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Schemayah - Marlon tu me dit quoi là ? Attend parce que j'ai du mal à comprendre?
- Schemayah Dieu m'as parler à travers mon père, et au fond de moi je le sentais. Je suis pas heureux de devoir stopper ça, mais c'est Dieu qui en as décidé ainsi on peut pas faire autrement.
Schemayah - Marlon tu peux pas me dire ça après 1ans de relation. Marlon tu peux pas, j'ai tout laissé pour toi, j'ai tout fait pour que notre relation aille au mieux, quand on ce comprennais pas je priais jour et nuit parce que j'avais la conviction que c'était toi, et maintenant tu me dit que c'est pas moi celle que Dieu veux pour toi ?
Elle n'a pas tord.
Schemayah - Je suis désolé mais non Marlon, je me voit pas avec un autre que toi, c'est impossible, on peut essayer de tout faire pour arranger les choses hm ? Si on met notre relation entre les mains de Dieu on peut re-
- Nan 'Mayah, c'est pas comme ça que ça marche, si Dieu a dit non, on est qui pour dire oui ? Et j'ai pas dit qu'on devaient arrêter de ce voir ou autre, on peut devenir ami, et je sais que si c'est pas moi, Dieu te réserve un homme meilleur pour toi.
Et puis il fallait qu'elle se mette à pleurer, j'ai horreur de voir les gens pleurer.
- Arrête de pleurer s'il te plaît tu sait très bien que j'aime pas ça.
Elle me regarde simplement, elle ses ensuite lever en essuyant ses larmes. Elle pris ses affaires, et a ensuite marcher en direction de ma porte d'entrée, elle s'arrête devant celle-ci et fait demi tour.
Par la suite elle ses approche de moi et m'as embrassé.
Consciencia : Ah bon ? c'est donc comme ça.
Wow, c'était la première fois qu'on s'embrassaient. J'avais toujours mit une barre sur ça, pour nous préserver. Je ressentais tellement de chose en moi, de désire,.
Je sais pas ce qui m'as pris mais je l'ai embrassé à mon tour. Elle a déposé ses affaires et ses mise à sourire.
Schemayah - Peut être que c'est la seul fois de notre vie, qu'on pourra vivre ce moment alors.
Je me suis rapproché d'elle et elle m'a légèrement fait asseoir sur le canapé et ses assises sur mes jambes.
On s'est re embrassé et je commençais à sentir un désiré en moi qui ne venait pas de Dieu, mais d'un côté ce désiré me faisait du bien.
Elle a fini par descendre de mes jambes et a ensuite commencé à détacher le bouton de mon pantalon, elle était sur le point de l'enlever ainsi que mon calbard. C'est là que j'ai compris que ça allait trop loins.
