Chapitre 23: Payakan

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Salut! Voici la suite avec la rencontre avec une certaine baleine. N'hésitez pas à voter, si cela vous a plu ou à commenter.

Point de vue de Sarya

Je me préparais pour mon voyage afin de parlementer avec les Aranahe, dont la mort de la Tsahik les a fait retiré de la lutte contre la RDA avec la Résistance. Mais l'intervention de Etuwa, leur jeune Tsahik actuelle et m'invitant à venir, après nous avoir sauvé d'une fâcheuse situation, nous laissait une ouverture à la négociation. Je restais convaincue que nous pourrions les aider, mais comment ? Je ne pourrai pas savoir cela, avant de me rendre sur place. Cependant, je pensais à cet étrange rêve. Il était la suite de celui ayant précédé mon rêve, après un long sommeil en cryo-stase. Qui était ce Tsikey envahissant mon esprit, depuis mon réveil ?

Ri'nela : Ça va, Sarya ? Tu sembles ailleurs.

Moi : Je pense à mon dernier rêve.

Ri'nela : Veux tu en parler ?

Je regardais ma grande amie et sœur de clan. La dernière Sarentu, avec moi.

Moi : Depuis mon réveil, un...Na'vi envahit mes pensées. Enfin, je crois que c'en est un.

Ri'nela : Pourquoi doutes tu ?

Moi : Il..Il y a des signes étranges. Tout d'abord, il a cinq doigt aux mains, comme l'avatar de Alma. Et puis...Il a les yeux oranges.

Alma : Orange, dis tu ?

On regardait notre professeure qui nous fixa avec surprise. Elle avait très peu changée, malgré les années. Même si on pouvait voir quelques traces de rides sur sa peau, elle était exactement la même que celle nous ayant sauvé et plongée dans ce long sommeil sans rêve, dans les boites de métals. Je la regardais, intriguée, de même que mes amis Sarentus.

Moi : Oui.

Alma : Ce n'est pas possible..Je pensais qu'ils avaient disparus, il y a longtemps !

Moi : Quoi donc ?

So'lenk : Les Menariyä Tunti ou le clan des yeux orangés. Ce sont des guerriers redoutables et assez hostiles au Peuple du Ciel. J'ai entendu certaines rumeurs venant des autres clans, qu'ils auraient survécus et vivaient cachés. Certains ont pu même voir la chef qui portait un enfant, lors de la guerre.

Moi : Tu penses que ce Tsikey...

Il inclina la tête, en réponse.

So'lenk : Je le pense, oui. D'autant que le père de leur chef, portait le même nom. Cependant, ce n'est pas entièrement un na'vi, vu qu'il a cinq doigt. J'ai bien du mal à croire qu'une Menariyä, surtout la chef, ait pu s'unir avec un marcheur de rêve. Néanmoins, le Toruk Makto en était un, donc tout est possible. Si la Grande Mère t'as montré l'enfant de la chef, c'est qu'il jouera sans doute un rôle dans ton futur.

Au vu de la réputation, ça serait sans doute un avantage d'avoir un membre de clan dans notre camp, pour la lutte contre le Peuple du Ciel. Mais pourquoi le fils de la chef hantait mon esprit ? Je devais savoir pourquoi.

Alma : Pour l'instant, concentrons-nous sur les Arahnae. On verra bien pour les Menariyä. Tant que nous n'avons pas des preuves concrètes, nous devrons nos concentrer cela.

So'lenk : Certes, mais gardez cela à l'esprit. La Grande Mère ne donne pas des visions pour rien. Et si tu as pu voir ce Menariyä, c'est qu'il jouera un rôle.

Alma : Je ne suis pas convaincue. Pour moi, cela fait partie des rêves.

Norr : Et si c'était plus que cela ? Après tout, nous n'avons jamais vu, ni connu ce clan, avant que Sarya commença à rêver de lui.

Les Eaux du DestinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant