Chapitres 18

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PDV DE SKY

Un matin, un réveil, et une journée qui s'annonce comme les autres.

J'avais quelque peu été chamboulé par les événements d'hier, l'altercation au self entre Ashton et Cameron, ensuite Cameron et puis Cameron. Il m'avait complètement déstabiliser à l'infirmerie et je n'avais pas l'habitude de perdre le contrôle que j'avais sur moi-même, je me suis toujours promis que rien ni personne pourrais changer ce que je suis. Et ca n'allait pas commencer par un mec, surtout pas lui et surtout aucun.

Je tirai la couette et courru jusqu'à mon dressing pour me trouver les vêtements les plus chaud le plus vite possible, j'étais congelée alors que dehors le soleil trouvait sa place parmis les nuages. J'enfilai un sweat bien épais et un legging, je voulais être à l'aise aujourd'hui, je n'avais pas envie de me faire belle. Alors je n'appliquai que légère couche de mascara et un trait fin de crayon, je traînai des pieds jusqu'à la cuisine pour y trouver mon père, avalant un cachet d'aspirine.

Vous avez pû le deviner, hier il avait remis le couvert. Bourré, il n'avait toujours pas su maîtriser ces actes et ces gestes. Mais je n'avais qu'une trace rouge sur la joue car il m'avait seulement gifler. Oui je dis bien seulement car je peux m'estimer heureuse lorsque c'est une gifle. Ma mère avait pleurer et j'étais sortis de table ne pluvant plus supporter ce spectacle hebdomadaire.

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J'étais en classe de chimie et je m'amusais avec mon crayon de bois, je n'avais pas enregistrer un seul mot qui étais sortis de la bouche de ma professeure. J'avais papoter avec Ryan ce matin répondant à sa curiosité par rapport à "l'after" de la bagarre.
Je l'avait embobiner à coup de grand " ne t'inquiète pas". Et il y avait cru.

Quant à ce sacré mystérieux et sexy Cameron je n'avait croiser son regard brûlant qu'un millième de seconde en entrant dans la classe. Et la j'avais eu la chance, le bonheur et le privilège d'être assise, une table derrière lui.

J'avais une vue plongeante sur ses muscles saillant qui roulaient sous son tee-shirt lors de ses mouvements.

C'est Ryan qui me sortit de ma rêverie piur pour me demander un vulgaire stylo.

Moi: T'a qu'à avoir une trousse aussi connard.

Il rigole et renchérit.

Ryan: Donne ou je viens en chercher un de force pétasse.

Je lui tendis ma trousse mais lorsqu'il voulu plonger sa main dedans je l'écarta rapidement, il grogna et je continuai mon petit jeux pendant au moins cinq minutes, cinq minutes où j'ai pû voir le visage de Ryan passer du blanc au rouge. Alors que je m'escafflais de plus en plus il y un moment ou je tirai la trousse trop en arrière et Ryan tendit le bras trop loin. Il y eu un moment de silence ou l'on se regarda tous les deux et il disparu de mon champ de vision pour s'étaler contre le sol dans un grans fracas.

Mon mascara devait couler à grand flots tellement je rigolais face à sa chute et à sa face. L'enseignante criait partout et nous exclua de classe. Ryan se rua sur moi et me mit sur son épaule, alors que je tambourinai son dos de coup que j'espérais violent il me déposa à terre, puis me pris la tête et me la passa sous l'eau. J'eu un hoquet de surprise et tenta de me dégager mais il était trop occupé à rire à gorge déployée.

Il lacha enfin sa main lorsqu'il fut assurée que j'étais bel et bien trempée. Peut être que les gars aime beaucoup l'eau, car en ce moment j'avais l'impression d'être tout le temps trempée avec eux.

Je me relevai en frottant la nuque et observait Ryan qui se remettait difficilement sa crise de fou rire. J'essuyai le mascara qui avait décider d'aller partout sauf sur mes cils et me séchai légèrement les cheveux.

À jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant