Chapitre 8 : Demande de rançon

9 3 5
                                    

-Fait attention à lui. Il est déjà assez faible. Faudrait pas qu'ils s'évanouisse. Dit Calavero.

-J'ai besoin de mes médicaments. Leur dis-je.

- Et tu crois qu'on va te les acheter? Débrouille toi avec ton hinalateur pour le moment. Dit Calavero.

-Donne lui de l'eau avant que Mendez ne passe l appel. Il ne faudrait pas que ses parents entendent une voix essoufflée et amorphe quand même.

Gonzales s'exécuta, il me fit boire de l'eau après m'avoir menotté à une chaise sur laquelle j'étais désormais assise. Après Quoi, mendez lança l'appel. Il devait être dans les environs de 17h je crois. Là nuit commençait déjà à tomber et il me semblait qu'elle s'en allait avec mon énergie.

À la maison, mon père était dans son bureau et ma mère toujours concalescante se reposait dans la chambre lorsque le téléphone fixe se mit à sonner. C'était calavero et ses hommes de main. Ce fut mon frère qui décrocha et s'étant rendu compte de qui c'était, il appela nos parents qui vinrent aussitôt.

- Les ravisseurs, ce sont eux . Dit mon frère le téléphone dans les mains.

-passe moi le téléphone Cavil. Allô ! Ajouta t'il afin de prendre contact .

-Bonsoir, monsieur le PDG. Dit Calavero sans oublier de rajouter une pointe de sarcasme à ses paroles.

- Qu'avez vous fait de mon fils ? Demanda mon père sur un ton très calme.

-Votre fils va bien, du moins il n'est pas sur le point de mourir.

- Mais qu'est ce qu'il dit Dematiel? Demanda ma mère qui n'entendait rien car mon père avait refusé de mettre en haut-parleur.

Du côté des ravisseurs:

-Allez, fait un petit coucou à ton papa question qu'il puisse se rendre compte que tu n'es pas encore mort.

-Uff, uff, uff.

-Verse lui un peu d'eau sur le visage histoire de le réveiller.

Gonzales s'exécuta et m'aspergea de l'eau ce qui effectivement me réveilla.

-C'est tellement froid!! Ah!!! Dis je frigorifié.

-Eh bah voilà ! Tu vois bien que quand tu veux tu peux.

-Qu'avez-vous fais à mon fils ? Demanda mon père qui suivait tout.

- Quoi? Qu'est il arrivé à Kevin? Demanda ma mère.

-Calme toi maman.

-Rien, nous l'avons juste réveillé un peu. À présent que vous avez suivi la voix de votre fils nous pouvons négocier.

-Que voulez-vous ?

-10millions de dollars en liquide.

- Quoi?! S'exclama mon père abasourdi.

-Vous avez bien suivi monsieur le PDG? 10 millions en espèce demain à 14h00. Sans faute.

- Il m'est impossible de rassembler autant d'argent en liquide D un seul coup. Il me faut au moins une semaine.

-Qu'il y'a t'il? Il demande combien papa?

-10 millions pour demain.

-Venez uniquement avec un membre de votre fa mille. Ne prévenez surtout pas la police si nonvotre fils aura connu des jours meilleurs. Sommes nous D accord?

-Je ne crois pas avoir D autre choix.

-J'adore lorsque les négociations se passent aussi aisément. Demain à 12h, je vous enverrai la localisation.

la fille du colonel : mon amour impossible Tome 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant