《pourquoi il a fallu que ce soit sur lui que ça tombe ? Le cœur a ses raisons que la raison ignore.》imany♡
[ EN COURS ]
Cette histoire est complètement fictive
🔞Elle comporte des scène à caractère explicite
❌️ pas de plagia je vous vois .
Et plus...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
𝐃𝐄𝐔𝐗 𝐒𝐄𝐌𝐀𝐈𝐍𝐄 𝐏𝐋𝐔𝐒 𝐓𝐀𝐑𝐃
Deux semaines étaient passées, et malgré les efforts pour avancer, une douleur sourde persistait en moi. Chaque jour semblait une lutte silencieuse. J'avais essayé de continuer, de sourire, mais les cicatrices laissées par Zyran restaient invisibles mais profondes. Les conversations, les rires avec mes amies, tout semblait si lointain parfois, comme si la vie continuait sans moi.
Ce soir-là, Shaima et moi rentrions chez moi après une petite sortie. J'étais fatiguée, mais je n'avais pas encore le courage de me laisser aller. En traversant la rue, mon regard s'est posé sur une silhouette familière. Zyran. Il était là, juste en face de moi, discutant avec un groupe d'amis. Je le voyais, mais il ne m'avait pas remarquée.
Instantanément, la panique m'a envahie. Mon cœur s'est emballé, l'air m'a manqué, et j'ai senti que mes jambes devenaient en coton. Mon corps réagissait bien plus vite que mon esprit, et je ne pouvais plus respirer correctement. C'était comme si tout ce que j'avais essayé de fuir, de cacher, revenait à la surface en un instant.
Shaima, voyant ma pâleur soudaine et mon souffle devenu erratique, s'est immédiatement tournée vers moi, inquiète.
Shaima - Imany, qu'est-ce qui se passe ? T'es pâle, tu vas bien ?
Je n'ai même pas eu le temps de répondre. Tout ce que je pouvais faire, c'était me tourner précipitamment, attraper Shaima par le bras et l'entraîner vers le parc tout proche. Là, dans le calme de l'endroit désert, j'ai enfin trouvé un peu d'air. J'étais tremblante, je pouvais à peine tenir debout.
Shaima - d'une voix tremblante Imany, dis-moi ce qui ne va pas. Ça me fait peur de te voir comme ça...
Elle me regardait avec des yeux pleins de craintes. C'était elle, mon amie, celle qui savait que quelque chose n'allait pas, mais jamais elle n'aurait imaginé l'ampleur de ma souffrance. Je ne pouvais plus la cacher. Il fallait que je parle, que je libère tout ce poids.
Je me suis assise sur un banc, les mains tremblantes, et j'ai regardé Shaima, les yeux remplis de larmes. Finalement, la vérité est sortie, brisée, soufflée entre mes lèvres.
