Et si vous étiez dans la classe de nos héros préférés?
Et si vous étiez en couple avec eux?
Et si vous étiez un héros?
Tome 2 d'un recueil d'imagine MHA.📖
N'hésitez pas à me passer des commandes!💡
⚠️𝐃𝐢𝐬𝐜𝐥𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫⚠️
- Ceci est une fiction, l...
(Bien le bonjour, je reviens presque 3 ans plus tard car j'ai pu constaté dans les commentaires que beaucoup étaient insatisfaits par la tournure des deux chapitres précédents sur Dabi. Voilà la suite tant attendue!)
Les jours défilaient, et mes pensées ne cessaient d'affluer en masse dans mon esprit. Je n'arrivais pas à me calmer et à arrêter de cogiter. Je faisais encore des cauchemars de cette soirée. Les héros n'avaient toujours pas retrouvé Katsuki. Je me faisais un sang d'encre pour mon camarade, mais aussi pour Dabi. Les forces de l'ordre étaient en recherche active des membres de l'alliance pour retrouver l'élève disparu. Une partie de moi appréhendait chaque matin, ayant peur de découvrir que dans la nuit, Dabi se serait fait arrêté.
Mais il n'en était rien. Et moi, je n'arrivais pas à tourner la page sur cette soirée au camp.
Un soir, j'avais passé ma tête à travers la fenêtre, respirant l'air glacé de la nuit. Je songeai à l'excuse idiote que j'avais bafouillé à M.Aizawa pour justifier que la cadre de la vitre avait sauté. Je me pris alors à sourire, pour la première fois depuis un moment.
- "Apparemment tu es encore capable de sourire."
Je sursautai de terreur en entendant une voix s'élever en contre-bas. Je reconnus alors le grain de voix de Dabi. Je fus un peu soulagée. Mais la colère revint rapidement au galop.
- "Qu'est-ce que tu fais là?" demandais-je d'un air dédaigneux.
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- "Je suis là souvent. Mais ce soir, tu as ouvert ta fenêtre. J'en ai déduit que tu étais prête à parler."
Son raisonnement se justifiait. Et peut-être qu'une part de moi s'était accoudée à cette fenêtre dans l'espoir de voir mon copain.
- "Peut-être. Je suis encore confuse. Mais je suis surtout en colère.
- Je sais. Et je ferai ce qu'il faudra pour que tu me pardonnes."
Ses mots me semblaient si faibles face à l'immense vide que ses actions avaient créé dans mon cœur.
- "C'est facile de parler.
- Alors, que veux-tu que je fasse?" demanda-t-il d'un ton empli de désespoir.
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- "Je ne sais pas! Je me sens tellement mal. Je ne sais pas quoi faire pour que ça aille.
- (T/p), on aurait plus à vivre tout ça si on était du même côté."
Sa phrase resta en suspens quelques secondes de plus.
- "Et je suppose que ce n'est pas toi qui vas changer de camp", répliquais-je.
- Tu ne sais même pas pourquoi tu as rejoint UA. Tu te sens à part, comme nous tous à l'alliance."
Je le toisai d'un regard mauvais.
- "C'est comme ça que tu veux te faire pardonner?
- Non, j'émettais simplement une idée."
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Il sortit une marguerite de sa poche et me la tendit.
- "Je te l'ai cueilli en chemin. Elle était si mignonne. Elle m'a fait penser à toi".
Sur ces mots, il s'éloigna dans l'ombre. Il était à peine discernable.
- "Si tu veux te faire pardonner, reviens me voir plus souvent, pour commencer. Et ais plus d'attentions comme celle-ci."
Il ne répondit pas, mais je sus qu'il m'avait entendu.
Ses mots étaient comme suspendus dans mon esprit. Je n'arrivais pas à me détacher de l'idée que tout irait mieux si nous étions ensemble. Et j'y songeais.