Alessandro 18h38 dans une voiture
Mes mains étaient posées sur mon volant froid ,j'apporté une cigarette à mes lèvres pour ensuite l'allumer , je devais me changer les idées toutes mes pensées étaient troublé, embrumé par la situation qui venait de ce produire. Ces putains de bras étaient charcuter, complètement bousiller, elle voulait tellement se détruire à se point? J'expirais profondément la fumée de ma bouche avant d'arrivée à destination, la seule qui me donnait vraiment envie de me lever le matin ,c'était comme mon avre de paix elle était mon avre de paix.
Je me garai devant la maison, elle était toujours aussi grande mais repeinte depuis peu en un marron plus frais. Je sorti de la voiture et me présenta à la grille pour que ces toutous de gardes fouillent mon cul à la lampe torche.Je viens tout les jours depuis je ne sais combien d'années va falloir me reconnaître à un moment.
Après être enfin entré, je me plaçait au bout de l allée florale qui continué jusqu'à l'entrée puis j'écrase ma cigarette bien consommé sous mon talon. Après quelques minutes je vis la porte s'ouvrir pour faire apparaître une petite fille pas plus haute que 3 pommes aux cheveux brun persant et des yeux bleus hivernale. Je ne pu retenir mon sourire en m'agenouillant pour la laisser me courir dans les bras.
-Grand frère ! S'exclama ce petit ange me serrant plus fort que tout. Elle me renifla avant de me gronder "grand frère tu pu le truc que papa mets dans sa bouche"
Je ricane avant de la porter contre moi en suivant avec une attaque de guillies qui la fit rire aux éclats. Ce petit ange était mon pansement à chaque fois que je venais , ces rires et ces larmes de joie sont mon plus grand bonheur.Comment un enfant peut me rendre si heureux ?
Mais malheureusement, mon bonheur fut de courte durée ,sa mère se présenta à l'entrée de la maison avec son regard habituel toujours aussi vert , froid et provocateur. Elle était grande et fine elle l'avait toujours été d'ailleurs ,ses cheveux courts lui allongé le visage ce qui accentué la peur qu'elle voulait faire passée.
-Alessandro ! S'exclama t-elle avec un sourire aussi faux qu'un enfant entrain de mentir.
-Abigail ,c'est un plaisir de te voir dit donc. Toujours aussi responsable avec ta fille je l'espère ?Elle me tendis un regard sarcastique et m'invita à entrer. Comme toujours l'avait été le manoir, vieillot , avec une décoration suivant le manoir qui m'écœure vraiment. Arrivée au salon ,l'odeur de lavande empestait la pièce entière accompagnée de la décoration de vases et de cadres photo de la famille. Je n'avais plus que à attendre mon patron, au moins je n'était pas seul j'avais un petit radiateur complètement emmitouflée dans mes bras ce qui me faisait sourire sans le vouloir.
2 heures , Abby c'était calmer dans mes bras la plongeant dans un sommeil profond. Sans hésiter, je la rapporta dans sa chambre sans dessus dessous remplis de jouets de peluches au sol.
Après avoir mis Abby dans son lit je rangeais sa chambre légèrement.Je ne voulais pas qu'elle se blesse.
Sa mère entra avec délicatesse dans sa chambre pour me chuchoté à l'oreille:
-N'oublie jamais Alessandro que tu n'es pas son frère, tu as beau être là depuis des années pour mon mari tu ne sera jamais quelqu'un en lien avec ma fille.
-Oh tu crois ? Touche à un de ses cheveux et je te crevé les yeux avec tes ongles de pute compris ?Son regard devenue plus sombre ,remplit de colère et de questionnement. " Qui était-il pour lui tenir tête sérieusement ? " Cette question se lisait parfaitement dans ses yeux remplis d'amertume et d'orgueil, cette femme était tout simplement la pour de l'argent et la popularité du nom de son mari : Walker. Son regard ne m'atteignait très clairement pas , mais une seule chose m'inquiète, elle serait capable de jeté en pâture sa fille pour je ne sais quoi , la peur de perdre Abby était bien trop grande pour être compté. Je borde délicatement Abby en apportant près d'elle son lapin rose, sans savoir pourquoi, son lapin me faisait penser à celui de Rosalie mais en mieux , le sien était tout simplement terrifiant pour un enfant en bas âge. Au bout de quelques minutes dans mes pensées la sonnette retentit : il était la. Mon attitude devenu plus sérieuse en sortant de la chambre rose de Abby. Ce long couloir devenait interminable ,il était orné de tableau de famille tous avec un cadre d'or ,il y avait exactement 10 tableaux des figures principales de cette famille.
10 putain de générations
Son ombre était imposante grâce à la lumière traversant le vitrail au dessus de la porte. Il me brandissait un sourire accompagnée de toute ses dents, ses cheveux teinté de la vieillesse était bien plus intense dans cette lumière, Éric Walker était rentré.
-Alessandro ! C'est un plaisir de te voir, que me vaut ta visite ?
-Commence pas à faire le surpris ,tu sais très bien pourquoi je suis la.Il me sourit , montrant parfaitement son sarcasme bien trop poussé. Nous nous dirigeons vers son bureau , le tableau de sa famille accroché au mur et les meubles de bois embellie de gravure montre la richesse inouï de cette famille. Éric s'asseya dans son fauteuil de cuir puis posa un dossier sur le bureau. Je pris le dossier et l'ouvra puis je releva la tête montrant une expression des plus froides et enragée, il savait exactement que je ne voulais pas de sa.
-C'est une femme Éric c'est hors de question.
-D'accord aucun problème alors , tu tuera Abby ? Sa te vas comme sa ?Sans hésité il se leva l'arme à la main se dirigeant vers la porte de son bureau. Mon cœur tomba au fond de mon estomac mais je ne peux pas montrer mes sentiments, je devais rester impassible à la situation. Je ne pouvais pas tuer cette femme je ne touche pas les femmes. Je ne pouvais pas me permettre de tuer Abby, je ne pouvais pas tout rien ne pouvais être fait dans cette situation. Je dégluti lorsqu'il arriva à mettre sa main sur la porte d'entrée et acquiesca à contre cœur en revoyant le profile de la femme innoncente à torturer et tuer pour son plaisir.
À son grand bonheur il se redirigea à son bureau avant de prendre mon doigt pour y faire une entaille et appuyer mon index entaillé contre un papier attestant mon accord, j'écris mon prénom sous mon empreinte. Dans quelle merde je me suis foutue.
Éric poursuivi en chuchotant à mon oreille "tu m'appartient Alessandro, tout ton être jusqu'à tes poils de bite m'appartienne compris ?"
Ses paroles ne m'atteigne pas loin de la, je suis passé pas bien trop de chose pour que cette merde me fasse peur mais je ne peux pas démentir que je ne lui appartient pas. Après son "coup de pression" ses gardes me raccompagné à la sortie. Je regagne ma voiture et m'allume quasiment directement une cigarette, chaque bouffé était délectable. Il savait exactement mes principes et mes valeurs , pourquoi me demander t-il sa ? Je frappé avec rogne le volant me dirigeant vers la maison ma putain de maison.Maison d'Alessandro 22h12
Enfin arrivé à la maison ,je sortis de la voiture en trombe puis je frappa violemment à la porte obligeant Ethan à m'ouvrir rapidement,
-Mec frappe pas comme sa ! Enfin bon rentre tu vas péter un plomb.
Je ne comprenez pas ,il me tira rapidement à l'intérieur face à la porte de la cave.-T'as choppé quelqu'un ? Lui demandais-je avec hésitation
-Nan ,un des gars de Éric est passé , il l'as jeter en bas ,il m'as jurer que si c'était moi qui y allait , ma tête allait se rajouté à sa collection. Tu sais ce qu'ils veulent que tu fasses Alessandro mais c'est hors de question.
-Jamais je me plairai 2 fois dans la même journée à cette enculer de Éric, c'est ma baraque et c'est Mi Rosa.
-Tu vas bien devoir lui expliquer pourquoi elle est là à un moment.
-C'est pas le sujet Ethan.Nos regards se dirigèrent vers la porte d'entrée de la cave ou plutôt de la salle de torture ou avait été enfermé Rosalie, sans me posé de questions, j'ouvrit la porte montrant l'escalier et la pièce plongée dans le noir puis dévaler les escaliers.
VOUS LISEZ
MI ROSA
RomanceLa vie d'une jeune femme Rosalie n'étant pas déjà toute rose sombrera encore plus dans les bas fonds. Entre meurtre ,cartel mais aussi amour, Rosalie sera plonger dans un monde qui n était pas le sien à cause d'une rencontre pas si hasardeuse. Décou...