Je marche dans la ruelle, juste en face de ma maison. Mes joues toujours recouvert de larme. Je renifle en essuyant mes larmes.
Une voiture Noire, et familière s'arrête juste devant moi. L'homme de la voiture ouvre la fenêtre et quand je m'attendais à voir William, c'est son chauffeur que je vois.
Il me regarde avec pitié. Je m'approche de lui.
Mia- ne dite pas à Monsieur Johnson que je pleurais... Il va s'inquiéter pour rien...
Chauffeur- Madame... Toute mes excuses.
La fenêtre arrière s'ouvre sur le visage de William agacé.
William- tu voulais me caché ça ?!
Il sort de la voiture d'un mouvement fluide. Il claque la porte de la voiture puis s'approche de moi. Sur le moment je recule, je suis intimidé, ou nerveuse de le voir comme ça. De toute façon c'est toi qui l'a rendue comme ça~ je glousse.
William- pourquoi pleures-tu encore ?! Tu voulais me le cacher ?! Tu me fais pas encore confiance ?!
Il continue de s'énerver tout en criant.
Ce qui me fait sangloter.
Mia- si je voulais pas te le dire c'est pour pas que tu t'inquiètes ! J'en ai marre de la famille Johnson ! Y'a que ta mère et ton père qui son normal ?!
Une nouvelle crise m'envahit. Je tremble et ne sais plus comment respirer. Je tousse tout en tremblant.
Je pose un genoux à terre. Je ne sais plus tenir sur mes jambes.
Chauffeur- vous voulez que j'appelle les pompiers, monsieur ?!
William dit non de la tête et me prend dans ses bras. Je continue de trembler et de tousser, mais je ne peux m'empêcher de le serrer en retour. Je me sens faible. C'est parce que tu es faible. William fait taire ma conscience en embrasent mon front ainsi que mes larmes. Il me berce légèrement. Ma crise ce calme peu à peut. Mes yeux son de plus en plus lourd. Je me laisse engloutir par le sommeil.
Pendant que je dort, je sens William me porter et m'allonge dans sa voiture.
Quelque heure plus tard ~
Je me réveille dans un lit immense. En regardant le plafond, je remarque qu'il n'y a pas mes étoile qui s'allume dans le noir. Épuisé de cette crise, je me tourne pour voir William sur un fauteuil, les jambes écartées entrain de lire son journal.
Je lâche un petit «on dirai un papy»
William baise son journal, me laissant voir un William calme, avec des lunettes de repos noir et un cigare à la bouche.
Je sourit.
Mia- j'ai raison, un vrai petit vieux.
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un amour interdit.
RomanceC'est une histoire d'amour entre son prof et une élève. L'histoire est très compliqué et semé d'embûches. Cette histoire d'amour est Complexe et fait beaucoup réfléchir. Elle montre l'histoire d'un prof impulsifs et une élève torturé mentalement. E...
