《pourquoi il a fallu que ce soit sur lui que ça tombe ? Le cœur a ses raisons que la raison ignore.》imany♡
[ EN COURS ]
Cette histoire est complètement fictive
🔞Elle comporte des scène à caractère explicite
❌️ pas de plagia je vous vois .
Et plus...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je me sentais vide. Complètement vide. Comme si tout ce que j'étais avait été emporté par la violence de ses actes. En marchant vers la maison, je n'entendais plus rien, je ne voyais plus rien. Le bruit de mes pas, les voitures qui passaient, les rires au loin... tout semblait si loin, si irréel. Mon corps avançait mécaniquement, mais mon esprit était ailleurs, enfermé dans cette douleur sourde qui ne voulait pas partir.
Je voulais crier. Hurler. Mais aucun son ne sortait. À la place, cette voix dans ma tête revenait encore et encore :
C'est ta faute. T'aurais dû te défendre. Pourquoi tu n'as rien fait ?
Ces mots me broyaient. Ils tournaient en boucle, m'écrasant un peu plus à chaque fois. Mais comment aurais-je pu ? Je m'étais sentie si faible, si petite. Il avait tout pris. Tout ce que j'avais de plus précieux.
Quand je suis arrivée devant la porte de chez moi, j'ai inspiré profondément, essayant de rassembler les morceaux de mon courage pour ne pas montrer ce qui m'était arrivé. Je ne voulais pas que ma mère voie, qu'elle devine. Je ne voulais pas qu'elle porte ce poids avec moi.
Dès que j’ai ouvert la porte, l’odeur du yassa m’a frappée. Habituellement, ça m’aurait donné le sourire, mais là, c’était comme une gifle. Une bouffée de chaleur mêlée à un sentiment de nausée.
Ma mère m’a accueillie avec son sourire habituel, mais je voyais dans ses yeux qu’elle était fatiguée, probablement encore préoccupée par papa.
Mama - Imany, ma fille, tu as pris ton temps ! Pose ça sur la table et viens m’aider à couper les oignons.
J’ai hoché la tête, évitant de croiser son regard. Je savais que si elle voyait mes yeux, elle poserait des questions, et je ne savais pas quoi répondre.
J’ai posé le sac, murmurant un faible
Moi - Je vais d’abord me reposer un peu.
Elle m’a regardée, intriguée, mais n’a rien dit.
Je suis montée dans ma chambre et, dès que j’ai fermé la porte, je me suis laissée tomber par terre. Les larmes que je retenais depuis tout ce temps ont commencé à couler. Au début, elles étaient silencieuses, puis elles sont devenues incontrôlables. Je pleurais, non seulement pour ce qu’il m’avait fait, mais pour tout ce que j’avais perdu. Mon innocence, ma sécurité, mon estime. Tout semblait brisé.
