nouvelle année scolaire

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'' on passe la moitie de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitie à quitter ceux qu'on aime''
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Il y a juste quelques jours, je m'imaginais à fond dans mon pc à parler sans arrêt de tout et derien avec mon Davinou mais là ou j'en suis, je suis loin de ce que j'imaginais. Je suis engoufré dans un coin à lire et à relire sa lettre bousillé par les larmes et à écouter en boucle nos titres:
- i will always love you
- stay with me
- je t'aimais je t'aime et je t'aimerai
- la chanson que j'avais composé pour lui
Les inscriptions pour le lycée ont commencé mais je n'ai même pas été foutu de bouger de mon lit, ma maman chèrie est allé le faire pour moi. Heureusement qu'elle est là pour moi, elle me comprend beaucoup et plus que personne.
Mon nounours était tout plein de larmes, il devait passer en machine. J'ai crois que c'est le moment pour moi de me lever. Même le petit poisson risque de mourrir dans cette eau pourrie, je ne veux pas d'une deuxième mort à cause de l'eau en plus apres le big crash dans l'eau super. Je commençait à me parler à moi même, j'éspère ne pas devenir folle.
Kevin venait d'appeler, il allait venir pour la deuxième fois depuisnl'enterrement. J'ai enlevé la nuisette dans laquelle j'étais et j'ai mis un sweet, j'ai amassé mes cheveux en queue de cheval. J'avais les yeux cerné par les nuit blanches et les larmes, les cheveux gras...
- prépare-toi on sort
- quoi, t'es sérieux?
- bah quoi, je te réalise le rêve de faire une sortie avec moi, dit-il sarcastiquement
- PfF n'importe quoi! Et puis depuis quand tu me donne des ordres
- allez arrête de bavarder, prépare-ou c'est tout
- à vos ordres capitaine, mais qu'est ce que tu crois? Je ne bouge pas de là
- T'es sûre!
- oui
- tu l'auras voulu, au moins je t'aurais prévenu
- de quoi tu Parl... aaaaaa, arrête tu fais quoi
- T'es aussi légère qu'une plume
- oui c'est ça, c'est pour ça que tes muscles se sont formé
- arrête de me mater
- n'importe quoi! Lâche-moi
- dans tes rêves....
Il m'avait soulevé du lit et m'avait mis dans sa voiture, on dirait un kidnapping.
- mais pu***, dis moi ou on va
- tu le sauras, quand t'y seras arriver
- sérieusement, tu me fais chier
- tu regretteras d'avoir dit ça
- je vais me jeter de la voiture et tu sais que je suis capable de le faire
- impossible, dit-il en verrouillant la portière
On a roulé pendant un quart d'heure, puis j'ai finis par dire
- sympas ta voiture
- ouais je sais
- mm! Désolé je me rappelerais de ne plus jamais rien complimenter
- non, t'inquite pas je rigole
- j'aime bien son odeur
- ouais sauf que t'as tout empeste avec la tienne
- merde alors
- sérieux tu devrais prendre une douche
- ta gueule, répondis-je et il a éclaté de rire
On est arrivé devant des raillés de train après dix minutes
- à trois tu cris, dit-il
- quoi, de quoi tu parles?
- 1, 2, 3......
Un train est passé et il a crié, je n'ai pas pu entendre son cri car il était caché par le bruit du train.
- vas-y à toi
- mais qu'est-ce que tu dis tu es fou ?
- mais vas-y arrête de faire la grosse tête
- franchement c'est du n'importe quoi ce que tu dis
- tu perds rien, au moins essaye
- ben puisque tu insistes
J'ai attendu le prochain train et j'ai crié de toutes mes forces. Vraiment ça m'a fait du bien alors, j'ai crié. J'ai crié crié crié jusqu'à une dizaine de trains... ça faisait longtemps qu'on était là car il y avait une intervalle de temps entre les trains.
J'étais bien mieux après ça, j'allais remercier KeV quand tout a coup il s'est rapproché de moi. Il voulait m'embrasser, je reculais et je suis tombé sur les railles. J'ai entendu le bruit du train, je voulais me lever mais j'étais figé par terre. Je ne pouvais plus bouger du choc.
Le train était à cinq mètres de moi quand KeV a sauté pour m'éloigner de là
- Ne me touche pas
- Tu voulais peut-être que je te laisse mourir
- Ne me touche pas je te dit
Je me suis levé et ai accélèré le pas pour m'éloigner de lui. J'ai pris le téléphone pour appeler un taxi.
- attends, me cria a-t-il
- laisse moi tranquille
- arrête-toi, ou tu vas comme ça?
- c'est pas ton problème
- Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris
- c'est ta perverse attitude à tout moment
- pardonne moi s'il te plait, je ne sais pas ce que je faisais
- Je m'en fou, barre toi de ma vue
- sois logique le taxi va tarder à arriver
- je préfère mieux attendre que de partir avec toi connard
- de toute façon le temps qu'il arrive ou celui qu'on passera en voiture c'est le même alors
- je ne viens pas avec toi OK, ai-je crié
- d'accord je resterai là
- colle à rapide va
- tu le rappelle les petits gamins, c'est eux qui utilisent cette expression, dit-il moquant
- c'est moi qui vais rire, tu refera tout ce chemin pour retourner dans ta voiture, répondis-je car je marchais pour minimiser la distance et rencontrer le taxi en cours de route.
- écoute-moi
- qu'est-ce que je vais écouter ain!! Dit-moi, je vais écouter tes sals mensonges, que tu ne peux pas contrôler tes désirs, va voir tes pu***
- ne dis pas ça
- je vais le dire, c'est parce que t'a eu toute les filles que tu te crois tout capable parce que moi tu ne m'auras pas
- d'accord comme tu veux mais calme toi
- comment tu veux que je me calme, ton meilleur pote est mort il y a dix jours et tu veux déjà profiter de sa copine, tu n'as pas honte
- Clem comprends moi, je n'ai pas fais exprès
- peut être mais tu m'as brisé, tu sais à quel point je souffre et tu as le bonne idée de me ramener pour crier. J'étais bien pour un petit moment mais tu as tôt gâche, tu n'as fait qu'empirer les choses
- pardonne moi, dit- il en me faisant un calin
- retire tes sales pâtes de là, criais-je en le poussant
Le taxi est arrivé, j'y suis monté en fureur. Heureusement que mon téléphone était dans mon sweet lorsque il m'avait ramené sinon j'aurais été obligé de revenir avec lui. Il est vraiment dégoutant. J'ai payé le taxi en arrivant à la maison après avoir pris de l'argent ensuite, j'ai pris une bonne douche fraîche. Je revoyais l'image du train, et si j'étais morte peut-être que j'aurais pu revoir Dave.
J'ai changé l'eau du poisson et mis mon nounours dans la machine à laver. J'ai scanné la lettre de Dave avant que son état empire par les larmes. Je me suis connecté a facebook, il y avait toute mes coéquipières qui me souhaitaient leur condoléances et qui avaient hâte de voir mon retour, je leur ai promis de reprende la prochaine semaine. Oui, j'étais obligé de le faire, on était jeudi et j'aurais raté deux semaines même si je sais que la première est toujours du charabia.
Pour mon premier jour, j'étais vêtue de noir, j'étais bien sûre encore triste. On est allé à l'administration pour justifier mon absence durant ces derniers temps. J'ai ensuite filé pour rejoindre ma classe, je m'étais spécialise en commerce et je ne savais quelle matière j'allais avoir ni quel prof j'allais trouver en classe.

On avait fait deux heures de math ensuite on est sortis pour la récré. Il était dix, j'étais seule car tout les autres étaient en université désormais sauf Nick et Jack. Je marchais et je voyais Dave dans chaque recoin, ou je l'avais vu pour la première fois, je me suis assise dans mon coin habituelle, je revoyais leur groupe avec leur ballon de basket ou quand ils faisait des figures ou des pompes... les frimeurs. Je l revoyais quand j'étais allé lui parl pour la première fois.Dans l'autre, je nous revoyais quand on avait eu une vrai conversation Rania, Jack lui et moi. Toutes ces images me venaient l'une après l'autre et je pleurais. Je me rappelle aussi quand lui et Jack étaient monté sur la fontaine pour bronser ou quand Jack est venu me dire pourquoi j'ai parlé à son ami. Ces souvenirs me donnent envie de rire mais je ne fais que pleurer, les larmes n'arrêtent pas de couler. Ou encore les premières conersations qu'on a eu, comment j'étais hésitante ou quand il passait devant ma salle de cours comment j'étais contente. Je me rappelle aussi la fois ou il est venu devant notre salle accoudé sur le balcon, il me fixait et j'étais choqué, a ce moment là on n'était pas encore ensemble: j'étais folle de joie tout comme quand j'avais trouvé ma table dans sa salle: à ce propos je ne lui en ai jamais parlé. Chaque coin de ce lycée me rappelait des souvenir, les souvenir de nos débuts. Chaque coin sans exception et le stade, n'en parlons pas...
Je ne voyais pas le temps passer, ça avait sonné et la cour s'était vidé mais j'étais toujours là perdu dans mes souvenirs et je ne pouvais pas en sortir car je les voyais partout. Mes yeux étaient gonflé par les larmes quand j'ai vu Jack venir vers moi. On a longtemps parlé et lui aussi avait les larmes aux yeux, il disais ne plus supporter cet endroit. Il m'a longtemps consoler et m'a demandé de rester forte comme tout le monde d'ailleurs. J'étais perdue, cet endroit ne me correspondait plus.
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C'est avec une énorme tristesse que j'ai écrit ce chapitre, je ne sais pas si j'ai pu la transmettre mais que pensez vous de ce qui se passe dans la vie de Clem? Elle est chamboulé, pensez vous qu'elle va s'arranger? Pensez vous qu'elle sera assez forte pour s'en remettre? Que pensez vous du comportement de KeV? Je veux tout savoir
Max de commentaires, max de votes...

dedicace a mely l une des meilleures lectrices

Félina Gold

Where are you!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant