Les cinq feux s'éteignent et les moteurs grondent. Les poils de mon bras se lèvent et un frisson m'envahît. La pluie ne me permet pas de voir ce qu'il se passe et cela me stresse encore plus.
Le public est dingue et ne cesse de scandé le prénom de l...
Après avoir pris soigneusement le temps de nous préparer. Je pris mon téléphone en immortalisant ce moment:
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Une fois que Marta eut finis de se préparer, nous rejoignons les garçons dans la rue. Je n'arrivais pas a y croire. J'étais là, en Grèce avec mes amis, la personne que j'apprécie et une paysage à couper le souffle. Je vivais la vie que tout le monde rêvait.
Apres avoir pris place à notre table, et beaucoup d'éclat de rire, nos plats arrivèrent. Affamé de notre journée, je dégustais les spécialités sous l'œil de Charles. Il faut dire qu'il était, comme à son habitude, d'une élégance exceptionnelle. Avec son pantalon en lin beige et sa chemise à moitié ouverte, il faisait monter la température. Je n'avais qu'une seule envie: lui sauter dessus.
Mon esprit revint vite à la réalité quand Thaïs prononça mon prénom:
« Nina que dirais-tu de partir faire un tour de catamaran demain ? »
Je finis d'avaler avant de rétorquer: « Avec plaisir, mais plutôt en début d'après-midi »
Tout le monde hocha la tête, sauf Nico qui était en train de tirer la tête.
« Qu'est ce qui t'arrive ? » demanda Charles
« J'ai manger un truc... épicé, donnez moi de l'eau s'il vous plaît ! »
J'éclatais de rire comme la plupart des personnes à la table. Cette bande d'ami ne cessera de me faire rire, il est vrai que la saison de F1 était bien entamée mais ces petits moments de répits nous faisaient du bien. Charles qui était placé en bout de table se déplaça à côté de moi lorsque la chaise fut vide. La musique était lancé donc certains d'entre nous étaient déjà parti bouger les hanches. Pour ma part je sirotait mon verre en m'extasiant de la vue. Mais une fois que ce bel homme fut à côté de moi, impossible de détacher mes yeux de lui. Il me regarda avec des yeux provocateurs.
« Cette robe te va à ravir » me dit-il sans poser sa main sur moi
« Merci beaucoup, et toi tu n'es pas si mal que ça » je répliquais avec des yeux dévoreurs
« Mais tu serais bien plus belle sans... »
« Ah bon, mais tu sais quand mieux public nous ne pouvons pas » pourtant je mourrais d'envie de l'attraper.
L'adrénaline monta entre nous deux, comment quelqu'un pouvait-il me faire ressentir des choses pareils. J'étais sur un petit nuage. Nos regards ne se quittaient pas, mais ils s'appelaient l'un l'autre. Lorsque sa main effleura ma cuisse un frisson se glissa dans mon dos ce qui le fit réagir.
« Il est temps de ranger nos valises non ? Je crois avoir oublier quelque chose... » ne dit-il plein d'excitation.
Voulant jouer avec ses nerfs, je ne leva et me glissa derrière son dos prêt de son oreille, nous verrions jusqu'à quand il allait supporter ce petit jeu. Je savais que les enjeux était grand, et j'avoue éprouver des sentiments fort, presque de l'amour, mais je ne voulais pas perdre. Alors je répliqua pleine de désir:
« Moi je pense avec oublier l'un de mes sous-vêtements... » Je le laissa analyser l'information avant de me diriger vers la piste de dance. Je suis sûr qu'à se moment précis, Charles compris le message. Car il arriva sur la piste de danse, touchant légèrement mon arrière train avant de s'adressait aux membre du groupe déjà bien alcoolisé.
« Désolée tout le monde mais je me sens un peu fatigué je rentre à la villa mais on se voit demain. Nina veux-tu m'accompagner ? »
Ce n'étais pas réellement une question mais plutôt un supplice. J'en mourrais d'envie, alors je fit un signe de la main avant de m'éclipser derrière mon beau brun.
Une fois la porte d'entrée fermée à clé et les rideaux tirés il ne fut pas longtemps avant que nos habits tombent. Mais je me fut un réel plaisir de faire attendre Charles, dans sa voiture c'est lui qui contrôlait mais aujourd'hui j'avais envie de le prendre. Il me regarda sans me toucher, ses yeux glissait sur mes formes et la chaleur montée de plus en plus. Il s'asseyait sur le fauteuil en fasse de la fenêtre à quelques mètre de moi. Je pris un bandeau dans ma valise et lui meta sur ses yeux. Après tout cela lui ferait oublier sa voiture une minutes, ou, sûrement plus.
Je me mis derrière en lui caressant le torse, ma bouche collé à son oreille: « J'espère que tu apprécies l'attention »
Il répondant par un soupir entre son sourire.
Je me mis cette fois devant, assis sur ses genoux, fasse à lui. Dans le prévenir je l'embrassa ce qui lui procura une vague de chaleur puisqu'il me rapprocha de lui. Ses muscles contractés ne donnaient encore plus envie de lui. Au moment où il se leva, il n'eut aucun mal à le porter aussi. « Tu as joué alors c'est à mon tour » me dit-il.
Il me déposa sur le lit, et ôta son bandeau. D'un geste furtif il le jeta en arrière et étant sur moi, il posa ses lèvres dans mon cou. J'aimais sentir son souffle près de ma peau. Il continua à descendre sans jamais s'arrêtait. Puis il mordu légèrement l'intérieur de ma cuisse. Je retiens un léger gémissement ce qui le fit sourire.
« Maintenant on fait moins la maline Nina »
Je pris une profonde inspiration lorsqu'il n'hésita pas et continuer son geste cette fois dans un endroit caché. Je ne fit pas long feu, mais lorsque je le dit revenir à mon niveau je n'eut qu'une envie:
« Charles dis moi le... »
Il me fixa avec ses yeux luisant. Il m'embrassa et glissa ses lèvres prêt de mon oreille:
« Je peux te faire plaisir mais je ne perdrais pas »
Ces paroles me rendirent dingue et je l'invita à continuer ses mouvements, jusqu'au point de notre extase. Les gestes parlaient d'eux même, plus besoin de mots...
Une longue nuit suivit, lui colle à l'autre, les cœurs battant à l'unisson. Un jour je craquerais...
