une journée chez moi

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Je l'ai transmis l'heure qu'elle devait arrivé chez moi et ce matin là, je me suis rendu au travail comme d'habitude. De retour chez moi vers 6h30 Pm , j'ai attendu deux heures avant qu'elle vienne pendant ce temps j'ai nettoyé la maison. A 20h30 elle est arrivée à l'heure convenue et devant la porte elle m'a dit :
_ le vieux qui profite des jeunes filles comme moi sans défense, tu n'as pas honte.
_ Ce petit argument pourrait presque me blesser, viens rentre .
Puis elle rentre et s'assoit sur le canapé et moi je restais debout a contempler son visage.
_ De près ta beauté est sans limite.
_ Qu'es ce que vous me vouliez ?
Lorsqu'elle a prononcé ces mots, j'ai spontanément resserré notre proximité en s'agenouillant et en caressant ses cheveux. Sa réaction a été immédiate , elle m'a repoussé avec
Virulence et m'a adressé des injures :
_ sal porc , ne me touche pas.
Je l'ai observé en riant si fort que je pense que ma voix ait pu résonner à travers toute la galaxie ensuite j'ai placé ma main sur sa cuisse pour m'aider à me relever et je lui ai dit :
_ Ne t'inquiètes pas, je vais pas encore te baiser, il faut d'abord que tu le veuilles.
_ T'y crois toi?
_ vouloir ce n'est pas vouloir.
_ c'est quoi ça?
_ je m'excuse c'est pas une très bonne expression.
Et sur le coup j'ai fait un dernier geste vulgaire en touchant ses seins et elle a fait la même réaction que tout a l'heure, cette fois-ci elle était debout lorsqu'elle l'a fait et m'a dit :
_ Ne me touche pas , sale porc.
_ Tu me rends dingue, comme je te l'ai dit tout à l'heure je ne pourrai pas encore te baiser.
_ sale porc.
_ c'est presque blessant, bon bref . Et sur le coup j'ai pris la petite boîte ou se trouvait la main d'une de mes victime.

_Voici un petit cadeau. Dis-je

Lorsqu'elle l'a ouvert, elle a crié et je lui ai dit :
_ la boîte mystère, prends-le.
_ Une main,ça ne va pas.
_ Non ce n'est pas qu'une, l'odeur de mon corps est dans cette main ça te permettra de songer à moi a chaque fois que tu le passera sur ton corps.
_ j'arrive pas y croire, t'es dingue.
_ Je vais faire comme si, je n'avais rien entendu. Tu sais cette main a une histoire.
J'ai pris quelques minutes de silence en regardant la peur grandit a travers elle et ça me rendait extrêmement  joyeux .
_ Alors commençons.
Son nom était Melinda Carim , ma deuxième proie. Comme toi maintenant , elle était chez moi se sentant gênée. Je lui ai offert un verre de vodka dans lequel j'avais mis de la drogue et elle le savait . Melinda était une beauté exceptionnelle, surpassait tout ce que j'avais vu auparavant. Ses Longs cheveux noirs tombaient le longs sur son dos, c'est pourquoi je lui avais donné un surnom " star." Lorsque la drogue a finalement agi, elle a commencé une danse lascive , affichant un sourire sensuel, presque heureuse, tout cela n'était qu'un jeu. Cette danse lascive se résumait plus a une succession de pas titubants, que ses caresses sensuelle. Ce n'était que de la vulgaire pornographie. Mon sourire masquait mon visage. Elle était belle et offerte. Alors j'ai pris. Je la retourna et plaqua son visage contre le lit. Elle étendit son bras , et posa ses mains a plat sur la couverture. J'ai ressenti son sexe enflé commençait à lui faire mal, comme une entaille, et j'étais fou de joie. Mon cœur battait a la vitesse du son. Je l'ai pénetrer, j'ai forcer un peu, puis plus fort. Elle ne mouillait pas. Mes doigts se crispèrent et s'enfoncèrent dans les chairs de sa cuisse pour m'y accrocher et pousser encore plus fort en elle. L'excitation et la douleur se mélangèrent. J'attrapai ses cheveux et j'ai tiré sa tête en arrière. Et des larmes sortait de ses yeux et je m'arrêta point. Et a la fin j'ai pris un couteau je lui ai transpercé le coeur. Cette journée était la meilleure des meilleures des journées.

_ Pourquoi elle avait accepté.
_ j'ai menacé de tuer son petit frère si elle refuse. Elle adorait son petit frère.
_ t'es un monstre. Pourquoi tu m'a raconté tout ça.
_ Pour rien.
_ Pourquoi fais-tu cela?
_ Tu aura ta réponse, mais pas aujourd'hui. Et j'ai regardé l'heure dans mon téléphone et j'ai continu a dire :
_ Il se fait tard , rentre chez-toi.

Mon Harceleur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant