Chapitre 13 ~00:20:00~

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Il ne reste plus que 20 minutes YAY
☺☺

→↓BONNE LECTURE↓←

Nous continuons notre marche comme au début.

Notre "chauffeur" nous a déposé un peu plus loin de la société pour continuer à pieds pour ne pas paraître louche ni être repérés par les caméras de sécurité.

Avec un peu de chance, nous pourrons nous en sortir. Dans le cas contraire, je ne saurais point quoi faire.

Alex ne semble pas être gêné par la marche, quant à moi, j'ai terriblement mal aux pieds car, contrairement à lui, je ne suis pas une grande "sportive".

Tout à coup, un son me fait sursauter. Un son qui paraît normal pour d'autres personnes, mais moi, il me rappelle que ma fin approche.

C'est 'mon' portable qui sonne.

J'ouvre mon sac et le prends pour ensuite le tendre à mon oreille qui ne fait que récolter les informations que m'a donné la personne à l'autre bout du fil.
Cette dernière ne m'a guère laissé le temps de répondre même pas par un simple "oui'.

_"Alors?"

Alex m'interroge en savant tout à fait qui vient d'appeler.

_"Ils veulent que nous puissions être capable de mettre cette bombe à l'intérieur ou au moins à côté de la porte de la salle où se trouvera le ministre pas seulement n'importe où au huitième étage. Ils veulent être sûr qu'il sera l'une des premières personnes mortes lors de l'explosion" je prends une pause avant de continuer "Nous devons nous assuré qu'il soit tué. Donc, en gros , nous devons-"

Alex me coupe la parole :

_"Mourir nous aussi" .

Je hoche positivement la tête en baissant cette dernière et je ne peux pas m'empêcher de me sentir coupable.

_"Je suis vraiment désolé de t'avoir embarqué dans cette situation. Je... Tu ne mérites pas ça. Tu as encore une chance de t'en sortir... Juste... Laisses - moi et-"

_"C'est bon. Tu n'a pas à être désolé. Et je ne partirai pas"

Il me regarde et me sourit.

Comment une personne peut sourire dans ce genre de situation ?

Je lui rends un sourire faible.

Nous avançons jusqu'à ce que je me rende compte qu'en moins de cinq minutes, nous arriverons à la société.

Mais je ne peux tout de même pas m'empêcher d'avoir des frissons à cause du fait que le lieu où nous sommes est absolument vide.

J'entends un bruit d'une moto un peu plus loin derrière nous .

Le bruit se rapproche et en un clin d'œil, le sac m'est retiré.

Mais qu'est-ce qu'ils ont tous avec mon sac?!

90 minutes pour mourir [EN CORRECTION ET RÉÉCRITURE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant