peux dormir avec toi ?

- ouais vien.

Ils sont tous les deux couché sur le dos a contempler le plafond qui était visiblement très intéressant.

- Maxime.

- Sidjil.

- et si on devenait de plan Q ?