A ceux qui lisent les vers qui suivent,
Je me demande pourquoi tu le fais,
Par curiosité de découvrir un individu à la dérive,
Pour juger à quel point son être est laid ?
Peut-être pour admirer une prétendue beauté,
Passe alors ton chemin, très cher,
Tu ne liras que d'abjectes et affreuses pensées
Et quelques comparaison avec la mer.
Alors, tu me lis pour mettre le doigt,
Et constater ton propre mal-être,
Et dans ce cas là je crois,
Que dans cette lecture, tu devrais te mettre.