chapitre 10: Incertitude

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Mon père mit le téléphone en haut-parleur et tout le monde se mit à écouter le cœur serré :

-Bonjour Dematiel.

-Bonjour John. Dit mon père, le cœur apaisé et rassénéré. Ce n'était pas les ravisseurs.

-Juste pour me rassurer que tu as bien reçu les deux millions de dollars que je t'ai envoyé.

- Oui, oui. Je les ai bien reçu.

-Tu as pu réunir les 10 millions dont tu avais besoin?

-Bienévidemment.

-D'accord. J'espère que l'opération de ton fils se passera sans encombre. À présent je dois prendre conger de toi. À plus tard.

-À plus tard John. Dit mon père en racrochant avant de ranger le combiné.

-Alors comme cela ton fils est malade au point de l'operer à 10 millions ? Demanda Gustave encore plus suspicieux qu'avant.

- En fait c'est mon neveu, il est gravement malade et l'opération associé aux traittement et tout le reste font pratiquement 10millions.Il doit être opéré d'urgence et il est pour nous comme un fils. Dit ma mère voyant l'hésitation de mon père.

-Ah......donc les sacs qui viennent de sortir contiennent les 10millions ?

- Oui.Dit ma mère.

-Pourquoi avoir menti?

-Arrêtes un peu de nous questionner Gustave . Nous sommes déboussolés à cause de ce qui se passe ces derniers jours. C'est pour cela que nous sommes incohérents. Dit mon père d'une manière brusque.

-D'accord. Désolé si je vous importune. Je voulais juste vous dire ce que vous savez. Je m'en vais.

Enfin il était parti!!!! Il se fallut de peu pour qu'il découvre le pot-aux-roses. À peine Gustave sorti, mes ravisseurs appelèrent. Il communiqua le lieu du rendez-vous à mon père. Ce dernier troublé se vit obligé de s'asseoir et de pendre un verre d'eau par Cavil. 10 à 15 minutes plus tard, ils sortirent tous les deux dans la cour où était garée la voiture.

- Je sais que tout va bien se passer Dematiel.J'en suis sûre. Dit ma mère en prenant mon père dans ses bras.

-Laisse moi Amalia. Si par malheur , ces bandits prennent l'argent sans remettre mon fils, je t'en voudrais toute ma vie. Tu comprends ? Toute......la.....vie. Dit mon père avant de monter dur le siège passager.

- Mais comment peut-il me dire cela? Dit ma mère en s'adressant à mon frère.

-Maman , je sais que tu crois bien faire mais comme papa je suis convaincue qu'il vallait mieux prévenir la police ou au moins Gustave.

- Mais c'est pas une raison pour me parler comme cela. Dit ma mère abattue.

- et tu voulais qu'il te parle de quelle façon? Tu l'as menacé de te suicider, bien sûr qu'il est en colère. J'espère juste que tout se passera bien si Non........., dit-il en montant dans la voiture avant de démarrer le moteur et de s'en aller.

- Mais comment peuvent-ils me dire cela tous les deux? Se demanda ma mère seule, au bord des larmes. Je ne veux pourtant que le bien de mon fils. Dit elle en éclatant en sanglot. Comment en est-on arrivé là?

Pendant ce temps là, calavero alla voir Mendez qui , comme d'habitude était devant son ordinateur et ses autres gadgets.

-Tu as réussis à le tracer?

- Oui, heureusement pour nous, cet imbécile a gardé son talkie walkie. C'est grâce à ses signaux que je peux le tracer.

-Tous ces trucs que tu me racontes ne m'intéresse pas. Je veux juste connaître sa position et savoir s'il arrivera ici selon nos prévisions.

la fille du colonel : mon amour impossible Tome 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant