Et si vous étiez dans la classe de nos héros préférés?
Et si vous étiez en couple avec eux?
Et si vous étiez un héros?
Tome 2 d'un recueil d'imagine MHA.📖
N'hésitez pas à me passer des commandes!💡
⚠️𝐃𝐢𝐬𝐜𝐥𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫⚠️
- Ceci est une fiction, l...
En ce délicieux samedi après-midi, une partie de la classe était collée devant la télé du dortoir. Tout le monde fuyait ses responsabilités qu'était les devoirs. Oui, nous étions lâches. Bienvenue en filière générale.
J'étais assise toute seule sur un canapé à traîner sur mon téléphone. Hitoshi était plus loin, absorbé par le reportage Arte sur les colibris. Je ne savais même qui avait choisi de regarder ça. En tout cas, je pouvais dire que c'était très peu intéressant.
Tout à coup, quelqu'un me tapota l'épaule. Je relevai la tête et vis un garçon de ma classe tout rouge en train de bégayer. Je ne connaissais même pas son prénom. Il n'avait pas l'air méchant, juste banal.
- "C'est pourquoi?" demandais-je de manière assez froide.
- Euh, je peux m'asseoir à côté de toi?
- Oui bien sûr."
Je me décalai légèrement, et il s'assit timidement à côté de moi. Je n'aimais pas vraiment sa présence, mais ne disais rien. Je sentis un regard insistant sur moi. Un petit frisson me traversa, et je m'aperçus que Hitoshi assassinait du regard mon voisin.
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Je ne comprenais pas pourquoi, jusqu'à ce que mon camarade fit semblant de bailler et passa son bras autour de mes épaules. Je me retournai vers lui, outrée. Je m'apprêtai à lui lancer une remarque cinglante, lorsque je sentis un poids à ma droite. Me tournant de nouveau, je me rendis compte que Hitoshi venait de s'asseoir à côté de moi.
- "Mais qu'est ce qui se passe là?" me demandais-je intérieurement.
La situation me dépassait. Je ne comprenais pas ce que l'autre me voulait, et je ne comprenais pas la réaction de Hitoshi. Je trouvais cela complètement ridicule.
- "Hé mec, qu'est ce que tu fais?" demanda le camarade inconnu.
- "Je m'assois à côté de mon amie. Et toi?
- Moi je-
- Je vous arrête", intervins-je.
- "Oui?
- Tu dégages ton bras", dis-je en repoussant le bras de l'autre. "Je ne suis pas escort girl, donc lâche moi."
Il me lança un regard noir avant de bredouiller des excuses et de partir. Je me tournai alors vers mon "ami".
- "Et toi, je peux savoir ce qu'il te prend?" l'interrogeais-je.
- "Hum et bien...Il avait l'air relou donc je suis venu t'aider.
- Bien évidemment. La vraie raison maintenant", insistais-je.
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- "Il m'énervait", marmonna-t-il.
- "Ah oui? Et bien pourquoi t'énervait-il?
- C'est un interrogatoire?" rit-il nerveusement.
Je soufflai du nez, avant de coller mon épaule à la sienne discrètement. Je le sentis se raidir, mais il ne me repoussa pas. La tête vers le bas, il fixait le sol, comme s'il ne vivait pas vraiment cet instant. Son excès de jalousie me donnait envie de le toucher, de le rassurer. Une pulsions mesquine grimpait en moi. Je voulais le revoir jaloux. Mais ce vice fut vite contre-balancé par un sentiment réconfortant et chaud qui me hurlait de me donner à lui.
Ma main s'éleva dans son dos, entre le canapé et lui-même. Il me toisa d'un regard brillant. Je n'arrivais pas à décrypter l'étincelle qui s'était allumée dans ses yeux.
Soudain, il passa son bras dans le bas de mon dos et entoura mes hanches. D'un geste ferme, il me rapprocha de lui, collant ainsi le flan de nos bassins et de nos cuisses ensemble.
- "Il n'y a que moi qui ait le droit de faire ça", souffla-t-il dans un soupirinaudible.