Un poème

Aveu

C'était peu être la seule fois, mais ce fut la première fois.
Je ne te verrai plus ce qui est sûr.
Tu t'en es allé ça j'en suis sûr.

Un coup de coeur.Une naissance incompréhensible en si peu de temps.
Dans se cet intervalle de temps

Je fût tel le plus Charlotté des douceurs de ces banquets aux grandes soirée.
La mélodie de ta voix adoucissait mes oreilles. Ma maison, j'y songeais plus.

Le regard de ton acharne beauté suffisait à faire trembler la plus Fortifié des montagnes.
En cette soirée,mon désir fut de t'approcher.

Craintif et chétif je n'ai pu m'approcher de toi .
D'une certaine classe et d'une originalité absolue,il ne faisait que bon vent autour de toi.

Au retour de mon domicile,je ne pensais qu'à l'assaut d'une lettre tel un missile règlé vers toi demoiselle.

L'obscurité de la nuit connaissait mes traces d'anatomie.
Plus qu'une ombre dans mon seum j'étais dépourvu d'émotions,de bon sens Avant que je ne sorte de mon pénombre.

Sur mon lit , j'appris à déchiré mes draps, à médité tel un Moine.
Durant cette nuit, cette si longue période
Épris de chaleur, construisant ce bonheur à coup d' immatériel .

Le sommeil ne m'a point trouvé, c'est bien normal, plus que tout tu m'as attracté.

Y.Truy