Relation sous contrat

15*

Je sortis de mon bureau et décidai de me rendre au restaurant. Je n'avais pas envie de rentrer chez moi, de retrouver ma femme, de subir notre routine. Je voulais me changer les idées, me faire plaisir, me sentir vivant.

Je choisis un restaurant italien, réputé pour sa cuisine savoureuse, son ambiance chaleureuse, son service impeccable. Je m'installai à une table et commandai une pizza, une salade, un verre de vin. Je me détendis et profitai du moment.

Je remarquai alors une jeune femme assise à la table voisine. Elle était blonde, mince, élégante. Elle portait une robe bleue, qui soulignait sa silhouette. Elle avait un visage angélique, des yeux verts, un sourire radieux. Elle était belle, charmante, attirante.

Elle me regarda et me fit un clin d'œil. Je lui rendis son sourire et lui fis un signe de la main. Elle se leva et vint s'asseoir à ma table.

- Bonjour, je m'appelle Léa. Je suis photographe. Je travaille pour un magazine de mode. Et toi, tu fais quoi dans la vie ? dit-elle en se présentant.

- Bonjour, je m'appelle Maximillian. Je suis avocat. Je travaille pour un cabinet d'affaires. Je viens de gagner un procès important. répondis-je en me présentant à mon tour.

- Bravo, c'est impressionnant. Tu dois être très doué. Quel genre de procès ? demanda-t-elle avec curiosité.

- Merci, c'est gentil. C'était un procès pour un meurtre. J'ai réussi à prouver l'innocence de mon client, qui était accusé à tort. expliquai-je avec fierté.

- Wow, c'est admirable. Tu as dû travailler dur. Tu n'as pas peur de défendre des causes difficiles ? s'étonna-t-elle avec admiration.

- Non, pas du tout. J'aime les défis. Je pense que tout le monde a le droit à une défense équitable. Et toi, tu n'as pas peur de photographier des mannequins ? répliquai-je avec intérêt.

- Non, pas du tout. J'aime la beauté. Je pense que tout le monde a le droit à une image valorisante. Et puis, c'est un métier passionnant. Je voyage beaucoup, je rencontre des gens intéressants, je découvre des cultures différentes. confia-t-elle avec enthousiasme.

- C'est vrai, ça doit être enrichissant. Quels sont les pays que tu as visités ? demandai-je avec curiosité.

- Oh, il y en a tellement. J'ai été en Italie, en Espagne, en Angleterre, en Allemagne, en Grèce, en Turquie, en Inde, en Chine, au Japon, au Brésil, au Mexique, aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Afrique du Sud... énuméra-t-elle avec émerveillement.

- Incroyable, tu as fait le tour du monde. Quel est ton pays préféré ? demandai-je avec admiration.

- Difficile à dire, ils sont tous magnifiques. Mais si je devais choisir, je dirais l'Italie. J'adore la gastronomie, l'architecture, l'histoire, l'art, la musique, la langue, les gens... avoua-t-elle avec passion.

- Moi aussi, j'aime l'Italie. C'est un pays qui a du charme, du caractère, du goût. D'ailleurs, c'est pour ça que j'ai choisi ce restaurant. Tu aimes la cuisine italienne ? dis-je avec complicité.

- Oui, j'adore. C'est ma préférée. Tu as bon goût. Quelle est ta spécialité italienne préférée ? dit-elle avec gourmandise.

- J'aime tout, mais je dirais la pizza. C'est simple, mais délicieux. Et toi ? dis-je avec appétit.

- Moi aussi, j'aime la pizza. Surtout la margherita. C'est la plus authentique, la plus savoureuse. Tu veux qu'on partage une pizza ? proposa-t-elle avec générosité.

- Avec plaisir. C'est une bonne idée. Tu veux qu'on commande une bouteille de vin aussi ? suggérai-je avec convivialité.

- Pourquoi pas. C'est une bonne occasion. Tu veux quel vin ? demanda-t-elle avec élégance.

- Je te laisse choisir. Tu es l'experte. dis-je avec confiance.

- Alors, je vais prendre un Chianti. C'est un vin rouge, fruité, corsé. Tu vas aimer. dit-elle avec assurance.

- Parfait. Je te fais confiance. Tu as l'air de savoir ce que tu fais. dis-je avec admiration.

- Merci. Tu es très gentil. Tu as l'air de savoir ce que tu veux. dit-elle avec séduction.

- Oui, je sais ce que je veux. Et je te veux toi. Tu es très belle. Tu me plais beaucoup. dis-je avec audace.

- Oh, tu es très direct. Tu ne perds pas de temps. Tu me plais aussi. Tu es très séduisant. dit-elle avec malice.

Je me rapprochai et sentis son souffle sur mon visage. Sans hésiter, je posai mes lèvres sur les siennes. Elle fut surprise, mais ne se déroba pas. Elle répondit à mon baiser avec fougue, avec ardeur, avec envie.

Nous nous séparâmes et nous nous sourîmes. Je ressentis une connexion, une attirance, une alchimie. Je lui demandai :

-Tu veux aller au cinéma ce soir ?
-Oui, je veux aller au cinéma ce soir.

Puis, elle se leva de sa chaise, déposa un baiser sur mes lèvres et me lança avec un sourire taquin : "À ce soir alors." Avant de quitter le restaurant, me laissant avec un sentiment d'anticipation pour notre rendez-vous.