La fourberie

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- Baises-moi, lui dis-je avant même qu'il n'ait eu le temps de sortir de la pièce.

- Très bien, répondit-il en refermant la porte qu'il venait d'ouvrir.

Il s'approcha de moi et plongea ses yeux dans les mien, son regard avait un côté bestial empli de désir. J'avais l'impression d'être une proie prête à se faire dévorer. Et ça m'excitait.

Arrivé à mon niveau il détacha mes chevilles de la barre de fer et me fit me lever pour me guider dans une autre partie de la pièce. Il me fit m'installer à 4 pattes sur une sorte de banc, il attacha mes jambes aux reposes pieds du banc, puis me dit d'allonger le haut de mon corps sur la partie principale. Au bout il y avait un pilori dans lequel il sécurisa juste ma tête, mes mains étants toujours prisonnières de la camisole.

Il baissa son pantalon ainsi que son boxer devant moi, j'étais pile à la bonne hauteur pour ne voir que son membre tout dur qui pointait vers moi.

- Ouvres la bouche, me dit-il d'un ton sec.

Je m'exécutais et il aventura son penis au fond de ma gorge, il en testait la profondeur et s'arrêta quand je commençais à sérieusement m'étouffer.
Il débuta des mouvements de va et vient, je faisais ce que je pouvais pour lui donner le plus de plaisir possible mais n'ayant que ma langue pour seul membre libre de ses mouvements, l'épreuve était difficile. Il accélérait le rythme au point que ma langue ne savait plus du tout quoi faire et que le fond de ma gorge commençait à s'irriter, je commençais à comprendre que, lui dans ma bouche était la seule baise dont j'aurais le droit aujourd'hui et je m'insultais intérieurement d'avoir été assez naïve pour penser qu'il voudrait bien me donner du plaisir après ce que j'avais fait dans l'après-midi.
Après un temps que j'ai jugé interminable, Richard arrivait à la jouissance, il crachait tout dans ma bouche, me sommant d'avaler.

Après ça, il remonta son pantalon et sorti de la pièce, me laissant attachée, le cul a l'air, sans pouvoir bouger un petit doigt. Mes bras étaient engourdis, écrasés sous le poids de mon corps.
De longues minutes plus tard il revint dans la pièce, il faisait je ne sais quoi derrière moi, la seule chose dont j'étais sûre était qu'il avait pris une douche, l'odeur de son gel douche embaumait la pièce et ravi mes narines.

Je sentis un objet froid rentrer dans mon anus et entendis Richard pomper le dit objet, le faisant gonfler en moi. Quand il fut assez gonflé pour commencer à me faire mal je gémissais de douleur et il arrêta de pomper. Il enclencha le lavement et je commençais à sentir le liquide chaud se déverser en moi.

Arrivé à la fin du lavement, j'avais l'impression que j'allais exploser, mon ventre se tordait de douleur à tel point que j'en avais des sueurs froides.
Richard me dit qu'il allait laisser le plug gonflé pendant un petit moment pour que tout fasse bien effet, je le maudissais intérieurement.

Il me remis de la crème sur les fesses et sur mes parties intimes aussi, en vue de remettre une couche. 
Il me détacha ensuite et me fit m'allonger sur le dos au sol, plus pratique pour mettre la couche correctement. La couche était doublée d'une deuxième couche, ainsi que d'un insert, c'était énorme.
En refermant la première couche, Richard me dit qu'il allait dégonfler le plug et l'enlever mais que j'avais intérêt à me retenir de lui faire sur les doigts et idéalement jusqu'à ce qu'il ai fini de mettre mes couches.
Quand le plug fut retiré je du lutter fort pour que rien ne s'échappe de mon anus, une fois la main de Richard sortie de la couche, je ne pu retenir un jet qui s'échappait de moi. Il referma vite les couches, me conseillant de ne pas tout sortir d'un coup et d'y aller petit à petit pour laisser à la couche le temps de tout absorber car sinon c'était le débordement assuré et même en cas de débordement, je ne serai pas changée avant le lendemain matin.
Il était tout juste 18h30, la nuit allait être longue.

Je suivais ses conseils mais la couche se remplissait vite, quand il eut fini d'enfiler la culotte plastique et de sécuriser les sangles de la camisole entre mes jambes, l'odeur nauséabonde avait pris le relais de l'odeur du gel douche de Richard et je pouvais sentir que la matière s'était étalée partout dans la couche.
Il m'aida à me relever, je ne pouvais pas fermer les jambes et marchais en canard. Je lui dis que je n'allais pas pouvoir descendre les escaliers seule, je n'avais aucun équilibre sans mes bras.

- Tu les descends sur les fesses, pas besoin d'équilibre pour ça, me répondit-il avec un sourire en coin.

Quel sadique ! Je n'avais pas le choix que de le faire, m'asseoir et me laisser glisser sur les marches me rappelait bien le martinet de plus tôt et permettait aussi à l'intérieur de ma couche de s'étaler un peu plus en moi.
Une fois en bas il me dit de m'installer dans le canapé le temps qu'il prépare à manger. Il n'e m'aida pas à me mettre debout et je du tant bien que mal me mettre sur les genoux et avancer comme ça jusqu'au canapé. L'escalade du canapé ne fut pas simple non plus mais j'étais soulagée une fois installée.

Le repas se passa sans encombre et après celui-ci, je dû aller au lit de suite.
La nuit fut en effet très longue et inconfortable.

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