Chapitre 33: Liens douloureux

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Salut! Voici la suite après l'évanouissement de Kiri et les conséquences de cet incident. N'hésitez pas à voter, si cela vous a plu ou à commenter.

Point de vue de Tsikey

La douleur et la colère étaient des sentiments complémentaires. J'avais appris cette leçon, depuis l'arrivée du Peuple du Ciel. Et le clan Zeswas était en train de l'apprendre. En plus de perdre sa fidèle monture lors de la confrontation avec nos ennemis, la Tsahik a du voir le meurtre, avec impuissance, d'un jeune Zakru que les sawtute chassaient. Ainsi, le clan se rassemblait, afin d'attaquer la base principale des opérations de contrebande. Il me fallait donc me préparer et je commençais donc l'inspection de mes armes, nettoyant si nécessaire. La moindre défaillance pouvait coûter cher et je devais être prêt à toute éventualité. C'était ce que Père nous avait appris. La meilleure préparation était la clé de l'adaptation.

Voix : Tout va bien, Tsikey ?

Je levais mon regard, pour voir les beaux yeux jaunes de Sarya. La Sarentue me troublait, par son ambivalence. Elle pouvait être une jeune femme douce, prête à l'écoute et à aider que devenir aussitôt une guerrière redoutable et impitoyable. Les chevelures noires longues couvrant le dos étaient dressées vers l'arrière, mettant bien en valeur la peinture orange et sombre couvrant ses yeux, lui donnant un aspect guerrier. Un petit accessoire accompagné de petite pierre rose avec des feuilles combinant violet et bleu renforçait cet aspect.Le petit châle bleu turquoise avec le petit assortiment violet couvrant le haut de son corps montrait son côté voyageur. Sa poitrine était couverte par un haut alliant cuir et végétale tandis que son pagne marron était accompagné d'un châle rouge bordeaux bien enroulé, lui même entouré de petits fils où sa gourde, des petits sacoches et des perles bleues et de petit vert.Un brassard en cuir, ornait son avant bras gauche tandis que ses pierre de chants étaient bien accrochés à son avant et bras gauche dont je pouvais encore entendre la douce mélodie de sa joie de redécouvrir ses racines, ainsi que ses peurs pour sans doute l'avenir ou ses proches. Des protections marrons couvrant l'ensemble de ses jambes ; Ses peintures oranges avec des traits noirs sur ses bras et blanches à ses mains et jambes montraient bien sa volonté de se battre pour sa terre natale. Cela me fit dégager un petit sourire, quand je repensais à la première fois que je l'ai vu.

 Cela me fit dégager un petit sourire, quand je repensais à la première fois que je l'ai vu

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Sarya : Qu'est ce qui t'amuse ?

Moi : Regardes toi. Tu as tellement grandi, en si peu de temps !

Sarya : Peut être que renouer avec mes origines, m'aident à cela.

Moi sombrement : La guerre a fâcheuse tendance à nous faire mûrir plus que nécessaire.

Sarya : Tu parles, par expérience, n'est ce pas ?

Je continuais à nettoyer précieusement le canon.

Moi : Je n'ai participé à la guerre avec ma famille que quelques mois. Mais je n'ai pas attendu cela, pour avoir subi des blessures.

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