{ chapitre 27 }

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Il raccroche, fi mome bougé wouma ko centimètre.

Camille

Elle : Camille Mane ma déguelou woul Tidiane ou bien t'entends pas ?

Moi : Ushaïva s'il te plaît écoute le au moins

Elle : mais mane je rêve ou quoi ? D'après ce qu'il m'a fait, ce qu'il m'a dit Camille c'est toi qui est entrain de me dire pour que j'écoute ce salop

Moi : c'est parceque on a discuté je sais maintenant les raisons pour lesquelles il a fait ça

Elle : aucune raison, aucune raison me définir cet acte laisse moi s'il te plaît

En se levant, je l'arrête par la main

Moi : Ushaïva fait le pour moi pour ton bébé va l'écouter je t'en supplie laisse ton orgueil de côté s'il te plaît

Elle : pourquoi faire ? Pour que je me remets à pleurer

Moi : si c'était ça je ne te dirai jamais de l'écouter

Elle :....okay

Moi : merci beaucoup, il va venir ce soir quand je partirai bosser, s'il te plaît doucement t'es enceinte

-si c'est ça qui t'arranges okay

Dit t'elle indifférente presque les larmes aux yeux, je l'enlace très forte , aucune femme ne mérite ça.

Il était 15 h du coup je me prépare pour aller travailler, je prends un bain rien de spécial j'opte une robe ample avec des talons, quelques bijoux, parfum et c'est bon .

Éclipse du trajet

Ushaïva

Je redescends ma robe pour faire sortir ma poitrine, faisais-je semblant de contredire ce que Camille me parlait où je désirais revoir ce con . Quelle genre de personne j'suis ? Tout ce que j'ai enduré je me permets de penser à ses choses perverses alalala .

Ting Ting

Dois-je l'ouvrir ?

Je tourne la clef deux fois et tire soigneusement la porte, son odorat masculin affilie mes narines à l'instant même, je faisais la mâchoire dur à l'extérieur mais à l'intérieur je fonds.

Il me dépasse en entrant je tourne ma tête de l'autre côté pour ne pas respirer son parfum qu'il avait fait exprès d'en mettre beaucoup ( c'était mon préféré ) , toujours le même il n'a pas changé d'un yota j'ai ressenti des papillons dans mon ventre , avais-je toujours des sentiments pour lui ?

Je m'assoie sur le canapé opposé, effronté qu'il est, il se permet de tirer une chaise entre mes jambes pour bien me fixer alors que je portais une robe, mais il est désaxé ce mec

Moi ( en me levant ): daguay ndialo légui ?

Il rigole

- si je le voulais défone nako bou yague Ushaïva lolou indi wouma fi

Moi : alors dit ce que tu as à dire et fiche le camp

Lui : okay d'abord comment tu vas ?

Moi ( rire ): qu'est-ce que tu pensais hein ? Si tu te casses je vais finir dans la rue avec mon enfant pour que mes ennemis s'en réjouit nonono je vais excellament bien machallah je manque rien et mon enfant aussi si c'était ça ta venue tu peux faire demi tour parceque yalla fatéwou ma

chronique sénégalaise : Amoureuse d'un Mouride Où les histoires vivent. Découvrez maintenant