dis moi de rester

Chapitre 14

Angelio n'a enlever sa main qu'à la fin du repas quand son père s'est levé pour dire aurevoir à tout le monde. Il a proposer de ramener nonno mais j'ai dit que j'allais le ramener chez lui. On dit aurevoir à tout le monde. 

- Amélia, demain, tu pourra venir chez moi? Il faut qu'on parle de quelque chose.

- Ho oui bien sûr, c'est important?

- Euh assez oui 

- Pas de soucis, je serais là à 10h!

Je sors et raccompagne nonno chez lui. Sur le chemin de la librairie jusqu'a chez moi, je sens une présence comme si on m'observait. Quand je me retourne, il y a bel et bien quelqu'un. Je vais plus vite, pusi encore plus vite. Quand je me rends compte que cette personne me suit encore et qu'elle accélère aussi, je commence à courir en talon. Je fuis, je ne fais plus attention à qui est dans la rue et je fonce dans quelqu'un....

...

...

Le vide dans ma tête, il aurait fallu que je ne boivent pas autant.

- Léa? Léa? Léa! crie l'homme que j'ai percuter

- Oui c'est moi? et toi?

- Nico, tu sais ton sauveur! 

- Hahaha si Angelio t'entendait il ne serais pas content

- Pourquoi?

- Je peut rien dire mais il est jaloux de toi je pense

- Pff, n'importe quoi, c'est le préféré de mon père et de ma soeur...

- Oui mais pas le préféré de tout le monde! 

- Dis pas n'importe quoi, tu le préfère aussi

- chut et embrasse moi 

- Euh Léa? Tu t'entends?

- Mhh tu me trouves pas belle? C'est à cause de mes yeux? Je les hais aussi tu sais. Je suis tellement moche! Je peux m'acheter des lentilles si tu préfères! Tu dois me trouver mi...

Des lèvres me coupent la parole. Il m'a embrasser. C'est doux, tendre. C'est différent de mes précédant baiser avec mes ex ou Angelio. Ha ce demander si cet homme est capable de faire du mal. 

Il s'arrête puis me prend dans ses bras. Il me fais des papouilles dans les cheveux.

- Pourquoi tu courais?

- Je pense que j'étais suivie mais c'est sûrmement faux haha

- Mouais, reste ici je vais regarder

- Non ! Reste près de moi, je me sens en sécurité entre tes bras

- Tu dois vraiment arrêter l'alcool Léa

- Mais euh, je suis plus une enfant tu sais ! 

- Tu essaie de convaincre qui? Moi ou toi? 

- ... 

Il me prend dans ses bras comme si j'étais une princesse et me ramène jusqu'à devant ma porte. 

- Bonne nuit Léa

- Non! ne me laisse pas s'il te plaît! 

- Mais je ne vais pas dormir avec toi...

- Tu n'aura qu'à partir avant 10h et personne n'en saura jamais rien

- Pourquoi 10h?

- Amélia vient pour que je lui parle d'Angelio

- Hein?

- On s'en fou me laisse pas seule stp 

- Tu délire complètement! Va te coucher...

Je monte difficilement jusqu'à ma chambre. Une fois dedans, je m'affale dans mon lit et réflechis à la discussion que je vais avoir demain avec Angelio. Après 30 minutes, je commence à fermer les yeux quand quelqu'un arrive en trombe dans ma chambre. La porte claque uen fois que la personne se situe devant mon lit. Alors que j'ai les yeux encore fermer l'homme crie

- Tu es folle!

- Hein?

- Tu ose embrasser mon frère!

J'ouvre lentement les yeux et je vois Angelio, torse nu en jogging les points serrer entrain de me regarder. Il est très en colère ça se voit dans ses yeux.

- Et alors ça te fais quoi? Tu ne m'aimes pas de toute façon

- Mais pourquoi lui? Il a quoi que je ne peux pas te donner

- Peut être que lui m'aimera un jour...

- Il t'aime déjà! 

- Bah alors il peut me donner de l'amour, de la joie et de la passion 

- La passion je te la donne déjà, tu crois que j'ai déjà eu autant de désir pour une femme? Tu crois que je fais ce que j'ai fait avec toi pour toutes les femmes du monde? 

- Je sais pas, tu me dit rien 

- la joie? Tu n'étais pas heureuse avec moi dans ton lit la nuit? Je pensais que ça te rendais heureuse mes caresses, mes petits mots doux, tout ça 

- Mais tu m'as toujours rappeler que ca ne durait pas! 

- L'amour, je ne peux pas te l'offrir, je ne t'ai pas dit je t'aime mais je te considérais comme une reine, comme ma reine. Tu étais à moi, personne pouvait te toucher. Je suis déçu de voir que enfaite tout le monde peut t'avoir avec un battement de cils et un discours de merde.

- Tu te trompe! Je cherche juste à t'oublier. Oublier qu'un de tes regards mets le feu dans mon corps comme personne, oublier tes caresses, oublier tes baisers. Quand j'ai embrasser ton frère, j'ai pensé à toi et ça me tue. Pourquoi tu veux pas me lâcher si tu ne peut pas m'aimer. J'ai envie et besoin de quelqu'un qui m'assume devant tout le monde! Et puis, ton frère ... c'est mon sauveur je me suis dit qu'il me sauverais de toi mais vous vous ressembler trop...

- Stop! Je vais te montrer qu'on se ressemble pas! 

Il me prend par la gorge et m'embrasse, je sens de la colère mais aussi de la tristesse dans ce baisers. Je laisse une larmes couler.

- Ca va Léa? dit il inquiêt

- Tu as raison, vous êtes bien différent

- Quoi?

- Lui, il est doux, toi, tu es brutal

- Ho tu veux quelque chose de doux, ok 

Il mets sa main sur ma joue et m'embrasse, cette fois c'est encore plus doux que Nico, c'est comme si il me disait des mots doux, qu'il disait un je t'aime, qu'il faisait une déclaration mais en un bisous.

- Tu vois, on est différent

- Pars s'il te plait

- Pas tant que tu ne dors pas 

- Je ne pourrais pas dormir si tu es là

- Alors ne dormons pas

- Si tu me propose de faire de la magie (ayez la ref) je suis trop fatiguer pour cela!

- Je ne pense pas qu'à ça tu sais! 

- Non je ne sais pas, à vraie dire je ne sais rien de toi...

- Que veux tu savoir ?

On a passer toute la nuit à apprendre à se connaître. Ca change de ce qu'on faisait la nuit avant mais c'est tout aussi bien. A 9h30, il est rentré chez lui. Et comme prévu Amélia est arrivée trente minutes plus tard.

- Halala tu sais pas quoi, mon frère, Angelio est encore rentré ce matin. Je ne sais pas encore chez qu'elle pute il a été mais vu son sourire elle l'a bien satisfait. 

Ca remarque me fait sourire, alors comme ça il a apprécier notre nuit? Il a du à 7h me chercher un médicament pour mon mal de tête sue à ma geule de bois... Je crois qu'il a compris que je ne suis pas en kiff sur Nico mais sur lui. J'avoue y a une partie de la conversation que j'ai oublié, j'espère que j'ai rien dit de trop embarrassant

- Viens on va dans ma chambre, pour le sujet important

- Oui allons y