Chapitre 42

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                                    Adriana
Ce matin je me lève avec un mal de tête horrible, je me souviens pas de la soirée d'hier que de léger passage mais sans plus. En descendant je vois Pedro sur la terrasse entrain de prendre son petit déjeuner.

Adriana: Vu que je me demande ce que tu fais ici je suppose que tu veux bien tout m'expliquer. dis je en m'asseyant en face de lui.

Pedro m'a tout expliqué, heureusement qu'il était là..j'ai plus envie de rester fâchée contre lui après qu'il m'ai protégée une énième fois.

Pedro: Et après tu m'as chauffé jusqu'à ce que je cède mais je voulais pas, t'étais ivre morte mais tu m'as m'a fait céder.

Adriana: Ça je m'en rappel vaguement. C'est ça notre problème.

Pedro: De régler nos disputes en le faisant ?

Adriana: oui.

Pedro: Je suis d'accord mais on s'aime, c'est parce que la dispute est pas grave, avant notre séparation on essayait de régler nos problèmes sans le sexe.

Adriana: C'est vrai t'as raison, on a le droit de s'aimer.

Pedro: C'est bon tu m'aimes, tu vas plus me faire la misère. dit il en souriant.

Adriana: Malheureusement pour toi j'arriverai jamais à plus t'aimer. Et puis après une énième fois à me protéger t'es pardonné. Mais ! Lui parle plus s'il te plaît.

Pedro: D'accord. Tu m'avais pas dit que je devais aller la baiser par hasard ? dit il pour me provoquer.

Adriana: Si c'est meilleur qu'avec moi, fonce mon poussin. dis je en rentrant dans la maison

Pedro: nan je m'en passerai, je te préférai toujours toi. dit il en m'attrapant par les hanches et me rapprocher de lui.

Je me met face à lui, ses yeux ne quittait pas les miens, c'est vrai qu'hier j'ai été dur avec lui, j'ai été un peu trop jalouse et possessive j'avoue.

Adriana: Je suis désolé d'avoir été aussi possessive, je m'en veux beaucoup.

Pedro: J'ai le droit à un bisous de toi sans que tu sois sous l'effet de l'alcool ?

Je me contante de sourire et de l'embrasser tendrement, ça me fera toujours autant de papillon dans le ventre.

Adriana: Bon aller je vais aller chercher Giorgia.

Pedro: Je serai sûrement à l'entraînement quand tu vas rentrer vu que demain c'est jour de repos Pablo a proposé d'aller en soirée, il y aura les filles vient.

Adriana: Je vais encore devoir laisser Giorgia a mes parents Pedro, la pauvre.

Pedro: C'est ce soir, passe une journée avec elle le temps que je sois à l'entraînement et on ira la chercher demain matin.

Adriana: C'est la première et dernière fois alors.

Je suis partie chercher Giorgia, j'ai un peu joué avec elle et ensuite elle voulait absolument aller voir Pedro à l'entraînement, ça lui fera sûrement plaisir. En arrivant à l'entrée du stade je laisse Giorgia courir vers le terrain je répondais vite à un message de ma maman quand je lève la tête et au loin je vois Pedro assis dans les gradins avec sa main sur la cuisse de Sara.

Je sens mon cœur se serrer, sensible comme je suis c'est plus la tristesse qui vient à mes yeux, il croise mon regard et se décompose en me voyant, je n'aurai définitivement jamais du penser que les footballeurs pouvait changer ou même se démarquer les uns des autres, je viens de laisser ma fille courir dans les bras de son père alors qu'il fait preuve de la pire chose que quelqu'un puisse faire dans une relation.

Un regard pour un amour éternel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant