Divergente : Le 4 ème test .

Chapitre 2 : Le réveil.

Pdv de Tris.

Et c'est là que je me réveille.

- Chers Audacieux, c'est ici que s'achève l'initiation de cette année. Ce quatrième test ne changera pas l'ordre du classement final. Mais sachez que vos réactions ont été enregistrées et classées dans vos dossiers respectifs, s'expliqua Max.

- Mais à quoi a servit ce test alors, nous demanda Will.

- Je ne sais pas, répondis-je en même temps que Christina.

- Bien, demain vous choisirez votre métier, nous dit Max, sur ce à demain.

La faction entière se mît à applaudir et à crier en tapant sur les tables. Je vis Tobias en me tournant et partis le rejoindre.Quand il me vit son visage s'éclaira. Je m'élance dans ses bras et il m'embrasse. Quand je m'écarte pour croiser son regard, je vois une larme couler sur son visage. Je l'efface et lui dit :

- Quatre, pourquoi pleures-tu ?

Nous sommes au milieu d'une centaine d'Audacieux, donc je suis obligée de l'appeler comme ça. Il me lançe un regard interrogateur et je lui répond en lançant des regards autour de nous.

- On va au Gouffre ? Me demande-t-il.

J'hoche la tête en signe d'affirmation. Nous allons, main dans la main, au Gouffre. Une fois arrivés, nous descendons jusqu'à notre rocher et nous y asseyons.

- Alors tu vas me le dire maintenant ? Demandé-je.

- Oui, me répond-il, en fait les instructeurs aussi devaient passer dans cette simulation et quand tu t'es prise la balle dans l'épaule, j'ai eu peur pour toi. Ce n'est rien de grave.

Il s'est inquiété pour moi, c'est pour ça qu'il pleurait.

Toute l'inquiétude que j'ai accumulée s'envole comme par magie et je ras lui saute dans les bras. Comme il ne s'y attendait pas, il bascule en arrière et se retient en s'accrochant à mes avants-bras ce qui me fit également basculer. Je me retrouve donc sur lui. Il rit en me serrant dans ses bras, on reste comme ça un long moment dans un silence confortable qui fut couper par mon estomac qui gargouille.

- Tu veux qu'on aille manger ? Me demanda-t-il.

- Oui.

Nous nous dirigeons au self. Nous nous servons et nous attablons avec nos amis qui nous saluent et puis ils repartent dans leurs conversations. Je me mis à parler avec Christina du test.

- Je me demande vraiment pourquoi ils ont fait ce test ? Me demande Christina.

- Je n'en sais pas plus que vous. Lui répondis-je en secouant la tête.

- Oui, mais on sait jamais, avec ton petit ami qui était notre instructeur. Me dit-elle.

- Ce n'est pas parce que c'est mon copain qui était notre instructeur qu'il sait tous ce qu'il se passe ici. Ok ?

- Ok. Mais je me demande si tu n'es pas arrivée première pour ça.

Et c'est à ce moment là que Peter passe derrière notre table et s'incruste dans la conversation :

- Oui je suis totalement d'accord avec Christina s'il n'était pas son copain, elle ne ferait pas partie des Audacieux. Elle aurait été exclue et se serait retrouvée Sans-Faction.

- Alors là vous vous trompez sur toute la ligne, même si je n'avais pas été là elle aurait réussi. Et je n'accorde jamais de traitement de faveur pour qui que se soit. Leur dit Tobias.

Puis, avec Tobias, après avoir mangé, nous partons en direction du dortoir, mais en empruntant des couloirs vide et dans un silence agréable.

D'un coup, il le rompit :

- Tris ?

- Oui Tobias, répondis-je.

- Tu veux bien rester avec moi cette nuit, s'il te plait ?

- Bien sûr mon amour, lui répondis-je.

"Mon amour", quelle idiote je suis !

- Tu viens de m'appeler "mon amour" ? Me demande-t-il.

- Non, je ne vois pas de quoi tu parles, dis-je d'un air innocent qui aurait été crédible si je n'étais pas rouge comme une tomate.

- Il se pourrait bien j'aime ce surnom, me dit-il. Allez, vient il est deux heures du matin, on va se coucher.

On entra dans son studio, et, comme je suis passée par le dortoir avant de venir, je mets mon pyjama.
Ce soir, je vais dormir dans les bras de l'amour de ma vie.

Que demander de plus ?

- C'est pareil pour moi, s'exclama-t-il.

- J'ai parlée à voix haute, lui demande-je (inutile de vous dire que je suis rouge de honte).

- Oui, me répond-il simplement. Bonne nuit mon cœur, me dit-il amoureusement.

- Bonne nuit mon amour, lui répondis-je. Je t'aime, lui dis-je sur le même ton.

- Moi aussi je t'aime Tris, me répondit-il.

Et je m'endors dans ses bras.