Chapitre 3

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Étonnamment, Livaï m'avait pris dans son escouade. Erwin avait donner la mienne à Mike qui avait perdu ses hommes lors de la dernière expédition.

Nous sommes allé chercher le titan sous le tribunal, tandis que l'escouade nous attendait à l'entrée.

Sur le chemin je n'arrêtais pas de pensé à pourquoi il m'avait demandé. Je ne pouvais empêcher ma langue d'agir en même temps que me cerveau.

- Pourquoi tu as demandé à Erwin de me mettre dans ton escouade ?

- T'es doué. On bosse bien ensemble. Donc tu viens.

Je me suis tus lorsque nous somme arrivé à la hauteur de la cellule. Les soldats des brigades spécial nous ont fait un léger signe de tête avant d'ouvrir la porte.

- Eren, c'est le caporal Lorelei Hart. Elle s'occupera de toi lorsque je ne pourrais pas le faire.

- Est-ce que ses coups font aussi mal que les vôtres ? demanda le gamin.

J'emis un léger rire et croisais les bras.

- Il sont pire, lui répondis-je le sourire aux lèvres.

Il dégluti et un soldat alla détacher ses menottes.

Sur le retour nous avons laisser l'escouade faire connaissance avec Eren. Auruo se ridiculissait toujours autant, et je dois avouer que c'est très amusant à voir.

En arrivant au château, Livaï leur confia le ménage, tandis que j'allais courir. Je me demandais d'où ça venait cette habitude de faire un footing tous les jours. C'était sûrement à cause de mon père.

Je secouais la tête pour virer toute sorte de pensées de ma tête et commençais à courir.

Après une bonne demi heure, le caporal chef sortit sa tête par une fenêtre et m'ordonna de venir les aider.

- Ah, merde tu dois être trop loin, parce que je t'entend pas du tout c'est trop dommage.

- Viens ici où c'est moi qui vient te chercher !

- Essaye toujours ! Tu pourra pas me rattraper !

- Tu vois que tu m'entend !

Je ris en lui tirant ma langue et continuais ma route. Soudain, après quelques minutes seulement, j'atterris sur ce qui me semblait être l'épaule de Livaï.

Je croisais les bras et attendais bien sagement qu'il me repose. Mais, voyant qu'il n'en avait pas l'intention, je lui intimais de le faire.

- Je te poserais quand tu seras décidée à nettoyer.

Subitement, c'est un drôle d'instinct de survie qui pris le dessus, et je me défis de son emprise avant de le faire tomber au sol.

C'est seulement quand je l'entendis me hurler dessus que je repris mes esprits. Je n'avais pas réfléchi. Mon cerveau ne fonctionnait plus pendant une demie seconde.

Je secouais la tête et lui tendis ma main qu'il repoussa instantanément. Ça ne m'étonnais pas, il était furieux.

- Me dit pas que c'est tes règles cette fois ! Tu viens avec moi et tu ne refais plus jamais ça.

Je lui avais fait mal, sans même m'en rendre compte. Je le suivais, le regardant masser son poignet.

Quand nous sommes passé, l'escouade s'est retournée et à continué son ménage.

Quant à moi, il me traina jusque dans une pièce qui semblait être un bureau, et ferma la porte derrière lui.

- Tu sais que c'était de l'insubordination.

- Je sais.

- Et tu sais que je ne peux pas laisser passer ça devant Eren et toute l'escouade. À moins que tu ai une bonne excuse.

Je joignais mes mains dans mon dos et relevais ma tête vers lui. Même moi je ne savais pas pourquoi j'avais agit d'une telle manière, surtout avec un supérieur.

- Je n'en ai aucune, caporal chef.

- Je vais en parler avec Erwin. En attendant va nettoyer les couloirs. Ils sont plein de poussière.

Je hochais et sortis, avant qu'il ne me retienne.

- Lorelei ?

- Oui ?

- Hansi s'inquiète pour toi. Et tu sais comment elle est quand elle est inquiète.

Je ne comprenais pas la raison de cette information et m'en alla exécuté ma tâche.

Après de longue minute à récuré ces maudites pierre, Petra vint me voir les joues rouges.

Je posais mon balais et la regardais. On aurait dit qu'elle était à la fois gênée et paniquée, ce qui était plutôt étonnant venant de Petra.

Elle décida enfin à parler et ce qu'elle m'annonçait me glaça le sang.

- Euh, caporal, enfaîte il me semble que nous avons peut être renversé accidentellement le sac de composte dans l'entrée.

Nous avons rejoins la porte principale et c'était pire que ce que je pensais. Il y avait des déchets partout.

- On pensais que vous puissiez nous aider, me confia-t-elle.

- D'accord. Alors on envoie Eren distraire le caporal chef pendant que nous on nettoie.

- Pourquoi moi !?

- Parce que toi t'as une excuse. Parle lui de n'importe quoi mais fait en sorte qu'il ne vienne pas par ici. Aller ! Oust !

J'espérais que ce plan aller marcher. Parce que je n'avais pas envie de subir les foudres de Livaï.

On s'activa pour rendre cette entrée plus propre que jamais. Eren avait réussi à le retenir assez longtemps pour que nous puissions finir.

Je fis un léger sourire à l'escouade et nous nous sommes mit à rire en chœur. Je me suis assise sur le rebord de la fenêtre et les autres mon suivis.

- Ne comptez plus jamais sur moi pour réparer vos bêtises. Enfaîte, ne faite plus jamais de bêtise.

- C'est promis caporal ! ont-ils dit d'une seule et même voix.

- Allez finir vos tâches.

Alors que je me relevais quelque chose m'a attiré au sol. En levant la tête je vis Livaï me regardant l'air triomphant.

Je voulais riposter, mais j'avais bien compris que c'était sa vengeance personnelle. Alors, je ne dis rien et acceptais la main qu'il me tendais.

Vivre Ou Mourir  (Livaï X Oc) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant