On a passé trois jours formidables à Disney. Vraiment. Tout était parfait. Louis l'était aussi. Louis a passait du temps avec Alex, malgré qu'ils aient du mal à aller l'un vers l'autre. Ça prendra du temps mais ils trouveront une relation père/fils, j'en suis sûr. Louis faisait les manèges avec Alex, ils riaient et criaient ensemble, et c'était bon de les voir heureux ensemble.
C'est déjà le dernier soir pour nous ici. Je pourrais y rester encore et encore, mais je pense que ça perdrait de sa magie. Alors on rentre demain, et c'est notre dernière soirée. Louis est rentré avant tout le monde, et je n'ai franchement pas cherché à savoir pourquoi, parce que je profitais de la journée, avec tout le monde. Puis, c'était l'heure de rentrée. Les enfants, Alex est allé dormir avec Niall et Zayn, et Amy avec Liam et Ellie. Je n'ai pas compris pourquoi non plus.
J'ai compris quand je suis rentré dans notre chambre. La lumière était tamisé, quelques bougies étaient disposé, des pétales de fleurs aussi. Le lit était parfaitement fait, une odeur de rose et de jasmin emplissaient la pièce et la voix de Stevie Wonder la berçait. J'ai enlevé ma veste et je me suis avancé vers le centre de la pièce. J'ai appelé Louis, mais il n'a pas répondu. Quelques choses a fait du bruit derrière moi, je me suis retrouvé et c'était Louis. Louis, habillé d'une de mes chemises trop grandes, qui lui arrive au milieu de la cuisse, et en boxer, et rien d'autre. Il sait que j'aime le voir dans mes chemises, et je sais ce qu'il va se passait maintenant. Et si je m'écoutais, je serais déjà à l'intérieur de Louis, depuis longtemps. Ça fait juste, longtemps qu'on n'a rien fait. Et il me manque, physiquement. Il me sourit timidement, et je m'approche de lui :
- Je te l'ai déjà dit, mais je suis vraiment désolé Harry. J'ai été idiot, et je suis l'homme le plus chanceux du monde que tu ne m'as pas laissé tomber. Je referais plus cette erreur, jamais. Je tiens trop à toi, et aux enfants, et je ne prendrais plus jamais le risque de tout perdre.
- Et tu comptes te rattraper avec du sexe ? demande ai-je en lui souriant
- Eh bien, oui ?
Je rigole et l'embrasse doucement. Il sourit dans le baiser, et il m'embrasse plus durement, en insérant sa langue dans ma bouche. Mes mains s'agrippent à ses hanches, et en un bon, il se retrouve accroché à moi, ses jambes autour de ma taille.
lemon:
Je le fais délicatement tomber sur le lit, et me place entre ses jambes. Nos bouches de se lâchent pas, et ma main s'accroche à la sienne. Je me détache de lui, pour l'admirer quelques secondes. IL est magnifique, comme toujours, mais il y a quelques choses d'autres. Comme à chaque fois que l'on fait l'amour. Il y a toujours plus. Le fait qu'il soit remplis de désir, le rends encore plus séduisant et désirable. Je tire doucement ses cheveux, pour m'attaquer plus facilement à son cou. Il gémit et je souris, je sais que son cou, c'est un de ses points faibles. Doucement je déboutonne sa chemise, et aventure mes lèvres sur son torse. Son souffle devient saccadé, et lorsque j'arrive à son nombril, son corps entier s'enflamme et se cambre. Je presse légèrement son érection avec mon torse, et descends encore un peu mes baisers. Je m'attarde sur ses aines, parce que c'est l'endroit que Louis aime le plus. Alors j'embrasse ses aines, je les mordille. « Haz, s'il te plait. » a-t-il supplié. Je lui ai souris et je l'ai embrassé, tout en descendant son boxer. Son érection a tapé contre son bas ventre, et il gémit doucement. J'ai embrassé délicatement tout le long de celle-ci, « Plus » a-t-il supplié encore une fois. J'ai souris et je l'ai pris en bouche délicatement. Rien dans mes gestes n'est précipité. Rien n'est jamais précipité, entre nous. J'ai commencé de longs vas et viens, et Louis gémissait toujours plus, accrochant ses mains aux draps, cambrant son corps, et fermant les yeux. Son bassin bougeait à l'encontre de ma bouche, et au plus il le faisait, au plus je ralentissais mes vas et vient. « Plus vite » a-t-il gémis, « pas tant que tu n'arrêteras pas tes coups de bassins » ai-je répondu en lui souriant narquoisement. Il s'est contenté de gémir de frustration et a essayé de ne plus bougé. J'ai donc repris mes vas et viens, et au plus Louis approchait de l'orgasme, au plus ses poings resserraient les draps, au plus ses gémissements devenaient fort et rauque. Un orgasme qui consume Louis est la chose la plus belle à voir. Vraiment. Je l'essuie tendrement avec ma chemise que je viens d'enlever, et vais l'embrasser. Ses cheveux collent sur son front en sueur et son souffle reprend un rythme normal. On s'embrasse encore, et j'enlève tant bien que mal mon jean et mon boxer. Sans que nos lèvres se quittent, je me place entre les jambes de Louis, et entre délicatement en lui. Il mord ma lèvre inférieure lorsque je suis complétement en lui, et il gémit. Je gémis aussi, et dans un parfaite accord de geste et de son, on fait l'amour. Même si je suis celui au-dessus, je ne fais pas l'amour à Louis. On se fait l'amour, tous les deux, simultanément. Mes gestes ne deviennent jamais plus rudes, ils deviennent plus longs, plus langoureux, et plus rapide. Mais jamais plus fort et rude. J'attrape les deux mains de Louis de part et d'autres de sa tête et accélère mes coups de hanches, en sentant la fin arrivé. J'embrasse Louis plus durement, et dans un dernier coup de hanche je viens en lui, en gémissant fortement. Et là, même ses lèvres n'ont pas pu empêcher mes gémissements. Je me retire délicatement de lui, et m'écroule sur son torse. « Wow » ai-je murmuré. Louis a ris dans mon cou, avant de me faire sentir son érection encore bien présente. Comment diable puis-je résisté à Louis, excité à côté de moi. « J'ai encore besoin de toi, amour ». Je me suis relevé de Louis, et je l'ai délicatement retourné. Il a enfoncé la tête dans les oreillers tandis que je rentrais en lui, assis à califourchon sur ses fesses. Même si on change de position, rien ne change vraiment. Je bouge en lui, dans un rythme ni trop élevé, ni trop lent. Ses gémissements se perdent dans les oreillers, et les miens se perdent dans les baisers que je lui donne, dans le dos. Puis, je ralentis la cadence. « Bébé, mes jambes commence à brûler » lui ai-je murmuré. Bien sûr, il a tout de suite compris, et s'est retourné de lui-même, avant de me poussait sur le lit et de monter à califourchon sur moi. Je préfère tellement lorsque Louis dirige, parce que j'ai tout le loisir de l'admirer. Il monte et descends presque trop rapidement, mais c'est parce qu'il est au bout. J'attrape son érection pour l'aider, et il vient dans un gémissement sourd en essayant de le cacher dans mon cou. Il m'embrasse ensuite mais ne se retire pas. Il continue ses mouvements de hauts en bas, et mon tour ne tarde pas à arriver. J'agrippe fortement ses hanches, bien trop fortement puisqu'il gémit de douleur, et m'enfonce en lui, plus loin et plus vite. Et dans un mouvement d'hanche un peu brutale, je me libère en lui, cambrant mon corps, et criant mon plaisir à tout l'hôtel. Louis se retire de sur moi, et se couche à mes côtés. J'encercle sa taille tandis qu'il se met en « petite cuillère ». J'embrasse sa nuque et le sert contre moi. « Désolé » « Pourquoi ? » « Pour tes hanches, tu risques d'avoir un bleu. » « Ce n'est pas grave, Haz. C'était bon. » « ça l'était, oui. » « Je t'aime. » « Je t'aime aussi, bébé. Je n'ai jamais cessé de le faire. » « Moi non, j'ai jamais cessé de t'aimer, Harry. » « Je le sais. » « Qu'est-ce qu'Alex ta murmurer l'autre fois ? » « Il m'a dit que je serais bête de ne pas te pardonner. » Ai-je dit en souriant dans son cou. « Il est génial, et je m'en veux tellement de l'avoir mis de côté. » « Ça ira, maintenant, ne t'inquiète pas. » « J'ai été nul, et t'avais raison, je ne suis pas un bon père. » « J'étais en colère Louis, bien sûr que tu es un bon père. » « Non. Je suis nul en tant que père, et compagnon. C'était méchant ce que j'ai dit. Je n'aurais pas dû le dire. » « C'est bon, Lou. C'est oublié. » « Je l'oublierais pas moi. Je me sens mal. Et je m'en veux. Comment tu peux de plus m'en vouloir ? » « Tu t'en veux déjà bien assez. Cesse d'y penser, on oublie tout et on repart sur de bonne base. » « Tu es le meilleur, tu le sais ça ? Tu es un meilleur père et un meilleur compagnon que moi. » « Lou, bébé, c'est rien. Tu t'en ai rendu compte, que tu as foirer avec Alex, mais il n'est pas trop tard pour te rattraper. » « Ça va être dur. » « Oui, mais Alex te pardonnera jours après jours. Ne t'inquiète pas, pour ça. Et quand t'as moi, je t'aimerais toujours, et pour toujours. » « Mais tu ne veux pas m'épouser. » « Lou... » « Je sais. Tu me diras oui, un jour. Tu verras. » « Dors, Louis. On part tôt demain. » « Bonne nuit, Haz. » « Bonne nuit. Je t'aime. » « Tu me diras oui, parole de Tomlinson. Je t'aime aussi. » a-t-il ajouté avant de tomber dans les bras de Morphée.
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The lover's shack.
Fanfiction« C’est la plus délicieuse sensation au monde que de se dire qu’on a encore toute la vie devant nous. De réaliser qu’on peut encore changer de route, essayer, expérimenter, tester, qu’on a le droit de faire les plus grosses erreurs du monde et qu’on...