elle était là

Larmes de plaisir

                 Laura

Ajax

actuar como si nada hubiera pasado
c'est ce qui c'était passé depuis la dernière soirée, mais pour moi impossible d'arrêter à ce niveau là je voulais tout savoir et tout comprendre !
-Laura el desayuno está listo
-comme si je comprenais l'espagnol
-eres hermosa cuando te despiertas me dit Ajax en descendant les escaliers
-mais qu'est ce que vous avez aujourd'hui
Assise , chacun devant l'autre, le regardant , il dit
-La chambre est prête ? Maria va arriver bientôt
-c'est qui ?
En pensant que c'était sa soeur ou sa cousine ou même quelqu'un de la famille . comment parfois je peux être si débile

- Sa copine . Me dit sa mère avec un sourire radieux.
-ah oui, parce que quelqu'un a pu te supporter disante en poussant un rire moquant.
De suite , de ce que j'avais pu retenir, c'était le regard maléfique qui m'avaient projeté la mère et son chouchou.

Après environ une demi-heure , elle entra , sa valise dans ses mains ,les cheveux courts bruns,une robe noire serrée autour de sa taille fine ,les sourcils bien tracés , les longs cils bien adaptés, elle était tout d'une fille parfaite.
-Un bon voyage ?lui demanda Ajax en se dirigeant vers elle.
-Si c'était que pour te voir.

Il l'a pris dans ses bras et l'embrassa droit aux lèvres .Une colère en moi faisait enterrée une envie de vouloir se débarrasser d'elle.La raison?je ne savais pourquoi.Peut être que c'était mon désir de vengeance d'après la nuit passée ou peut être qu'il fallait admettre le sentiment de plaisir que j'éprouvais à son égard.
Mais en guise de conclusion,j'optais pour le fait que je commençais à devenir folle . C'est mon demi-frère ?non ?

-Maria , je te présente Laura ma demi-sœur
-Enchantée
Je lui passa un sourire indésirable puis je pris ma veste et en voulant sortir,mon père me demanda:
-Tu vas où comme ça ?
-Prendre l'air,c'est possible ?disante en claquante la porte d'entrée

C'était la première fois où je mis mes pieds dehors depuis mon arrivée ,je ne savais où partir ni où  me diriger jusqu'au moment où je vis Ajax s'apprêtant à monter sa voiture.
Une voix en moi me disait d'aller le suivre, jusqu'à où, ou même pourquoi, impossible d'y penser, je n'avais plus le temps pour réfléchir.Je courus pour prendre les clés de la voiture de mon père, pour ensuite me mettre en route.
Une excitation apparaissante , ainsi qu'une peur irrationnelle, je me sentais comme une psychopathe , mais pourtant c'est mon demi-frère ,non? j'ai le droit de savoir où il irait ou même qui était . Mais le problème c'est que je venais de le rencontrer dans même pas deux jours , supposant que je commençais à éprouver des sentiments, mais en arriver à ce stade là pendant cette courte durée, c'est inquiétant
-Bon bref concentre-toi sur la route
je me suis dit en étante  derrière lui.
Des minutes passèrent, au moment où il arrêta sa voiture, je vis deux hommes se dirigèrent vers lui , c'était une sorte d'une maison inhabitée , pour ne pas nier , je me croyais dans un film turc.Quand tout à coup, une main se posa sur la poignée de la porte .Tatoué sur le corps entier,il me pris par mes bras, me sorta de la voiture puis  me posa sur une chaise au milieu du chemin .Jusqu'à un d'eux s'approcha de mon visage essayant de passer sa main dessus
-Un paris , une journée sur mon lit, elle n'arriverait plus à marcher
Je ne savais pas quoi faire à part le fait que je lui avais craché dessus
-Essaye , et sur la vie de ma mère je t'enverrai crever pour des années
-hhh, elle c'est pas à qui elle parle celle là
Et sans même qu'il puisse terminer sa phrase un coup de poignet lui fut mis.Les mains remplis de son sang il lui réponds :
-Rapprochez vous d'elle une autre fois , je vous enterrais vivants.
C'était Ajax , il me détacha puis me trébucha jusqu'à sa voiture.La colère se voyait entre ses yeux, mais sa m'empêcha guère de lui dire:
-ta chérie , c'est que son gars est un bandit
Son même dire un seul mot , il arrêta la voiture au milieu de la route puis baissa le baquet , nos corps étaient tellement proche   que je n'arrivais plus à respirer, pas parce qu'il était sur le fait de m'embrasser, mais surtout qu'il m'étranglait de nouveau.
-Fais sortir de ta bouche  un seul mot et je matraquerais au plein milieu de cette forêt
Passant ainsi sa main entre mes cuisses, il se leva pour redémarrer son automobile.

Il était violent mais d'une manière appréciative , je ne savais ce qu'il faisait était pour me faire taire ou par le fait que nous avions le même père . Mais honnêtement , d'une manière étrange, cette colère et cette violence ne me laisser qu' imaginer une nuit entre ses bras en le caressant jusqu'à arriver au bas . 
            J'avais trouvé son point faible.

Les mains tremblantes, je descendis la vitre , au fond un sentiment de plaisir importun , je sortis le briquet de ma poche puis j'alluma un tarpé.
En poussant un rire railleur, il imposa:
-Et toi ton père , c'est que sa fille se tape des joins .

À ce moment précis, il commençait à m'agacer, je savais qu'il ne connaissait rien de ma vie ni de ce que j'avais vécu ni la raison pour laquelle je me suis retrouvé ici .
Depuis ,  de ce que je me rappelle c'est le fait qu'il m'avait demandé de lui en cogner une , car arrivée à la maison, je me noyai sur mon lit pour réouvrir mes yeux des heures plus tard . Décollante la porte, j'entendis des gémissements venant de sa chambre , mais pour une raison ou une autre, je m'en moquais.
Je descendus vers la cuisine,j'ouvris le frigo  , je pris une cannette de bière que j'avais caché la nuit dernière ,et en voulant sortir , je vis un piano posé au milieu du salon.Les souvenirs remontèrent au beau vieux temps, je me rappela des fois où Lisa me demandait de lui jouer son morceau préféré , elle l'aimait , c'était notre moment à deux seuls , un ton de tristesse dans mon coeur , je m'assois sur la chaise, une larme suivante une autre , je mis mes doigts sur les touches du clavier pour replonger au milieu de l'intense désir . En finissant, une voix derrière s'imposa:
-es muy admirable .
-qu'est ce que t'en as à faire
lui disante en essuyant mes larmes.
Je ne voulais pas qu'il me vit dans cette état , donc essayante de quitter la pièce, il me prit par mon bras , Ses yeux droit aux  miens , il me dit :
-Elle m'a tout raconté.
        À suivre...