CHAPITRE 7

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Vous voulez me tuer les gars. Sérieux ? 257 vues ? Ah non, ce n'est pas fair-play. Moi qui voulais publier Samedi, mais je peux pas rester de marbre quand je vois à quel point cette histoire vous plaît. Merci, merci, merci. Alors je fais une incartade, je publie aujourd'hui. Mais c'est la dernière fois hein 👉 sinon je vais perdre mon avance dis-donc ( je blague vous pouvez continuer, ça me fait trop plaisir ).

Finis de tergiverser, je vous laisse avec le chapitre. À tout à l'heure en fin de chapitre.

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Des flammes. Des flammes partout. Il était encerclé par le feu. Quelqu'un cria. La voix était lointaine, désarticulée pourtant quelque chose lui disait qu'il la connaissait.

— Naruto, aides-moi !

Aider ? Mais qui ?

Il chercha la voix, mais il n'y avait personne. Il était coincé par le feu. Le palais prenait feu. Soudain, son père surgit des flammes. Il était en colère, furieux.

— Tu m'as désobéi, fils indigne !

Quelqu'un cria encore d'une voix assourdissante et il se couvrit les oreilles. Oui, il voulait aider, mais qui ?!

Le décor changea et cette fois-ci il se trouvait dans la maison de Jiraya. Ici aussi, il y avait le feu.

— Père ? Où êtes vous ? l'appela-t-il.

— J'ai mal, j'ai mal ! sanglota une voix.

Les flammes s'écartèrent et formèrent un chemin qu'il suivit. Il ne se souvenait pas que la maison du vieux pervers était aussi grande.

— J'ai mal, j'ai mal !

Il fut poussé dans une pièce par une force invisible. C'était la chambre qu'il partageait avec sa mère et son frère et sa sœur. Au centre une silhouette se recroquevillait. Qui était-ce ? Il ne pouvait pas voir.

— Naruto, Naruto, Naruto !  implora cette personne.

L'ombre autour d'elle se dissipa et il vit avec horreur Deidara se faire consumer par le feu. Son visage rond d'enfant était ravagé par des larmes de sang et il poussait des hurlements à déchirer l'âme.

— Deidara ! hurlait-il mais le feu l'empêchait de nouveau de circuler.

— C'est de ta faute ! l'accusa Kurama en apparaissant près de lui. Je t'avais dit de veiller sur eux.

— Mais non ! Père, je vous en supplie aidez Deidara, il brûle !

— C'est de ta faute ! C'est de ta faute !

Le blond tenta encore de bouger mais il restait figé.

— Naruto pourquoi tu n'es pas resté auprès de nous ? se lamenta cette fois-ci Minato qui subissait le courroux du feu.

— Mère ! s'horrifia-t-il.

— C'est de ta faute !

— Non !

Il tourna la tête et tomba sur les dépouilles brûlées au troisième degré de Karin et Yahiko qui le regardaient avec des yeux injectés de sang dans un angle inimaginable.

— C'estdetafautecestdetafautecesdetafaute, murmurait furieusement Kurama.

— Non, ce n'est pas moi !

Aaaaaahhh !!! hurlait encore la voix enfantine de Deidara.

Ce n'était pas de sa faute. Il ne voulait pas. Non, il ne voulait pas. Il tomba à genoux, les mains sur ses oreilles et ferma les yeux. Il ne voulait rien entendre, il ne voulait rien voir.

La concubine de l'empereurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant