L'affrontement

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Il était 5h du matin quand Gabriel arriva au bureau,il était impossible pour lui de réussir à dormir encore.Même de rester sans rien faire le rendait dingue.Travailler était donc la seule alternative à ses tourments.

Ces tourments nommés Jordan Bardella et Emmanuel Macron.

Gabriel se mit immédiatement à travailler mais eu tout de même du mal à se concentrer.Vers 10h il sortit la tête de ses papiers et se rendit compte qu'il n'avait pas beaucoup avancé et décida donc de faire une pause après 5h de travail.Il prit sa veste et se rendit à au supermarché d'à côté.Il acheta des bonbons Schtroumpfs,c'était son péché mignon.En sortant du magasin le vent frais fit oublier à Gabriel que nous étions en pleine moi de juin.

Il marcha lentement afin de profiter au mieux de sa pause qui serait sûrement la seule de la journée.Gabriel voulu traverser la rue mais au même moment une voiture passa à toute vitesse manquant de peu de l'écraser.

Il se fit éjecter sur le trottoir et se retrouva à présent inconscient.

"Monsieur Attal ?"

"Monsieur Attal ??!!!"

"Pas de réponse,appelez les urgences !"

Malgré que Gabriel était inconscient il parvenait totalement à reconnaître la personne qui s'était arrêté au près de puis pour appeler les secours.

Jordan Bardella

L'homme qui ne quittait pas son esprit depuis plusieurs jours.

Le premier ministre se réveilla 3 jours plus tard,à l'hôpital Georges-Pompidou.Il ouvrit les yeux doucement mais les referma aussi tôt,agresser par la lumière du jour.Gabriel avait toujours les yeux fermés mais il sentait une présence,et une personne serrait sa main.Sûrement sa mère,ou Manon pensa-t-il c'est pour cette raison qu'il la serra en retour.

Au moment où il ouvrit les yeux pour de bon qu'elle ne fut pas sa surprise quand il se rendit compte qu'il ne s'agissait ni de sa maman ni de sa meilleure amie mais de Jordan Bardella,endormi à son chevet.

L'homme avait l'air apaisé,les traits détendu son visage était bien moins effrayant.Il portait un pantalon de costume et une chemise blanche à moitié ouverte.Gabriel pouvais apercevoir une partie du torse du président du rn ce qui ne lui déplut pas.

Un sourire apparut sur son visage,il ne s'en rendit même pas compte.L'homme assis à côté de lui commençait à se réveiller,Gabriel dû contre son gré lâcher sa main pour éviter un moment de gêne supplémentaire.

"Monsieur Attal vous êtes réveillé !"

"Comme vous pouvez le voir en effet Monsieur Bardella"

"Vous m'avez regardé dormir"

"Quoi ?"

"Avouez-le Attal"

"Jamais,que s'est il passé au juste ?"

"Vous avez été renversé par un voiture vous étiez dans un commas artificiel pour vous protéger"

"Mhh bien,et que faites vous là ?"

"Euh..et bien,je- j'étais inquiet pour vous"

Gabriel hocha la tête tout en lâchant le regard de Jordan Bardella.Il fut surpris de sentir une main se glisser sur son poignet qui entreprit de glisser sur son bras mais Gabriel l'arrêta net"Monsieur Bardella"

"Arrête Gabriel"

Au même moment Jordan se leva et déposa  délicatement ses lèvres sur celles de Gabriel.Le blessé hésita une seconde avant de rendre son baiser au président du rn.Jordan glissa sa main sur le torse de Gabriel par dessus la robe de l'hôpital.Gabriel se mit  à genoux,malgré la migraine qui le prit,afin de se rapprocher du plus jeunes.La main de Jordan glissa sur les hanches de Gabriel tandis que ce dernier posa ses mains sur le torse du plus grand.

Leur baiser était passionné,chargé de messages qui pouvaient enfin être révélés.Jordan souleva délicatement la robe de Gabriel pour prendre place sur ses hanches toujours mais cette fois contre sa peau brûlante,sans tissus pour empêcher le contact de leur deux corps.

Au moment ou le plus âgé fut forcer de laisser échapper un gémissement la porte de la chambre s'ouvrit brusquement. Emmanuel se tenait là, figé, ses yeux écarquillés d'incrédulité en voyant la scène qui se déroulait sous ses yeux. Le choc et la colère se mêlèrent sur son visage, sa respiration devenant plus lourde.

"Qu'est-ce que..." Sa voix tremblait de rage contenue, coupant le baiser court. Gabriel et Jordan se séparèrent brusquement, leurs visages marqués par la surprise et une vague de panique.

"Emmanuel, ce n'est pas ce que tu crois..." tenta de justifier Gabriel, mais sa voix manquait d'assurance, trahissant sa propre confusion.

Emmanuel entra dans la pièce, refermant la porte derrière lui d'un geste brusque. "Pas ce que je crois ? Vraiment ?"

Sa voix était acérée, chaque mot prononcé comme un coup de poignard.

"Alors explique-moi ce que je viens de voir."

Jordan se redressa, essayant de garder son calme.

"Monsieur le président écoutez, ce n'est pas le bon moment pour..."

"Le bon moment?!" Emmanuel éclata de colère, interrompant Jordan.

"Mon premier ministre est à l'hôpital, et vous... vous... vous profitez de lui ?"

"Ce n'est pas ça !" s'écria Gabriel, sentant les larmes monter malgré lui. "Jordan ne m'a rien fait que je n'aie pas voulu comparé à vous ! Et puis quand bien même ce serait le cas ça ne vous regarde absolument pas"

Emmanuel resta silencieux un moment, ses poings serrés de colère. Il jeta un regard glacial à Jordan avant de se tourner vers Gabriel.

"Vous allez le regrettez tout les deux" Il secoua la tête, visiblement dégoûté.

''Attendez vous au pire."

''Vous me faites pas peur espèce de psychopathe''

Gabriel, les yeux brillants de larmes, chercha les mots, mais aucun ne venait.

Macron fit un pas en arrière, comme pour se protéger de ce qu'il venait de découvrir, et ouvrit à nouveau la porte.

''Je vous aurai prévenu" dit le président d'une voix froide avant de quitter la pièce, laissant Gabriel et Jordan dans un silence lourd, marqué par l'inquiétude et la tristesse.La porte se referma doucement, mais l'impact de cette révélation restait suspendu dans l'air, les laissant tous deux avec un sentiment de perte et d'incertitude quant à ce qui allait se passer ensuite.

Jordan ramassa ses affaires et sortit de la pièce sans même un regard à Gabriel dont les joues étaient toujours trempées de larmes.

Gabriel put sortir dans l'après-midi et rentra directement chez lui.Il avait pu faire rentré un certificat médicale d'une semaine,ce qui le réjouissait.Il allait pouvoir se reposer se réfléchir à toutes ces histoires.





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Je suis vraiment la personne la plus idiote de cette terre j'ai supp le chapitre sans faire exprès mais heureusement je me suis débrouillée il est pareil à quelques mots près.

Donnez moi votre avis c'est très important pour moi !!

Bisoussss

Sous les bureaux de la politique {bardellaxattal}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant