Gabriel est journaliste, Jordan travaille dans le commerce. Ils ne s'apprécient pas mais continuent malheureusement de se croiser souvent...
2 hommes qui tentent de survivre à cette conquête du désir...
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Je crois que la question du dernier chapitre vous a tous mis d'accord.. Donc le peuple réclame et l'autrice vous donne ce que vous voulez 🤓
Ce chapitre devait être en deux parties mais je n'ai pas réussi à me résoudre à le couper en deux. Je voulais vous donner toutes ces informations d'un coup. Donc régalez vous avec ces plus de 13k mots.
Bonne lecture 🫶🏻
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« Alors, qu'est-ce que tu vas faire, Gabriel ? Vas-tu céder ou vas-tu continuer à jouer à ce petit jeu ? »
...
Gabriel sentit un frisson violent s'emparer de lui à cette question, un feu qu'il ne maîtrisait qu'à peine consumant son cœur. Le battement de ses tempes trahissait une excitation qu'il ne voulait pourtant pas offrir si facilement. Il avala difficilement, ses yeux perçant ceux de Jordan avec une intensité qui oscillait entre désir brûlant et provocation insolente.
Il n'était pas prêt à céder. Pas encore. Pas sans s'amuser un peu plus.
« Céder ? » répéta Gabriel d'une voix basse, caressante, un sourire carnassier s'étirant sur ses lèvres. « Je crois que tu oublies à quel point j'aime jouer avec toi, Jordan. »
Avec une lenteur exquise, calculée pour torturer, il réduisit la distance entre leurs corps. L'étoffe de leurs vêtements se frôla, se froissa, et les mains de Gabriel, douces et taquines, glissèrent avec une précaution délibérée sur la chemise entrouverte de Jordan. Ses doigts effleurèrent la peau brûlante sous le tissu, titillant chaque muscle tendu avec une promesse silencieuse. Il inclina la tête juste assez pour que leurs lèvres se touchent presque, une tentation suspendue à un souffle.
« Tu crois peut-être que je vais flancher... » murmura Gabriel, sa voix vibrante d'une séduction douce-amère, ses lèvres effleurant celles de Jordan sans jamais les capturer. « Mais regarde-toi... ton corps te trahit déjà. Chaque fibre en toi crie mon nom. »
Le rire de Jordan fut un grondement rauque, profond, un écho de désir presque primal. Ses mains, jusque-là prudentes, s'aventurèrent sur les hanches de Gabriel, ses doigts fermement ancrés dans le tissu, tirant le pull vers lui, rapprochant leurs corps jusqu'à rendre chaque souffle insupportable de tension.
« Tu te crois malin. » souffla-t-il, sa bouche si proche que leur chaleur se confondait, leurs lèvres s'effleurant à peine. « Mais je connais tes failles... et je sais parfaitement comment t'amener à t'effondrer. »
Les doigts de Jordan glissèrent lentement, langoureusement, dessinant une ligne brûlante le long de la ceinture de Gabriel, s'arrêtant juste à la lisière de son jean, une menace délicieusement dangereuse. Gabriel frissonna, l'électricité courant sous sa peau, mais son rire étouffé éclata, teinté de défi.