Les rues de Londres étaient désertes. Le soleil avait laissé la place à de gros nuages menaçant et des coups de tonnerres percés le lointain.
La pluie n'était pas loin et je n'avais aucune protection.
Les mains enfoncées dans les poches et la tête basse, le parcourait les rues à la recherche d'un endroit où mangeais.
Je n'avais que ça à faire maintenant, manger.Mais ce qu'il venait de ce passer m'avait affecté malgré moi. Je l'ai avait abandonnées, après tous ces moments passés ensemble. Mon cœur était emplit de chagrin.
Des images passaient et défilés dans ma tête comme un mauvais flash back.
Je me souviens encore quand nous avons apprit à X-Factor que nous allions former un groupe. Je n'en revenais pas, mais j'étais tellement content ne plus être seul dans cette aventure de fou.
Je me souviens des victoires que nous avons connus jusqu'à la finale où nous sommes arrivés 3ème.
Zayn avait raison à ce moment là : One Direction n'était pas finit ! Il y avait tellement de choses que nous allions vivre.
Tous ces concerts, plus le temps passait, plus les salles ce remplissaient.
Lorsque que j'ai appris qu'on aller chanter au Madison Square Garden, je peux vous jurez que j'ai pleuré comme une petite fille : c'était le rêve de toute une vie que j'allais enfin pouvoir réaliser.
Puis ensuite nous avons visé plus haut, alors que je pensais avoir visé le sommet. Mais il y avait les stades !
Les stades, cette grande scène, ces milliers de petites frimousses dans la pénombre : nos fans.
Sans elles, sans vous, je n'aurais pas fait ce que j'ai vécu et je ne vous remercierez jamais assez.
C'était tellement beau, tellement puissant, ces millions de voix qui chantés nos chansons sur un rythme effrénés.
Je n'ai jamais eu l'occasion de vous le dire, mais vous chantiez merveilleusement bien et jamais je ne me suis lassé de vos voix chantant à l'unisson Best Song Ever ou Kiss You.
Ces feux d'artifices à la fin du concert étaient le clou du spectacle et je ne me lassais pas de les revivre chaque soirs à vos côtés.
Écrire des chansons étaient ma façon de vous dire merci, mais également de vous faire passer un message à chaque fois : vous êtes belles, talentueuses, il ne faut jamais cesser de croire en ses rêves, vous méritez un garçon qui vous respecte, même moi je ne serais pas assez bien pour vous.Et maintenant je suis là, sur un trottoir dans les rues de Londres, je marchais en traînant des pieds et cherchant un café d'ouvert dans le quartier, mon sac à dos sur une épaule avec les seules affaires qui me resté.
La chute à était longue, vertigineuse et je me suis écrasé en bas dans une douleur atroce. Je n'avais pas fais comme les autres, j'avais loupé le draps qui nous attendaient en bas pour nous éviter une chute fatale.Et puis les gars, mes frères, je l'ai laissaient ce débrouiller seuls, ils m'avaient trahit aujourd'hui, mais mon dieu qu'on à put rire par le passé.
Je me rappelle encore de cette fois où nous devions faire un photoshoot au bord d'une piscine : c'était d'ailleurs notre premier photoshoot en tant que One Direction.
On était au bord de la piscine et on devait sauter à l'eau, enfin c'était ce que les gars m'avaient fait croire, car il n'y a que moi qui à sauté.
Ou encore ces tours de voiturette de golf dans les parkings des stades que nous devions jouer, nous n'arrêtions pas de rendre les agents de sécurités fous, car le concert devait commencer dans les dix minutes qui suivaient.
Cette vie trépignante ! Cette vie incroyable que j'ai vécu n'existe plus et c'est ma faute !Bordel c'est ma faute !
Mon cœur ce serra, mes jambes s'arrêtèrent de fonctionner et me lâchèrent, me laissant à genoux sur le bitume du trottoir.
C'était ma faute bordel ! Entièrement ma faute ! J'avais brisé l'espoir de millions de directioners, de millions de filles qui comptait sur nous ! J'avais tout fait foirer parce que je ne suis qu'un incapable !
Les larmes finirent par dégringoler sur mes joues et ironie du sort, le ciel ce mit à pleurer avec moi.
Les gouttes de pluies ce mélangèrent avec mes larmes salées.
