Dans l'ombre d'un vieux manoir, où le silence se mêle aux secrets, Ciel Phantomhive mène une enquête qui transcende les murs et les âmes. Tourmentée par des lettres anonymes et observée par un regard invisible, Meliana, autrefois lumineuse et assuré...
n'hésitez pas à laisser des commentaires cela m'aiderait énormément pour connaître vos avis ! N'hésitez pas aussi à dire se que vous pensez de certaines scènes, à commenter.. car j'adore lire les réactions des gens dans les fanfic !!
__________________
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
~🕯️~
__________________
Pov meliana :
Après notre dance je partie m'assoir essoufflé au côté de ciel , lâchant la main de vaelen
Ciel : tu as finis de te défouler ?
Moi : ho la ferme ..
Mon père me regarda avec de gros yeux
Moi et ciel nous levons en même temps, je pris la main de mon père et lui se rapprocha de Sebastian
Moi : tu viens me border papa ? Je suis fatiguée.. je me frote légèrement les yeux en disant ces quelques mots
Ciel ne pu s'empêcher de me faire une pique , trop beau pour être vrai qu'il ne m'en fasse pas de la journée
Ciel : mademoiselle à besoin que l'on la borde à son grand âge ?
Moi : et monsieur à encore besoin que ont l'aide à s'habiller et déshabiller à son grand âge ?
Ciel : c'est différent ils sont trop compliqué à enlever et mettre seule.
Moi : alors j'ai hâte que tu vois la complexité d'une robe de ville , pourtant moi je la mets toutes seules je lui fis un petit sourire
Ciel : mais bien-sûr ..
Il soupira
Ciel : Sebastian je vais me coucher .
Sebastian : yes m'y lord
Avant de le laisser partir je lui dis :
Moi : Ce manoir paraît petit le jour, mais devient un labyrinthe la nuit. Fais attention à toi si tu souhaites faire un tour cette nuit. Sûr ce , bonne nuit ciel.
avait hoché la tête quelques secondes plus tard suite à ma prévention, j'espère qu'il va m'écouter, se manoir ma toujours fait peur la nuit , quelque choses d'étrange si passe , tous le monde le sait mais personne n'en parle .
_____________________
Pov ciel :
Nous entrons dans la chambre que je vais occuper ces quelques jours
Pendant que Sebastian m'aide à mettre ma tenue de nuit se résument à une chemise de nuit en lain s'arrêtant à mes genoux et d'un sous vêtements.
Pendant qu'il boutonné ma chemise je lui dis mon idée
Ciel : cette nuit je vais visiter plus en profondeur le manoir et cherchez de indices.
Sebastian : voulez vous que je vous accompagne jeune maître ?
Ciel : non , je veux me débrouiller seule pour cette enquête
Sebastian : parce que elle concerne meliana ?
Ciel : peut-être. Mais cela ne te regarde pas arrête de faire ta commère.
Sebastian : yes m'y lord .
Quelque seconde plus tard il parti me laissant seul , j'attendis minuit pour sortir.
____________________
Le silence du manoir est lourd, presque étouffant. La flamme vacillante de la bougie que je tiens éclaire à peine le chemin devant moi, projetant des ombres mouvantes sur les murs. Meliana m'avait prévenu : "Ce manoir paraît petit le jour, mais devient un labyrinthe la nuit. Fais attention à toi si tu souhaites faire un tour cette nuit."
Mais je ne peux plus ignorer ce qui se passe ici. Meliana reçoit des lettres anonymes, des menaces déguisées en mots soigneusement choisis. Et celui qui les envoie vit dans ce même manoir. Je suis ici pour le découvrir. Pour comprendre ce qui se trame dans l'ombre, et surtout, pour protéger Meliana.
Mes pas résonnent dans le couloir vide, chaque craquement du parquet me fait tendre l'oreille. Je ne peux m'empêcher de me sentir épié. Quelqu'un dans cette maison sait que je suis là. Mais qui ? Il ou elle se cache quelque part dans ces couloirs tortueux, observant, attendant peut-être.
La bougie tremble entre mes doigts alors que je me glisse dans un autre couloir. Les portraits qui ornent les murs me fixent toujours, leurs visages sévères me rappellent que ce manoir cache bien plus que ce qu'il montre en plein jour. Je continue d'avancer, cherchant des indices, un signe, n'importe quoi qui pourrait me mettre sur la piste de celui qui harcèle Meliana.
Soudain, un souffle froid fait vaciller la flamme de ma bougie. Je m'arrête, tendant l'oreille. Un bruit, léger mais distinct, se répercute dans le silence. Quelqu'un est là.
Je m'avance prudemment, suivant le son. Il semble venir d'une aile reculée du manoir, un endroit dont j'ai entendu parler mais que je n'ai jamais exploré. Un couloir en pierre que j'ai toujours pris pour une voie condamnée, oubliée par les autres. Pourtant, le bruit provient bien de cette direction.
Je me trouve bientôt devant une porte en bois massif, décrépite et rongée par le temps. Elle est censée être condamnée, mais... elle est légèrement entrouverte. Mon cœur bat plus fort. Quelqu'un l'a ouverte récemment. Je me penche pour observer à travers la fente, mais je ne vois que des ténèbres.
Je pousse doucement la porte, la bougie projetant une lumière vacillante dans la pièce. L'intérieur est étrangement aménagé : des papiers éparpillés sur une table en bois au milieu de la pièce , et plusieurs étagères remplies de poupée. Une odeur immonde se dégage de cet endroit . Cette pièce devait être abandonnée, mais elle est occupée, quelqu'un l'occupe.
Je m'avance plus loin dans la pièce, mon cœur battant à tout rompre. C'est alors que mon pied heurte quelque chose sur le sol. Je baisse la tête et aperçois un morceau de papier, jauni et froissé, à moitié dissimulé sous un vieux drap poussiéreux. Je le ramasse, mes doigts tremblant légèrement.
C'est une lettre, comme celles que Meliana reçoit. Mais cette fois, elle n'est pas encore scellée. L'écriture est fine, presque élégante, mais les mots qu'elle renferme sont pleins de menaces à peine voilées.
Mon sang se glace. Celui qui écrit ces lettres se cache ici, dans cette pièce oubliée. Il ou elle vit dans l'ombre, tout près de nous.
Soudain, un bruit derrière moi. Je me retourne, le souffle coupé, mais tout ce que je vois, c'est l'obscurité. La bougie tremble une dernière fois, puis s'éteint, me laissant seul dans les ténèbres.
