CHAPITRE 18: Correction inavouable

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Gerard se réveille peu après minuit, il est toujours saoul, il a la tête comme une pastèque, mais il peut tenir debout, il se rend vite compte de la disparition de son sandwich et renifle comme une forte odeur de sativa dans son studio, deux ou trois engrenage fonctionnent encore dans son cerveau et il réalise ce qui a dut globalement se passer, il fulmine immédiatement de rage.

"Clara...cette emmerdeuse de gonzesse au cheveu bleu!!" grommelle- t-il.

"Qu'est ce qu'elle m'a encore foutu, jamais contente celle la..."

Il rajuste ces fringues machinalement, passe une main dan ses cheveu et titube dans son couloir en direction de la porte d'entrée, grognant toujours il deboule dans le couloir d'un blanc immaculé de l'immeuble et clopine lourdement jusqu'à la porte d'a cote et se met a frapper de grands coups de poings dans cette dernière.

"Clara putain de chienne a la con! ouvre la porte, ouvre cette saloperie de porte de merde ou je la defonce"

"Gégé qu'est ce que tu?"

Elle n'a pas le temps de finir car sa phrase que Gérard passe la pas de la porte en une grande enjambée souple et repousse Clara dans son couloir d'entrée tout en refermant la porte derrière lui avec une dextérité et un silence surprenant au vu de son état d'ébriété... il est devenu fou d'une rage contenue et silencieuse et n'a plus toute sa tête.

A deux mains il chope abruptement Clara par le col et la fait presque décoller du sol pour la ramener à quelque centimètre de lui! son chemisier craque, deux bouton se detache et roulent sur le parquet, la pulpuse poitrine s'echappe du chemiser et revele un soutien gorge noir en dentelle, le regard de Gerard devient bestial et ne se detourne pas de la vue ainse revelé et souffle d"une haleine alcolisé:

"Pour qui tu te prends hein? tu crois que tu peux m'humilier indéfiniment? Me rejeter tout le temps me faire passer pour une sous merde, et a present quoi, entré chez moi comme une voleuse, comme si javais besoin de toi et me faire passé pour un con encore!" il ne regarde pas les yeux de Clara, ses yeux sont rivés sur son décolleté alléchant.

"Mais enfin Gerard ce n'était qu'un sandwich" répond t-elle même si elle se doute immédiatement que ce n'est pas qu'une histoire de casse croute derobé.. Elle comprend qu'il doit y avoir plus que ça la dessous, avec les deux ou trois neuronnes qui fonctionne encore dans sa caboche assomée par l'alcool il a dut faire un bon amalgame de de plein de problemes passé, faire une jolie boule de merde pleine d'imcomprehension et de haine, il doit se sentir vexé de ne jamais avoir réussi a la baisé correctement quand ils sont sorti ensemble quelque mois auparavant, a présent elle vient s'occuper de lui pendant un coma qui aurait pu finir mal... lui a pris son petit casse-croûte...il est vexé, paumé, elle comprend que cette situation peut vite dégénérer en quelque chose de pas terrible et qu'elle marche sur des œufs, il va falloir peser chaque mot et essayer de raisonner diplomatiquement.

"Gérard tu exagères quand même, tu étais saoul, je l'ai juste aidé un peu je pense a toi tu sais, souvent pourquoi on en reparle demain si tu veux? Avec l'esprit clair tout va toujours mieux, va te coucher à présent"

Il lâche Clara qui essaye de fermer son chemisier au dessus de sa voluptueuse poitrine, Gérard a toujours les yeux vissés sur ses seins plantureux, il tend une main en avant bien décidé à peloter les grosse doudounes, il est comme fou , Clara se recule spontanément mais les doigt de Gérard se prennent tout de même dans le milieu de son soutien gorge qui cède et révèle les seins ample et ballotant aux énormes aréoles rose avec leur gros teton qui ressemble a des bonbon plantureux! deux gros gâteaux délicieux surmontés de cerises irrésistibles! Gerard a littéralement la bave au lèvres, elle veut le gifler pour lui faire retrouver son humanité mais il intercepte son poignet avant que le coup porte, il le tord et envoi la fille valser dans son salon, ou elle manque de tomber au sol, il s'avance lui aussi, d'un pas lourd et menaçant et franchi la porte du couloir.

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