Je ne pouvais plus m'arrêter. Je suffoquais dans mes larmes.Moi : Regarde la merde que tu es devenu Niall ! Regardes toi ! Regardes toi et pleures ! Ta plus que ça à faire de ta misérable vie ! Partir est peut-être une délivrance pour les autres ! Ils ce sont débarrassés d'un poids énorme ! C'était le meilleur choix à faire !
Après quelques minutes de crises, je me suis relevé, m'appuyant contre la façade d'une maison. Mes cheveux étaient trempés et plaqués contre mon crâne, j'avais froid, faim et peur.
Ma pitié était telle que je voulais en finir. Ma vie ne rimait avec rien. Plus d'amis, mes parents morts, je n'avais plus rien qui me retenais dans ce fichu monde, un monde qui serait meilleur sans moi.Je me suis traîné dans un autre quartier, me traînant avec peine.
Je suis arrivé devant la façade d'un immeuble qui avait abrité mon appartement.
Je pouvais voir d'ici la fenêtre du troisième étage encore roussit par l'incendie qui m'en avait fait fuir : l'immeuble était condamné depuis longtemps, mais je savais qu'on pouvait encore monter.J'ai donc ouvert la porte qui menait à l'entrée commune, j'ai emprunté les escaliers en bois qui grinçaient toujours.
Je me suis présenté au troisième étage, il n'y avait même plus de porte d'entrée, elle avait était arraché par les flammes.
Mon appartement était entièrement noire de suie, l'odeur était inalable, mais je ne voulais pas partir. C'était le seul endroit où je voulais être. Le seul endroit qu'il me restais.Je me suis effondré dans mon canapé en cuir qui n'était plus qu'un amas de cendres dans son ensemble.
Je regardais le plafond de mon appartement. C'était le seul endroit qui avait échappé aux flammes de justesses.Les larmes coulaient encore aux coins de mes yeux, mais je m'étais calmé.
Je pense que cette fatigue qui enveloppait mon cœur était la fatigue de vivre, de respirer et de faire en sorte que mon cœur batte encore.
Je veux me laisser mourir.
Je me foutais du cahier que je devais lire, les passages que je devais écrire pour me soigner.
Ma maladie était incurable, ma maladie me bouffais depuis 1 an, j'étais malade de vivre, ma dépression était trop puissante, trop forte, je ne peux pas la vaincre seul et malheureusement je suis seul.
Je me foutais du monde, je lui rigolais à la gueule pour le narguer, personne ne me retiendra dans ce fichu monde ! Personne ! Je vais me laisser mourir ici ! Parce que je n'ai même pas la force de me couper les veines, de me pendre, de me tuer à coup de médicaments !
Non ! Je vais patiemment attendre la mort, c'est la seule amie qui me reste. Je vais l'attendre calmement et prendre sa venu comme une chance d'en finir avec mon malheur.Je regardais une dernière fois vers la fenêtre de la pièce qui était ouverte malgré elle sur la rue, je voyais les éclairs sabbathienne sur les toits, la pluie tomber à grand torrents dans les gouttières et j'entendais le grondement des nuages.
Je pouvais même entendre ce que me disais ces nuages en colère. Ils me murmuraient à l'oreille :
« Tu n'as pas le droit de quitter ce monde ! Tu n'as pas le droit d'abandonner ! C'est tellement lâche de faire ce que tu es en train de faire ! »
Un sourire ce dessinait alors malgré moi sur mes lèvres et je leur répondais dans un murmure en fermant mes paupières pour de bons :
« Qui vous a dit que j'étais courageux, la lâcheté c'est la seule chose qui me reste à faire, lâcher prise et déployer ses ailes vers le ciel, c'est tout ce que je demande »
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Voilà pour ces deux chapitres ! J'espères qu'ils vont vous plaires et que vous allez liker en grand nombres !
Je vous surkiffe c'est un truc de ouf ! émoticône kiss émoticône heartJe pense ne pas réécrir avant le début des grandes vacances, donc c'est pour cela que je vous postes les deux chapitres à la suite.
Je posterais la suite quand il y aura 40 j'aimes sur les DEUX chapitres bien évidemment émoticône kiss
Bonne lecture à vous !
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My world Destroyer
FanfictionRésumé : Je pose cette question à MES directioners : avez-vous déjà pensez à vivre dans un monde sans les One Direction ? Moi, depuis le jour où tout à commencé, je n'y es jamais pensé. Pourtant c'est bien arrivée...Et c'est entièrement de ma faute...