All i want||Narry Storan (en Pause)

Chapitre 12

Pdv Niall Horan.

J'étais dans l'avion, direction l'Irlande. On était le 26 décembre et j'avais eu mes cadeaux venant de ma mère hier. Elle m'avait offert un mini set de batterie pour que j'apprenne a en jouer, une nouvelle veste grise qui était vraiment belle et une casquette avec le logo d'une équipe de foot. J'étais assez content parce que j'avais tous ce que je voulais. Perrie était a coter de moi dans l'avion, techniquement, c'était elle qui devait s'occuper de moi. Fin, j'avais 21 ans je pouvais largement m'occuper de moi-même. On était presque arriver, il y avait a peine 1h10 de vol donc, ça allait vite. J'avais hâte de voir mon père et mon grand frère, je ne les avais pas vu depuis les vacances d'été, et Greg était venus nous voir pendant les vacances du mois de novembre. J'écoutais de la musique, les écouteurs enfoncés dans les oreilles. Mes doigts touchaient la gourmette en argent que Harry m'avait acheter. Un doux sourire se dessina sur mes lèvres a cette pensée. Normalement je devais faire un skype avec lui ce soir, j'étais assez excité parce que je ne lui avais pas parler par message depuis 2 jour. Il me manquait beaucoup. Et je trouvais ça effrayant que je puisse dépendre d'une personne a ce point là. Mais c'était Harry, et il semblait qu'il bouscule toute mes habitudes. J'avais envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser jusqu'à ce que nos lèvres devienne blanches. Je sentis les papillons voler dans mon ventre a cette idée. C'était une sensation nouvelle pour moi, je n'avais jamais été amoureux a ce point là. Certes j'avais déjà coucher avec un garçon, et j'avais été en ''couple'' mais ce n'était pas comme ça. Harry était... unique, j'avais l'impression de pouvoir être, vraiment moi avec lui sans qu'on disent que je sois bizarre ou qu'on me sorte la phrase «putain Niall, t'es vraiment un intello coincé bordel.» Comme disait Louis, je ne faisais pas partis de la catégorie des salopes abordables. Ce qui était totalement vrai. J'étais assez pudique comme garçon. Et Harry comprenait ça, comme je comprenais qu'il ne veuille pas me parler de ses parents. On était comme, complémentaire. Je fus sortir des mes pensées par la main de ma grande sœur sur mon épaule. Je sursauta puis j'enleva un de mes écouteurs de mes oreilles. Aujourd'hui, elle n'avait pas mit de maquillage, et je la trouvais vraiment mieux comme ça, au naturel. Même si son air fatigué ressortait plus comme ça, elle était plus belle que maquiller comme une voiture volé. Enfin, ce n'était que mon avis.

-Tu l'aimes vraiment Harry? Lança t-elle. Je fronça mes sourcils. Elle ne me parlait pas depuis presque 3 semaines et elle me posait soudainement des questions sur ma vie amoureuse? Perrie jouait avec une de ses mèches violettes alors qu'elle me fixait intensément.

-Bah, oui. Pourquoi? Ça te choque tant que ça que je puisse être amoureux? Répondis-je légèrement ennuyé. Je n'étais pas vraiment quand elle me parlait sentiment, parce qu'on avait pas vraiment le même avis sur la question. Perrie changeait de mec presque tout les mois, et moi Harry était seulement mon deuxième petit-ami. Et même si on ne s'était pas dit les deux petits mots, je l'aimais. C'était sûr. J'aimais Harry Styles.

-Nan, mais c'est juste... je sais pas bizarre. Je roula des yeux en soufflant.

-Tu sais, c'est pas parce que je ne me tape pas tout le bahut que je suis sans sentiments et que je ne peux pas aimer quelqu'un. Il ne suffit pas de montrer son cul a tout le monde pour trouver quelqu'un de bien, il suffit juste d'une personne Perrie. Crachais-je avant de remettre mes écouteurs dans mes oreilles. Elle me mettait totalement hors de moi. Perrie était tellement, superficielle. Avec ses amis, elle prenait tout le monde de haut et se féliciter d'être passer dans le lit de chaque joueur de l'équipe de foot. Elle pouvait peut-être jouer la princesse mais, moi je savais d'où elle venait. Je tapa nerveusement mes doigts contre mon accoudoirs. J'étais un peu énervé. Je soupira lourdement et je monta le volume de ma musique. Elle jouait avec son téléphone, un air neutre sur le visage. Une hôtesse passa dans notre rangée pour nous prévenir qu'on allait bientôt atterrir et que donc on devait attacher nos ceintures. Je rangea mon téléphone dans mon sac a dos.Je faisais rouler ma valise derrière moi, on était officiellement en Irlande, ma terre natal. Je gloussa a cette pensée. Ma sœur et moi attendions de voir notre père et notre frère. Je portais un de mes nombreux pulls qui était réservés pour Noël, j'en avais en moins 5. Aujourd'hui, j'avais mis celui avec la grosse tête de renne. Donc, j'étais reconnaissable. Au bout de quelques minutes, on les repéra et, Perrie se mit a courir vers mon père alors que moi, je marcha vers Greg. Il me prit dans ses bras. Il m'avait vraiment manqué. Je souriais comme un malade.