Les pavés tristes pleurent tout le temps
Après le passage de mornes passants.
Le centre-ville parait désert,
Éclairé par de sombre lampadaires.
Un nuage gris, comme une carapace,
Enferme mes pensées afin que jamais elles ne se déplacent.
La nuit dans la ville n'a plus d'étoiles,
Un sentiment de dégoût se répand dans les moelles.
Certains meurent seuls dans la rue,
D'autres font comme s'ils ne les avaient pas vus.
Comme enfermés dans un horrible Gotham,
Sous le regard hautain des grandes dames,
Je suis écœuré par le monde, les villes et les chèques
Je me sens Arthur Fleck.