F1 Oneshots

His Creature | S.V x L.H

Je ne me rappel plus de qui je suis, ni d'où je viens, ni de ce que je suis mais je sais que je ne suis pas normal.
 
Hier encore, j'ai été pousser du toit de mon université par mes harceleurs pourtant, je suis encore en vie et cela terrifie tout le monde, moi également.
 
– "M. VETTEL !"
 
Je sursaute lorsque j'entends la voix de mon prof, M. Sonis, il est très impliqué dans son role de prof de sport mais je me doute qu'il a quelque chose d'important à me dire.
 
– "Oui, M. Sonis."
 
– "N'avez-vous donc pas marre de rêvasser durant mon cours ?"
  
– "Désolé, monsieur, ça ne-"
 
Mes mains sont sur mon nez, celui-là m'était volontairement destiné. Je viens de recevoir le ballon de basket en pleine poire, à pleine force qui plus est. Je masse l'arrête de mon pauvre nez meurtrie par la douleur avant de vulgèrement cracher le sang qui avait coulé dans ma bouche.
 
– "Hughens !"
 
– "Désolé monsieur."
 
Je roule des yeux par ennuie avant de silencieusement me diriger vers les gradains, je m'assois en silence toujours en tenant mon nez lorsqu'une fille de ma classe s'assoit au rang juste derrière moi.
 
– "Quand est-ce que tu leur rendras la monaie de leur pièces ?"
 
– "Jamais. Je ne suis pas eux."
 
– "Voyons Sebastian, tu sais très bien que tu es pire qu'eux. Tu cherches à te voiler la face, mon pauvre chou."
 
– "Je t'en merde. D'ailleurs on ne se connait pas alors pourquoi venir me parler ?"
 
– "Ce soir, dix-neuf heures pétante devant Cold Vibes club. Tu es en retard, tu rattes ta seul et unique chance de savoir qui tu es vraiment."
 
Ma bouche s'ouvrit d'étonement alors que je l'entendis se lever et partir, je restas un instant perplexe assis à regarder le vide avant de me lever, récupérer mes affaires et sortir du gymnase.
 
Je n'ai pas encore fini les cours mes avec mon nez en compote j'ai tout de même le droit de rentrer chez moi pour me reposer, alors je marche en direction de ces grandes portes qui mène à l'éxtérieur.
 
Une fois dehors, je me permets enfin de respirer alors que je rejoinds ma voiture, une Porsche 911 GT3RS, le design niveau peinture est peu commode mais il reste stylé de mon point de vue.
 
Elle est blanche, afin de lui apporter du style, elle porte un wrap rouge sang à certain niveau, lui procurent un style ensanglanté de tueur.
 
Je m'installe dans ma voiture et quitte le parking de mon université, la musique joue en fond et le paysage défile sous mes yeux alors que je rentre chez moi.
 
Le soir venu, je me suis préparé mentalement tout le reste de l'après-midi et bien évidemment, la musique a été mon meilleur compagnon si on oublie mon berger malinois.
 
Il est dix heures pétante et je viens d'entrer dans le club, je vais m'asseoir au bar et à peine suis-je assis que le barman me ramène un verre de vodka payé par un inconnu assis un peu plus loin, je regarde le verre un instant avant de le décaler de mon champ de vision.
 
Je regarde autour de moi et me rend compte du silence qui a pris place dans le club, ce silence est du à une bagare au fond du club alors je restes concentré pour ne pas perdre mon objectif.
 
Mais il semblerait que j'ai parlé trop vite, je suis poussé violamment et ma tête heurte le coin d'une table lors de la chute, je restes au sol, du sang coulant le long de ma tempe.
  
Ma vu est trouble dû au choque mais je me relève du mieux que je peux, je prend très vite conscience qu'il y a un problème car j'ai du mal à ouvrir mon œil gauche.

Une main me tient le bras et m'aide à me lever, j'ai à peine le temps de comprendre que je me retrouve à courir hors du club, une main inconnu me tirant.
  
Lorsqu'on est dehors, on s'arrête brusquement et je ne manque pas de rentrer dans le dos de l'inconnu, je m'excuse en massant mon front avant de passer à côté et de rejoindre ma voiture qui est garé juste en face.

Mais une main inconnue au bataillon me retenu par le poignet, je pris une grande expiration avant de me retourner pour voir cette personne.
 
Je me trouve bluffé par la beauté de l'homme qui se tient devant moi. Il est foncé de peau, ses cheveux sont nattés et attachés dans un petit chignon  pour apporter plus d'élégance à la coiffure, il est habillé de manière élégante et décontracté, un pantalon cargo noir avec des baskets et un t-shirt blanc avec un écrito en jzune fluot, le chiffre quarante-quatre et les lettres "L" et "H". Pour couroner le tout une veste noir en cuir avec sur l'épaule droite le même chiffre que sur le t-shirt.
 
– "Qui êtes-vous ?"
 
– "Il y a-t-il un endroit plus discret que le beau milieu d'une route avec un club en bagare ?"
 
– "Je n'irai nul par avec vous sans vous connaitre."
 
– "La Porsche ? C'est la tienne ?"
 
– "Pourquoi ?"
 
Il ne répond pas et me tire jusqu'à ma voiture, j'entends mon épaule se disloquer lorsqu'il me balance contre la voiture, un légé gémissement m'échappe alors qu'il me tient fermemant contre la voiture.
 
– "Ok, ok, ok... lâche moi..."
 
– "Déverouille la voiture et monte. Je t'interdis d'essayer de t'échappee."
 
– "Ok... putain, mon épaule."

– "Arrêtes de pleurer. Tomber du toit de ton Lycée, c'est pire."
 
Je déverouille la voiture et monte, il fait le tour puis monte côté passagee, un silence gênant s'installe alors que je me retiens de gesticuler dans mon siège à cause de la douleur.
 
– "Tu es venu pout une raison, non ?"
 
– "Oui. J'en ai marre de ne pas savoir qui je suis réelllement."
 
– "Ton épaule ?"
 
– "Elle a connût des jours meilleur."
 
– "Tu peux conduire ?"
 
– "Oui. Pourquoi ?"
 
– "Alors on y va."

– "On va où exactement ?"
  
– "Chez toi."
 
– "J'ai le droit de refuser ?"
 
– "Non."
 
– "Avant. Je dois passer quelque part. Attache ta ceinture et pose pas de question. Après on ira chez moi, je le promets."
 
– "J'ai une seule question à laquelle je veux que tu réponds. On va où ?"
 
– "Racewars."
 
Je démarre et quitte la place de parking au quart de tour, je lance un regard au passager inconnu et me rend compte qu'il est plongé dans ses pensées.
 
– "Il y a un problème ?"
 
– "Racewars ? C'est un évènement qui a lieu tout les soirs au Nürburgring lors duquel des pilotes s'affronte sur le circuit et principalement sur la Nordschleife. Comment connais-tu cet évènement ?"
 
– "J'ai accidentellement attérit là-bas, depuis j'y vais car j'ai été designer comme l'un des meilleur sur la nordschleife."

– "Je vois. Tu vas courir ?"
  
– "Je suis pas trop en état pour, bien que j'ai connu pire..."
 
– "Lewis Hamilton."
 
– "Huh ?"
 
– "Je m'appelle Lewis Hamilton."
 
– "Comme dans... Hamilton corporation ?"
 
– "Oui. D'ailleurs, j'ai entendu dire que ta vie n'était pas facile dû à tes différences."
 
– "Effectivement... mais, vous savez n'est-ce pas ? Vous savez qui je suis vraiment..."
 
– "Oui mais je sais pas si tu es prêt à savoir la vérité sur ton existence."
 
– "Ça peut pas êtres si horrible que ça."
 
– "Tu t'en fais bien des illusions, mon pauvre."
 
    
À Suivre...
 
_-_-_-_-_-_-_-_-_-
 
Je tiens à vous remercier pour les plus de 2K de vue sur ce receuille (bien que cela fait un moment qu'il a atteint kes 2K), beaucoup d'entre vous sont impatient pour ka suite de certain OS donc je vous informe qu'avant September les suites seront posté.
 
Merci encore et j'espère que mes histoires vous plaisent.
 
Si jamais, voted, commentez et abonnez-vous pour savoir lorsque je poste une nouvelle histoire ou un nouveau chapitre.
 
Merci, vraiment.