Chapitre 13 : violente altercation

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- Calavero, montre toi espèce de peureux. Dit Le colonel pointant son arme vers le vide en regardant tout autour de lui.

- Je vais buter ta bâtarde . Je vais la buter. L'on avait un accord mais tu n'en a fait qu'à ta caboche.

-Qu'il y'a t'il? Ça te vexe car pour une fois le traître ce n'est pas toi?

-Ah..ah..ah. Ton sarcasme est affligeant.

-Tu es vraiment vexé alors.... tu comprends ce qu'ont ressenti toutes ces personnes à qui tu as donné ta parole qui ne vaut que dalle.......

- La ferme !!! Cria t-il en titrant dans tous les sens. Arrêtes de me provoquer Dagano.

-J'ai neutralisé tous tes hommes. Il ne t'en reste à peine une poignée. Tu es fichu alors rends toi...! Tu as perdu, arrêtes donc de te cacher derrière ses centenaires dans le noir.

-Tirez sur lui. Allez-y !!

Suite à ces mots Machlovich, Gonzales et Nicolsonn se mirent à tirer en rafal. Gonzales tirait caché derrière un contenaire en hauteur tandis que les deux autres étaient complètement à découvert.

Le colonel se cacha derrière un contenaire lui aussi afin de se protéger des balles de ses détracteurs. Ces derniers quand à eux tiraient avec plus d'ardeur, renouvelant la charge de leurs armes, réduisant les cachettes de Dagano en charpi à l'aide de grenade et de la mitraillette maniée par Gonzales. Cette pièce était vraiment immense. Deplus, de larges contenaires parsemait la pièce et créait le terrain parfait pour une altercation ou encore une fusillade.

Calavero toujours en retrait se délectait de ce spectacle.

-Que disais-tu Dagano ? Je n'ai plus d'échappatoire ? Je suis fichu? Regarde comme tu es acculé. Tu vas de cachette en cachette sans même te rendre compte que tu te raproche dangereusement de mes hommes.

-Aie! S'exclama le colonel, adossé derrière l'un des centenaires, suite à la douleur causée par l'une des balles qui s'était logée dans son bras droit.

- Il est blessé ? Se demanda Nicolsonn pendant que machlovich rechargeait son arme.

- Je vois que tu ne retiendra jamais la leçon imbécile. Dit le colonel amusé, le bras parcouru par une vive douleur.

- Mais qu'est ce que tu marmonne? Demanda Calavero intrigué.


Pendant ce temps là , Mendez rassemblait ses affaires :( ordinateur, câble, traceur, machine à décrypter et autre matériels très sophistiqués). Il s'apprêtait à s'enfuir mais Gustave et son acolyte firent éruption dans la pièce.

- Les mains en l'air!

-Quoi ? Mais qu'est ce qui ce passe? Demanda t-il feignant l'étonnement.

-Ne joue pas à l'ignorant. Dépose tes affaires et lève les bras. Dit Franck son arme pointée droit sur son interlocuteur.

- Ok......Ok.......Ok! Je vais faire ce que vous dites mais ne tirez pas, je vous en prie.......

-Arrêtes de parler et mets toi à genou. Passe lui les menotté Franck.

-Tout de suite.

-Tu vas rester ici avec lui et en profiter pour faire une perquisition . De Mon côté je vais chercher les otages.

-À vos ordres.

- Mais de quoi tu parles Dagano? Parles!!

-Tu étais tellement occupé à fanfaronner que tu n'as même pas remarqué que je dissimulait des mini bombes tout autour.

la fille du colonel : mon amour impossible Tome 1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant