chapitre 12: reprendre ses esprits

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Calavero était toujours figé.  Le bec cloué, ses remarques sarcastiques envolées, il tenait juste son arme dans les mains.  Nicolsonn lança, dans le feu de l'action une bombe lacrymogène à faible intensité.  Lorsque le gaz s'estompa , calavero, Gonzales, nicolsonn, machlovich, mon frère et moi avions disparu. Mon père très inquiet voulu entrer instantanément d'abord l'entrepôt.

- Non Dematiel, c'est une très mauvaise idée. Dit Gustave en entravant mon père.

- Mais mes fils sont à l'intérieur !!

-Oui, mais entrer comme cela S est à proprement parlé : du suicide.

- Et que veux-tu que je fasse ? Que j'attende les cadavres de mes deux fils sagement ?

-Bienévidemment que non! Je voulais juste dire que nous devons agir avec sang froid et planification.

- Ok. Dit mon père avant de s'asseoir dans la voiture laissant ses pieds à l'extérieur.

- Je suis vraiment très déçu de toi  Dematiel, tu m'as assuré que tu me préviendrai si jamais les ravisseurs te contactaient.je te faisais confiance et voila que toi tu m'as caché des choses.  Dit Gustave très mécontent et se sentant trahit.

-Pardonne moi Gustave.  Les ravisseurs ont menacé de tuer mon fils si je prévenais la police....

-Mais tu es une personne très réfléchie et sensée, tu aurais du me contacter.  Je ne suis pas de la police bon sang....!!

-J'ai voulu le faire, à la même seconde mais.......

-Mais quoi?? Demanda Gustave impatient.

-Amalia , Amalia m'a demandé de ne rien te dire si non elle se suiciderait. Amalia en est capable.  J'ai vraiment pris peur.

-D'accord. Franck et moi allons entrer et toi tu vas rester ici.

- Quoi??  Mes fils sont à l'intérieur , mais.....

-Désolé Dematiel. Dit Gustave après avoir assommé mon père. À présent Franck, nous allons entrer. Sois très méthodique et garde les yeux grands ouverts.

-D'accord, allons-y.

      Dans la tête de Gustave au moment d'entrer:

-《 Ce bruit énorme n'était pas vraiment un bon signe. J'espère que cet endroit ne va pas se transformer en lieu de fusillade. 》

    Pendant ce temps là, dans les couloirs de l'entrepôt, calavero se rassénérait progréssivement et essayait d'assimiler tout ce qui se passait.

-Ça va patron??? Demanda Nicolsonn qui tenait fermement mon frère.

-Comment est ce possible, mais comment peut-il débarquer aujourd'hui à cette heure ?!! S'exclama calavero en frappant le mur de son poing.

-À tous les coups ce prétentieux de Mendez S'est trompé  dans ses estimations. Dit Gonzales.

-Mendez ne se trompe jamais.  Ja........Mais.  C'est justement la je l'ai choisi. Ce fumier a du user d'un superfluge pour nous duper.  Il faut toujours qu'il soit plus malin que moi.

-Que faisons nous patron?? Demanda machlovich.

-Toi tu vas t'enquérir de la situation auprès de nos autres  hommes.  Dit Il en regardant machlovich avant de dire à Nicolsonn et Gonzales de le suivre avec les gamins(Mon frère et moi )

    En une minute, nous arrivâmes devant la pièce Alicia siégeait seule.

-Mais que ce passe t-il encore?? Demanda Alicia en sursautant.

-Toi tu la fermes.  Dit Calavero en retirant les menottes du côté de l'armoire avant de tirer Alicia à l'extérieur où elle nous vis Cavil et moi, toujours contraint par Gonzales et Nicolsonn.

    Nous, nous mirent en route vers la cave pendant que le colonel ne faisait qu'une bouchée des hommes de mains de calavero.  En plus d'être un soldat très performant, l'effet de surprise jouait en sa fafeur. Son leurre n'a fait qu'une bouchée des compétences de mendez.  En tant qu'expert, il S a très vite compris qu'ils se serviraient de son talkie-walkie  pour tracer ses déplacements et au lieu de simplement le jeter, ou encore le détruire, il l'a confié à l un de ses subordonnés qui faisait le trajet normalement pendant que lui s'activait pour arriver avant l'heure.

     Dans la cave, calavero nous avait menotté tous les trois à une chaise avant de se charger d'arme, de munitions et de grenades. Nicolsonn et Gonzales firent de même et tous les trois sortirent en refermant derrière eux. Il faisait très sombre, l'on pouvait à peine s'apercevoir dans cette pièce lugubre. Je sentais l'atmosphère très lourde, mon frère et Alicia n'arrêtaient pas de se dévisager et de reporter le regards sur moi par la suite.

-Sûrement, vous ne vous connaissez pas.  Cavil, je te présente ALICIA et Alicia je te présente mon grand-frère Cavil.

-Alors s'est à cause d'elle que t'as été séquestré ? Dit mon frère d'un air répprobateur.

- Mais qu'est ce que tu racontes ? Demanda Alicia fin air amusé. Si ton frère n'était pas entré par effraction chez moi, je peux t'assurer que je ne me trouverai pas ici. Donc, avant d'ouvrir ta grande bouche pour me faire des sermons , assure toi d'être à la ligne.

-je rêve ou c'est à moi que cette meuf s'adresse sur ce ton?? 

-T'es vraiment qu'un abruti . En plus d'être stupide tu ridicule.

-T as dis quoi là? Répète un peu voir.... T'es qu'un cailloux dans la chaussure de mon frère.  À cause de toi....

-Tu ferais mieux de la boucler. Car je peux t'assurer que si tu continue je vais finir par te casser la gueule.

-Sans blague......Dit Mon frère très sarcastique.

-Tu devrais pas l'énerver Cavil.  Elle a un sacré caractère, tu peux me croire.

-Un sacre caractère ? Ce qui fautpas entendre......

-Je vais vraiment finir par lui casser la gueule Kevin. Tu peux me croire.

-Arrêtez tous les deux. Vous ne cessez pas de vous jacasser et moi je me sens vraiment mal. Je suis pratiquement à l'article de la mort et vous vous discutez comme chien et chat.

-T'as suivi?? Tu déranges mon frère avec ton blabla. Tu ferais mieux de la fermer. Dit mon frère.

-Alors là c'est la meilleure. Qui n'arrête pas d'élever la voix depuis tout à l'heure ? Moi peut-être ?

  Oh....la..la..la..la.., c'était manifestement pas le grand amour entre l'amour de ma vie et mon frère.

la fille du colonel : mon amour impossible Tome 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant