{ chapitre 48 }

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Momar : recommençons princesse

.......

Moi :....je t'aime Momar

Je me jette sur lui en l'embrassant à mon tour, il rigole et me prends par les hanches avant de me tourner en rond .

Lui : je t'aime aussi, tu veux danser avec moi

Je mets ma main sur son épaule et la sienne sur mes hanches, nos mains gauches s'entremêlent , on a fait une petite danse classique devant les violonistes .

Moi : les secrets que j'ai gardé dans mon cœur sont plus difficiles à cacher que je ne le pensais peut être je veux être à toi

Lui : je savais qu'on allait se réconcilier

Moi : c'est qui ton marabout, comment t'as su que j'allais accepter tes excuses en plus ma mère t'as vraiment donné mes bagages

Lui : parceque je sais que tu m'aimes, je t'aime aussi c'est nos cœurs qui parlent

— tu m'as manqué

Dis-je en mettant mes bras derrière son cou

Momar : vient on rentre, toi et moi, tu sais ce qui va se suivre

Moi : j'suis partante

On rigole ensemble, comment il m'avait manqué. Je pourrais jamais dire que j'ai plus de sentiments pour lui , ça serait un mensonge .

Il demande aux violonistes de s'arrêter et me prend par la main .

On sort du restaurant, j'avais même pas terminé mon dîné mdrr .

Il m'ouvre la portière, je m'assoie et il entre en démarrant la voiture .

J'attache ma ceinture, j'ouvre la vitre , laissant le vent entrer .

(....)

Le chemin était un peu long , il s'est arrêté aux Almadies, il se gare devant un immeuble luxueux . Mon quartier de rêve . C'était tellement stylé la nuit .

Il prend ma main et on entre à l'intérieur. Il ouvre la porte de notre appartement .

Je dirais qu'on était autre part, tellement à l'intérieur était somptueux, tout était en verre . C'était climatisé, l'appartement était grandiose . la décoration était sublime et épatante . Les tableaux, les vases, la vue en dehors, tout était parfait .

Il vient se mettre dos de moi et pose ses mains sur mes bras .

Momar : t'aime bien ?

Moi : ouii, c'est magnifique bébé

Momar : et dire que y'a une heure tu refusais de dire ce mot

Je rigole, il a tout ce qu'il faut, je l'aimerais sans arrêt, on se comble

Momar : viens je te montre quelque chose

Il prend ma main et me dirige devant une chambre, il ouvre la porte et on entre .

C'était notre chambre, elle était super spacieuse et bien décorée . J'ai trouvé mes bagages à côté, omg, si je l'avais dit non .

Il ferme la porte à clef .

Moi : pas envie d'être sage ce soir

Lui: recommençons à zéro

On s'assoit sur le lit .

Moi : salut, je m'appelle Maïmouna

Lui : moi c'est Chérif Momar, on nous a donné à un mariage arrangé

chronique sénégalaise : Amoureuse d'un Mouride Où les histoires vivent. Découvrez maintenant