Chapitre 15

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PDV Jungkook :

Nous arrivâmes au cinéma vers 21h. Nous prîmes nos place et de quoi grignoter, Jin avait le bras chargé de sucreries en toutes sortes.

Nous entrâmes dans la salle et nous installâmes. Le film commença peu de temps après.

Je n'arrivais pas à me concentrer sur le film. Il passait comme un fond sonore lointain. Les questions, ces questions ne voulaient pas quitté mon esprit, elle fusait pas centaines que dis-je, par milliers dans ma tête tambourinant dans celle-ci. Je commençais à être pris de vertiges.

Il y avait trop de "pourquoi ?" Et de "et si ?".

Je soufrais, mon cœur souffrait. Atrocement.

Plus j'y pensais et plus les sentiments que j'avais pour lui me paraissaient clair.

Je l'aime.

Et pas qu'un peu, tout les éléments reliés les uns aux autres c'était frappant. Le fait que je pense à lui constamment, que je rougisse à chacun de ses gestes, que je sois jaloux de toutes les personnes étant trop tactiles avec lui et que je sois si réceptif à chacun de ses baisers et de ses caresses et tant d'autres choses.

La simple idée de ne plus l'avoir dans ma vie me donne la nausée mais je ne crois pas que je supporte aussi que l'on reste simplement amis en aillant goûté à bien plus.

Je me tournai pour observer son visage, son magnifique visage. Même de profil il est sublime. Sa mâchoire carrée, ses cheveux bleus où mes mains pourraient se perdre, ses yeux profonds renfermant l'univers entier, son nez droit et ses lèvres que je pourrais dévorer à chaque repas.

Je sentis les larmes dévaler mes joues. Je n'ai jamais autant douté de moi, du monde entier. Je ne supportais pas se rejet. Il était si dure.

J'avais envie de hurler, de me rouler boule dans un coin et de pleurer toutes les larmes de mon corps. Je suis si pathétique.

Me sentant près à craquer, je me levai précipitamment ignorant les regards interrogateurs et inquiet de mes amis. Je sortis de la salle et essayai de reprendre mon souffle sans succès alors je sortis. Je bruit autour de mon étaient étouffé et ne me parvenaient qu'à moitié.

J'entendis mon prénom être prononcé par lui. Je n'étais pas prêt et je ne voulais pas qu'il me voit dans cette état : perdu, faible et pathétique. Alors je fuis, à toute mes jambes, me perdant dans les rues. Ils faisaient nuits, les lampadaires étaient allumés éclairant plus ou moins bien les quartiers sombres.

Je ne savais pas où je me trouvais, j'étais à bout de souffle du à ma précédente course. Je décidai de m'arrêter. Peu de monde se trouvait dans la rues. Je vis un parc et y allai pour me calmer.

C'était calme. Seul le bruit du vent, les feuilles sous mes pieds et le battement frénétique de mon cœur brisais ce silence de mort. C'était apaisant. L'air frais emplissait mes poumons.

Un mélange de tristesse, de détresse et de colère m'animais.

J'étais épuisée, mes jambes tremblaient. Je m'effondrai à genoux en plein milieu du parc et ne me retins plus.

Un torrent de larmes se déversa sur mes joues. Le froid de l'hiver approchant mordait ma peau. Je tremblais de tout mon être.

J'étais terrifié.

PDV : Taehyung

Nous regardions le film. Jungkook et moi n'avions pas pu avoir un moment seul mais je comptais bien clarifier les choses une fois pour toute.

Depuis le début du film je lutais pour ne pas le regarder et me perdre dans sa contemplation. Même si tout mon être ne réclamait que le contacte de sa peau sur la mienne. J'avais gouté à sa chair et j'en revoulais encore et encore pour l'éternité.

Je repensai à cette journée passer à ses côtés. J'avais l'impression que cela faisait une éternité et en même temps que c'était il y avait cinq minutes.

Tout les souvenirs étaient intacts dans mon esprit mais chaque fibres de mon corps réclamait d'être près du siens.

Soudain, le noiraud se leva et quitta précipitamment la salle sent explication. Je vis dans son regard tellement d'émotions. Je ne réfléchis pas une secondes et me leva à sa poursuite. Quand je sortis de la salle je l'aperçu, il était dehors, je l'appelai. Mais cela le fis fuir. Il s'élança dans les rues sombre.

Je le suivis tout en l'appelant désespérément mais il ne semblait plus m'entendre. J'étais inquiet. Il me semait.

Une fois arrivée dans une rues assez calme, je le vis devant moi à une centaine de mètres. Il s'engouffrait dans un petit parc de quartier. Je le suivis. Il étais devant moi. Le noiraud c'était stoppé puis sans prévenir il s'effondra.

Je me précipitai à ses cotés. Il pleurait à chaud de larme et avait du mal à reprendre sa respiration. Je ne savais pas quoi faire. Alors les larme se mirent à couler sur mes joues aussi.

J'étais terrifié.

820 mots

J'aime pas du tt ce chap
Il est trooooop nul 😖

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