DOPE [JiKook]

Un sucre agréable

J'étais plus que perdu, je ne savais pas où tout ça me menait. Pourquoi ça me faisais ça ? Il pouvait voir qui il souhaitait ! ça ne devait pas me gêner normalement, mais voilà qu'a la seconde où j'ai entendu ses mots de sa bouche, mon corps à eu comme une poussée d'adrénaline et toutes mes pensées étaient embrouillées. Après son départ, je me suis effondrer sur le sol, les larme aux yeux et le corps tremblant. J'avais peur au fond je pense, JungKook était ma distraction, il était la seule personne de ma vie à changer mon quotidien en chose incroyable. Son corps m'apportait du réconfort et son être m'apportait un spectacle assez potable pour que je ne m'apitoie pas sur mon sort de secrétaire sans importance.

Il n'est pas ma drogue, enfin je crois. Si on me demande ce que JungKook représente pour moi je ne saurais répondre, peut-être tout simplement parce que personne son existence dans ma vie... Est-ce ça qui me fais me sentir mal ? Le fait que je ne peux en parler à personne, que pendant que Tae et Jin vivent le bel amour, moi je me tape un petit jeune flic, tout ça... Mon boulot de merde avec ce patron aussi con qu'un manche de pioche, des clients aussi casse coquelicots que des gosses en bas âges et cet appartement aussi petit qu'une boite à chaussure...! Tout me gonflait ! Et JungKook avait était ce soir, l'étincelle qui allumait une flamme.

J'avais tout renverser, commençant instinctivement par le salon. Faisant tomber sans regret sur le sol, ma télévision, mon canapé était à l'envers et toutes les photos que j'avais étaient brisés sur le sol. Dans la cuisine, j'avais pleurer, contre le four encore chaud pour finir par le briser avec mon coude qui est maintenant ensanglanté et gonflé. J'avais briser mes placards, vidant chaque étagères et écrasant chaque chose qui est à mes yeux étaient inutile. Blessé physiquement comme mentalement, je voulais prendre une douche, mais au contact de l'eau, mon coude me fit affreusement souffrir. Me rappelant comment j'étais faible et inutile, je n'ai rien détruit dans la salle de bain, parce que les larmes froides et tranchantes glisser le long de mes joues et me paralysait. Je ne comprend pas... Pourquoi son départ me fait aussi mal...

Le sommeil je l'ai cherché en vain... Maintenant il est 6 heures du matin et je dois me lever pour travailler. Je me douche encore une fois, saute le petit déjeuner et m'habille de mon costard habituelle. Je me regardais dans le miroir, mes cheveux rouges sont un peu pâle, je vais devoir refaire la couleur. Ma peau aussi ressemble à celle d'un mort, mes yeux sont noirs comme un panda. Je souris face à mon visage affreux et sortis de chez moi. Le cœur lourd, les pensées embrouillés et les larmes aux coins des yeux.

NamJoon m'ouvrit la porte, voyant mon visage pâle et morbide, il retenu un sursaut avant de me sourire.

- Nuit blanche petit Jimin ?

- Ouais...

Je partis à ma place, sans lui adresser le moindre sourire. J'allumais mon ordinateur et commençais mon travail. Je parlais au client en essayant de sourire, même si mon corps ne résiste pas bien. Ma tête tourne, mes articulations me brûle et mon cœur semble ralentir à chacun de mes mouvements. Pourquoi je ressentais ça ?! Pourquoi son départ me faisait aussi mal. Je ne crois pas l'aimer, c'était des conclusions hâtives, comment je peux aimer un homme comme ça ? Il couche à droite et à gauche, trimballant ses menottes et son arme avec un sourire, il était fier. Et ça me dégoûtait. Savoir que ce Suga pouvait profitait de lui pendant que moi... Pendant que moi je me fais du mal pour quelque chose qui n'as pas d'importance. Et puis, vue leur discussion, ils devaient se connaître depuis longtemps, ils semblaient proches. Tellement, plus que moi et lui. Et je crois que ça me gênait.

La pause de midi était arriver pour moi, je me levais difficilement et fût victime d'un étourdissement. Je m'appuyer au comptoir de mon bureau et secouait ma tête de droite à gauche pour reprendre mes esprits, je soupirais et me mit en marche vers un restaurant pas loin. Un snack plutôt, j'y allait tout le temps. A peine sortie de l'hôtel, un nouveau étourdissement me prit et je tombait sur les genoux. Je me sentais pas bien du tout...