𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟑

72 9 0
                                    

( Je vous conseille de mettre la vidéo en route pour vous plongez dans l'ambiance)

À ma grande surprise, c'était l'homme de tout à l'heure.

Il se tient devant moi, je fus surprise ne m'attendant pas à ce qu'il soit aussi grand, très grand.
J'ai dut lever ma tête pour le regarder.

Cet homme était un charme aussi sombre que captivant. Ses cheveux, en désordre, ajoutaient une touche de sauvagerie à son apparence. Ses yeux, étaient d'un gris clairs comme le ciel d'hiver, où les nuages mêlent en une masse claire et lumineuse. Ils émettaient une lueur, froid et dangereuse, tellement dangereuse que sa m'en donnait des frissons.

Mais ce n'était pas seulement son apparence qui attirait l'attention autour de lui. Il y avait quelque chose d'indéfinissable, une aura de mystère qui l'entourait.

— Madame.

— Monsieur.

— Vous êtes l'une des premières personnes à me faire sentir plus frustré qu'intriguer...

Sa voix résonnait tel un murmure envoûtant, captivant tous ceux qui l'entendaient.
C'était une voix grave, profonde, empreinte d'une sensualité indéniable. Chaque mot qu'il prononçait était comme une caresse sur la peau.

— J'ai eu comme l'impression que vous dansiez que pour moi, c'était... très intime.

— C'était peut-être mon but.

Il hausse un sourcil amusé par ma réponse, tout en gardant un contact visuel avec moi.

Je frissonne, comme si ses yeux perçants lisaient tout en moi. Je sentais la réaction de son corps à la présence du mien.

— Votre nom.

— Quoi ?

— ...

— Euh, Naevys, oui... Naevys.

Oh mon doux depuis quand je bégaie !
Est-ce à cause de cet homme ?
Qui sa peut bien être ?

— Non seulement tu es d'une beauté, mais en plus tu as un prénom plutôt charmant et original.

Il me tutoie maintenant ?

— Vous dites cela à toutes les femmes ?

— Seulement à celles qui m'intéressent Naevys, murmure t'il le sourire au coin des lèvres.

Je sens qu'il m'envie, et dois avouer que moi aussi.

Il s'approche de moi et chuchote à mon oreille :

— Je m'appelle Caïden, mais je peux être ton érotisme princesse...

L'insinuation sous-jacente de sa phrase me fit rougir malgré moi, mon esprit s'égarait momentanément dans des pensées interdites.

"Ton érotisme princesse"

Oh bon sang...

Je me repris avant d'aller plus loin.
Consciente qu'il faisait référence à ce qu'il s'était passé entre nous sur la scène.

Il sait ce qu'il fait, mais s'il pense que j'avais oublié son petit jeu.

Je me repris, et lui fit un sourire malicieuse :

— Allez plutôt revoir les femmes avec qui vous étiez plus tôt, et ne pensez pas me prendre pour acquise, je suis loin d'être facile.

Un rire grave sortit de ses lèvres, ses yeux brillaient toujours de cette lueur dangereuse.

NAEVYSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant