𝐋𝐞 𝐅𝐫𝐨𝐢𝐝.

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J'ai ressenti une douleur atroce à l'arrière de ma tête, tellement forte que ma vision est devenue floue.

Je n'ai à peine eu le temps de me retourner pour voir ce qui se passait et qui m'avait donné ce coup, que mes yeux se sont fermés et je suis tombée au sol.

Je venais de sombrer dans l'inconscience.

...






























Mes yeux s'ouvrent petit à petit. Je ressens encore une grosse douleur à la tête et j'ai l'impression de faiblir.

J'ai même l'impression de ne plus sentir mes jambes, comme si elles n'étaient plus là.

J'ouvre complètement les yeux et je réalise que je suis dans un endroit où je ne devrais pas être.

Je suis attachée à une chaise en bois, dans une grande pièce aux murs sombres sans fenêtre, donc sans aucune source de lumière.

Je n'arrive pas très bien à voir ce qu'il y a dans cette pièce, mais je distingue une table ronde avec deux chaises autour.

Il fait très froid dans cette pièce.

Ma tenue ne m'aide vraiment pas face à ce froid dérangeant.

Je porte un haut moulant sans manches.

Putain, qu'est-ce que je suis conne !

Je prends quelques respirations, puis tourne la tête pour apercevoir une porte.

Devant cette porte, un homme se tenait adossé.

Grand, avec un corps assez robuste.

Mais qui est cet homme ? Et qu'est-ce que je fais ici ?

J'étais seulement dans un zoo, sérieusement ! Pour une fois que je ne cherchais pas d'embrouille, mais seulement la paix.

Je reprends mon sang-froid et décide de parler calmement sans laisser transparaître ma colère.

Moi : Qui êtes-vous ?

J'essayais de parler calmement, même si la colère était perceptible dans ma voix.

Il s'approcha lentement de moi, s'accroupit à mon niveau, puis prit ma mâchoire entre sa main.

Je pouvais enfin voir qui était cet individu.

C'était un homme à la peau métisse et aux yeux verts clairs, légèrement bridés. Il était plutôt fin, mais aussi musclé. Des lèvres pulpeuses et roses, avec une cicatrice visible sur son sourcil droit.

Il n'avait aucune autre imperfection que cette cicatrice.

?? : Tu n'as pas besoin de t'énerver, mia cara. (ma jolie)

Est-ce que ce foutu chien vient de m'appeler "ma jolie" ?

Ça me donne carrément envie de vomir.

Et ses mains, il a intérêt à les retirer immédiatement.

Moi : Si vous ne voulez pas vous créer des problèmes, retirez tout de suite votre sale main et ne m'appelez plus "mia cara".

?? : On m'avait prévenu que la femme de Kayden était agressive. Je sais comment m'y prendre avec les femmes agressives comme toi, mia cara.

Est-ce qu'il connaît Kayden ?

Pourquoi ne kidnappe-t-il pas Kayden directement ?

Moi : Je ne suis pas sa femme ! Et votre main ! dis-je en hurlant.

KAYDEN.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant