Chapitre vingt-neuf : Repas de famille parfaite, ou pas.

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Aujourd'hui, nous devions passer toute l'après-midi, pour un repas avec eux, eux : ma mère et Josh. Monica met un pull rose avec un jean noir, et des converses blanches, quant à moi, je mets une petite jupe marron, avec un pull beige, et des bottes qui arrivent au niveau des genoux, de couleurs noires, avec un petit manteau noir. Et Aswer, un jean et un pull gris, dans la voiture, je suis stressé, alors Aswer essaye de nous faire rire, mais ça prend qu'avec Monica. Alors, il tente le coup de la musique, drôle, et moins drôle, ceux que j'aime bien. Mais aucun effet, je suis toujours autant crispée, parce que j'angoisse, une fois garée, nous toquons à la porte, et celle-ci s'ouvre sur ma mère. Elle me prend dans ses bras, puis à tour de rôle prend Aswer, et Monica, dans ses bras, avant que nous partons s'installer dans le salon. Mon beau-père, Josh se lève, et fait la bise à tout le monde, mais quand vient mon tour, il semble hésiter. Alors, je fais le premier pas, et je lui fais moi-même la bise, parce que j'ai promis que j'essayerais. Puis, dans le salon, ma mère nous invite à migrer dans la cuisine, afin qu'on puisse manger, on se met tous à table, pour un repas, digne d'une famille parfaite. Et puis, viennent les hospitalités, entre ma mère, Aswer et Monica, ils font connaissance, pendant que je jauge Josh. Monica et Aswer parlent de mes créations, et de la soirée dans les galeries d'art, et ma mère était si contente, et étonnée en même temps. Alors, on a continué de parler de moi pendant un petit moment, et viens la question, qui me suit venue en tête :

Comment tu as connu ma mère je lance,

à la librairie, là où elle travaille fait-il.

Oh, je vois, dis-je en hochant la tête,

Oui fit-il en souriant, et en regardant ma mère, je cherchais un livre, et ta mère, as su m'aider. Et puis, les jours d'après, je suis revenue toutes les semaines, juste pour la voir, mais j'ai prétexté que je voulais juste un livre.

 Ma mère se met à rire,

Oui, si bien qu'il m'ait demandé, de sortir boire un verre avec lui, qu'au bout de la quarante ème fois seulement.

Ouah, pourquoi avoir attendu ? je demande.

Parce qu'il faut faire les choses bien, avec les femmes. Trop rapide = pas sérieux, alors que si on prend le temps, ça rend mieux fait-il en souriant à ma mère.

Et tu as ton appartement je demande,

Oui, fait-il en me souriant, j'habite pas loin, mais oui j'ai mon appartement. Je veux laisser à ta mère, le choix de décider, si on emménage ensemble ou pas, je ne veux pas la brusquer. Je veux qu'elle se sente bien, et qu'elle ait le temps et la liberté qu'il faut, et qu'elle veut.

Ok, et si vous emménagez ensemble ? Que se passera-t-il ? je demande,

Comment ça fait-il en fronçant les sourcils,

Vous ferez quoi ? tu feras quoi d'elle.

Blake fait ma mère gênée, ce sont des choses qui ne se disent pas enfin,

Non chérie, ça va fait-il, ce qu'elle veut dire par là, c'est est-ce que je lèverais la main sur toi, ou est-ce que je te violerais, pour assouvir mes désirs. Mais, la réponse, est non, Blake, j'aime ta mère, et un homme ne fait pas ce genre de chose, un homme aime avec le cœur, fais l'amour avec amour et passion. Chéris chaque moment, avec la personne qu'il ou qu'elle aime, parce que c'est ça le vrai amour, c'est ça être un vrai homme.

D'accord, je suis rassurée dis-je en lui souriant,

tu n'as plus peur ? il demande,

j'aurais toujours peur, mais je sais que maintenant tu as l'air bien.

Il se met à rire,

Parce que je suis bien, je te le promets Blake, que j'aime réellement et sincèrement ta mère, et que jamais, au grand jamais. Je ne toucherai un seul cheveu pour lui faire mal. Si je dois toucher ses cheveux, c'est pour faire ça fit-il en passant délicatement une main dans ses cheveux, en guise de caresse. Et mon coeur se réchauffe à ce contact-là, parce que je n'avais jamais vu mon ex beau-père avoir un tel geste, envers elle.

Ok, je te crois, dis-je en lui souriant,

alors on fait quoi ? il demande.

On repart, sur un nouveau départ, le départ, de la Blake.. Gentille ?

Aswer m'embrassa sur la tempe, avant de me murmurer, à combien, il était fier de moi.

Et le reste, se passe dans les rires, la joie, et la bonne humeur. Tout compte fait, ce n'est pas déplaisant, de jouer la famille parfaite.

Aujourd'hui Monica, a eu une idée pour aller voir la personne qui lui fait battre son coeur, sans que cela ne fasse " trop " elle a eu idée, de se faire tatouer la continuité de son bras et de son cou, avec des motifs de rose. Et de reprendre la rose qu'elle a actuellement sur le cou, pour qu'elle soit en couleur, comme ce qu'elle va se faire rajouter. Elle a même décidé de se faire percer le nez ! Elle va mettre un anneau, je savais qu'elle avait un piercing au cartilage, ça s'appelle l'hélix, et les trous basiques, pour les boucles d'oreilles. Mais entre le nez, et les tatouages, c'est une première ! Alors, je l'accompagne souffrir, ou prendre du plaisir ? puisqu'elle ne bronche pas, comment fait-elle ? et le reste de la journée, nous faisons du shopping, Aswer habite pas loin du centre-ville. À pied, il y a vingt minutes, c'est long, mais faisable. Puis, nous allons boire un verre, en ville, avec tous nos achats, pour se reposer un peu, car les magasins ici sont grands, et la marche est longue. Je prends un sirop à la menthe, et Monica, une grenadine, et nous parlons de tout et de rien, durant ce moment qu'on s'est offert. Le soir, après une journée entre filles, nous rentrons à l'appartement, Aswer, vient tout juste d'arriver, si j'en crois le bruit des clefs, contre le comptoir de la cuisine. Alors, on lui racontait notre journée, pendant, qu'il nous racontait la sienne, et à quel point elle était ennuyeuse sans nous. Il n'avait plus de réel occupation, et faisait toujours les mêmes choses, il se lasse de tout ça, et je ne pouvais que comprendre. Et dans le lit, je voulais lui poser cette question, idiote et qui n'arrivera sûrement jamais, mais possible :

Si je te disais que je te quitte, que dirais-tu ?

Je te dirais QUOIIIIIIII fait-il prenant un regard choqué. Je me mets à rire, avant de dire :

Non plus sérieusement.

Je te demanderais Pourquoi fait-il.

Je te dirais que je ne t'aime plus, qu'est-ce que tu répondras.

J'essayerais de te plaire à nouveau, et si tu ne veux toujours pas de moi, je te laisserais tant aller. en Gardant le souvenir qu'un jour tu m'as aimé.

Oh... Ouah dis-je en souriant,

Pourquoi cette question, demande-il, alors que ma tête est sur son épaule, et qu'il me caresse le dos, du bout de ses doigts.

Pour savoir, je me posais juste la question,

tu n'as pas prévu de t'en aller si ?

Non, promis dis-je en embrassant le bout de son nez,

Tant mieux fait-il en plongeant son regard dans le mien, la lune éclairer nos visages,

Pourquoi ?

parce que je préfère quand tu es avec moi.

Je me mets à sourire, avant de l'embrasser tendrement. 

falling ( dispo sur amazon )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant