XVIII

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Charles est parti depuis un moment, entre les interviews et la préparation à la qualification il n'avait pas le temps de rester au lit avec moi. Je me dépêche de m'habiller pour pourvoir le rejoindre et surtout revoir Thaïs que j'ai laissé à l'aéroport.
Voici ma tenue du jour:

Je descends du bâtiment et je rejoins l'écurie Ferrari

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Je descends du bâtiment et je rejoins l'écurie Ferrari. Sur ma route je rencontre pas mal de photographes qui me demande de me prendre en photo. Leur flash m'éblouissent et je les ignorent en continuant ma route. Charles a passé ses interviews, m'informe l'un de ses mécaniciens. Je retrouve Carlos dans sa loge et je lui demande où est le monégasque.
À peine sorti de celle-ci je tombe nez à nez avec lui .

« Parfait c'est toi que je cherchais» me dit il. Il attrape ma main et me dirige vers le salon privé de Ferrari.

« Charles où est-ce que tu m'emmènes ? »

Une fois arrivée en haut, il place sa main dans mon dos et nous arrivons devant un groupe de personnes. Charles les embrasses est l'une des femmes présentes le prend dans ses bras.

« Nina je te présente ma mère, Pascale. Mon frère Arthur et mon autre frère Alonso »

Je reste sur le cul si je m'attendais à rencontrer la famille de Charles aujourd'hui la réponse ce serait non. Certes nous sommes chez lui mais je pensais les voir plus conventionnellement. Je leur souris et et la mère de Charles me prend dans ses bras.

« Que tu es belle, qu'est-ce qu'une fille comme toi fais avec mon fils »

Je me mets à rire. Charles souffle mais ne me quitte pas des yeux. Il me parle à l'oreille:

« a croire que j'ai de la chance »

« Je suis contente de faire votre connaissance, Charles m'a parlé de vous à plusieurs reprises »

Nous papotons un peu plus de dix minutes. C'est l'heure pour Charles d'y aller, il m'embrasse et un sourire se dessine sur son visage et le mien.

« Sois prudent, et surtout donne toi à fond » j'essaye de l'encourager un max

Il quitte la pièce et sa mère nous amène sur les fauteuils en face du grand écran,
Je m'assois à côté de Arthur.

« Donc tu es la copine à mon frère ?!»

« Et bien on dirait bien »

« tu dois être importante à ses yeux, c'est rare qu'il présente une femme à sa famille »

J'hoches les sourcils, comme ça je suis spécial ? Je souris bêtement.
Sa mère pose une main sur ma cuisse, Elle a un air rassurant.

« Et qu'est ce que tu fais dans la vie ? »

« J'étudie les langues étrangères je veux faire translater »

Alonso prend la parole: « c'est un très beau projet que tu as là »

Rendez-vous au premier virage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant