prologue

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PDV : izuku

Je sortais tout juste de mon train, de retour dans la capitale de Nagoya. Un groupe de filles, elles sont au moins cinq. Et pour un mec tout seul comme moi. Cinq nana qui me cours après depuis que j'ai quitté la maison de mes parents, ya vraiment de quoi être effrayé, ce qui est clairement mon cas.

Je ne sais absolument pas ce qu'elles me veulent.

Alors je sort le plus vite possible de cette gare, limite en courant et destin sais à quel point je ne suis pas sportif.

Heureusement pour moi je ne suis pas partie avec une valise, j'aurais absolument pas pu fuir dans ce cas de figure.

Alors, je cours, à défaut de courir vite, je les sème dans les rues de Nagoya, que je connais comme ma poche.

En tournant dans une rue peu éclairée je me faufile derrière une locale à poubelle pour reprendre mon souffle, quand je distinge leurs voix se rapprocher :

- (fille 1) Tu es sûr qu'il est là ?

- (fille 3) Oui, je les vu tourner dans cette rue !!

- ( fille 5) Recherchez le, il est ici !!

Merde.

Il faut que je me barre !!

Au moment où je m'apprêtais à me lever une bouteille en vers derrière moi, s'éclate en mille morceaux, me coupant au passage.

Ma position est donc révélée aux cinq filles, qui ne manquent pas de répliquer rapidement et m'encercle m'empêchant de fuir.

Je suis cuit...

- Que me voulez-vous ?

- (fille 2) Voyons mon chou n'est-ce pas logique ?

Je fronce les sourcils, non c'est clairement pas clair.

- (fille 4) (se marre ) On veut t'épouser voyon !! Et tu seras notre mari à toutes les cinq !!!

Mes yeux s'ouvrent en grand, elles veulent quoi ?? Et la mon corps se met en mouvement.

Je me relève, pousse une des filles et me fraye un chemin pour m'enfuir. Enfin c'est ce que je comptais faire mais une des filles m'attrape le poignet et me tire violemment vers elle.

Elle tient un couteau dans son autre main, qu'elle s'apprête à me planter. J'ai réussi tant bien que mal à arrêter son mouvement au moment où le couteau allait me planter la peau. Mais je n'avais pas calculé qu'elles en auraient toutes un.

Un premier coup me tranche l'épaule droite, le second le haut de mon dos ensuite derrière les genoux ce qui me fait chuter lourdement au sol.

La fille qui me tenait toujours a fini par me lâcher pendant ma chute. Ce qui fait que je me retrouve à genoux pliés en deux.

Il faut absolument que je me sorte de cette situation, et que je m'éloigne de ses folles. En parlant de ça, je les entends rire à gorge déployée.. Elles sont tarées !!...

Reprenant le peut de force qu'il me reste, je tends une jambe et leur fait un crochet patte. Et en profite le temps qu'elles sont déstabilisées pour me relever et courir en direction de la rue commerçante.

La, je me fraye un chemin dans les rues jusqu'à chez moi.

Et une fois devant mon immeuble, je monte au 4e pour sonner chez ma voisine. Qui d'ailleurs ne met pas longtemps à m'ouvrir. En me voyant son sourire affectueux s'efface en une demi-seconde.

- Izuku...mais que t'es t'il arrivé ?

- Bonjour Koto, je peux entrer ?

-Oui ! entre.

Elle me laisse passer avant de refermer derrière elle.

Je lui explique donc tout ce qui vient de m'arriver et depuis combien de temps cela dure. Elle à était autant dans l'incompréhension que moi, pendant tout le récit;

- J'imagine que va devoir te transformer pour guérir.

- Oui, je peux compter sur toi pour ce mois ?

- Je suis désolé, Izuku je suis en déplacement pendant 2 mois et je décolle demain après-midi. En revanche j'ai quelqu'un de confiance à qui je peux te confier sans que tu n'est à te dévoiler

- Ah bon ? Qui ça ?

- Notre voisin au 8e. Il à déjà garder chaussette plusieurs fois, et j'ai toujours du mal à la récupérer en rentrant. Je suis certain qu'il accepterait de s'occuper de toi pendant 1 mois !!

- Je n'ai pas le choix de toute façon, je ne peux pas rester seul pendant cette période.

- Alors on fait comme ça !!

Je hoche la tête et la remercie avant de m'installer plus confortablement dans le canapé et de fermer les yeux pour me concentrer au maximum. Puis la magie opère.

Je suis donc devenu un magnifique chat noir, pour le mois à venir.

Le chat égaréOù les histoires vivent. Découvrez maintenant