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Le lendemain, je me réveillai fatigué et courbaturé. J'avais passé une journée épuisante au cabinet, à traiter des dossiers compliqués et à écouter des clients mécontents. Je n'avais qu'une envie : me détendre et oublier mes soucis. Je pensai à cette femme que j'avais rencontrée à mon cabinet, celle qui m'avait confié qu'elle avait été trompée, blessée, brisée. Je me demandai comment elle allait, si elle avait bien dormi, si elle avait besoin de parler. Je pris mon téléphone et lui envoyai un message :

- Bonjour, c'est moi. Comment vas-tu ce matin ?

Elle me répondit aussitôt :

- Bonjour, je vais bien, merci.
Et toi ?

- Je suis un peu fatigué, mais ça va.
Tu as des projets pour aujourd'hui ?

- Pas vraiment, je n'ai pas grand-chose à faire.

- Ça te dirait de venir jouer au golf avec moi ?
Je te promets que c'est facile et amusant.

- Je n'ai jamais joué au golf de ma vie, tu sais.

- Ce n'est pas grave, je te montrerai. Allez, viens, ça nous changera les idées.

- D'accord, pourquoi pas. Tu es sûr que tu ne te moqueras pas de moi ?

- Jamais de la vie, je serai gentil et patient.

- Bon, alors, c'est d'accord.
Où et quand on se retrouve ?

- Au club de golf le plus proche, dans une heure.
Ça te va ?

- Oui, parfait. À tout de suite, alors.

- À tout de suite.

Je raccrochai et me levai du lit. Je pris une douche rapide, m'habillai, et sortis de chez moi. Je montai dans ma voiture et me dirigeai vers le club de golf. J'étais impatient de la revoir, de la connaître mieux, de lui faire oublier sa peine. Je me sentais ému, touché, attiré.

Je la retrouvai à l'entrée du club, où je lui louai un équipement. Elle me sourit timidement et me remercia de l'invitation. Je lui dis qu'il n'y avait pas de quoi, que c'était un plaisir. Je lui montrai les bases du swing, du stance, du grip. Elle s'en sortit plutôt bien, malgré quelques coups ratés. Elle riait de ses erreurs, et je riais avec elle. Je la trouvais charmante, pétillante, vivante.

Nous parcourûmes les neuf trous, en discutant de tout et de rien. Je lui demandai quels étaient ses hobbies, ses passions, ses rêves. Elle me dit qu'elle aimait lire, écrire, dessiner, voyager. Elle me dit qu'elle rêvait de faire le tour du monde, de découvrir de nouvelles cultures, de vivre des aventures. Je lui dis que j'aimais aussi lire, écrire, dessiner, voyager. Je lui dis que j'avais déjà visité plusieurs pays, mais qu'il m'en restait encore beaucoup à voir. Je lui dis que je rêvais de trouver l'amour, le vrai, le grand, le beau. Elle me regarda avec tendresse et me dit qu'elle aussi, elle rêvait de trouver l'amour. Elle me dit qu'elle avait cru le trouver, mais qu'elle s'était trompée. Elle me dit qu'elle avait été trahie, blessée, brisée. Elle me dit qu'elle avait peur de souffrir à nouveau, de faire confiance à quelqu'un, de s'attacher à quelqu'un. Je lui pris la main et la serrai doucement. Je lui dis :

- Je m'appelle Maximillian. Et toi ?

Elle me sourit et me dit :

- Je m'appelle Nancy .

Je répétai son nom, comme pour le graver dans ma mémoire. Nancy. Un joli nom, pour une jolie femme. Je lui dis :

- Nancy, tu me plaît. Je ne sais pas ce que tu ressens pour moi, mais je voudrais te le dire. Je suis accro à toi.

Elle me regarda avec surprise, puis avec émotion. Elle me dit :

- Maximillian, tu me plaît énormément. Mais j'ai peur. peur d'être déçu, peur de souffrir encore.

Je la rassurai du mieux que je pus. Je lui dis :

- Ne t'inquiète pas, je ne te ferai jamais de mal. Je serai toujours là pour toi, pour te soutenir, pour te protéger, pour te rendre heureuse. Tu peux me faire confiance, je te le promets.

Elle me fit confiance. Elle se blottit contre moi, et je l'enlaçai. Nous restâmes ainsi, un long moment, à nous regarder dans les yeux, à nous caresser les cheveux, à nous embrasser les lèvres. Nous étions heureux, tout simplement.

Je décidai de quitter le club de golf avec Nancy et de rentrer dans mon bureau. Nous montâmes dans ma voiture, et je conduisis jusqu'à mon bureau. Une fois à l'intérieur, je lui fis visiter les lieux. Nancy admira ma décoration, mes livres, mes tableaux. Elle me confia qu'elle aimait mon style, mon goût, ma personnalité. C'est là que je lui exprimai mon désir, un désir ardent, sans retenue, pour elle tout entière.

Elle se jeta à mon cou, et je la portai jusqu'à ma chambre. Je déchirai ses habits avec avidité, arrachant chaque morceau de tissu avec frénésie. Sous les draps, nos corps se mêlèrent dans une danse lascive, s'explorant mutuellement avec une voracité insatiable. Je la caressais avec férocité, mes mains parcourant chaque centimètre de sa peau offerte. Je la suçais avec passion, allant toujours plus loin dans cette quête de plaisir dépravé.

Elle m'a ordonné, supplié, demandé de la prendre, de la pénétrer comme jamais. Elle voulait être transcendée, élevée à un niveau supérieur, atteindre des sommets de plaisir inexplorés. Elle a crié que je sois en elle, que je la baise avec une sauvagerie sans pareille. Et dans un élan de désir brûlant, j'ai répondu à son appel, la faisant vibrer d'une extase démente.

Après cette intense expérience, je me sentais vivifié, libéré de toute tension. J'ai décidé de repartir jouer au golf pour me détendre et laisser les souvenirs de notre passion brûlante se dissiper lentement. Le jeu, avec ses vastes espaces verts et ses moments de tranquillité, était l'antidote parfait pour apaiser mon esprit tourmenté. Une fois rassasié de swings et de parcours, je suis rentré chez moi.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 22 ⏰

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