Divergente : Le 4 ème test .

Chapitre 8 : Ensemble

Alors est-ce que vous avez eu peur dans le chapitre précédant ? J'espère que oui ( sadique ). Bon je vous laisse découvrir le chapitre.

Bonne lecture !

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Pdv de Tobias.

Quand je me réveille, Tris dort toujours. Je décide d'aller prendre une douche, puis une fois lavé et habillé, je vais préparer le petit déjeuner pour Tris et moi. Pendant que je le prépare, elle arrive par derrière et m'enlace de ses petits bras et me dit :

- Tu as bien dormi ?

- J'aurai pu mieux dormir, mais ce n'est pas grave, lui répondis-je.

- Désoler, dit-elle d'un air vraiment sincère comme à chaque fois, mais ce rêve enfin ce cauchemar avait l'air si réel.

- Je t'ai dit que ce n'était pas grave.

On reste un petit moment comme ça à se regarder, puis elle coupe le silence.

- Tu ne trouve pas que ça sens le brûlé ? me demande-t-elle.

Je me retourne en quatrième vitesse pour voir que les crêpes ont brûlées.

- Et ben merci ! m'exclame-je.

- Eh ne t'en prends pas à moi ce n'est pas moi qui n'ai pas fait attention à ce que je faisais avant c'est toi, me répondit-elle.

- Tu vas pouvoir aller t'habiller.

- Et pourquoi ?

- Parce que si tu veux manger quelque chose de bon, on va devoir aller au self, lui répondus-je.

- Ha ok, j'arrive.

Une fois que Tris est prête, nous partons à la cafétéria. Une fois servit, nous nous mettons à table avec nos amis. Et comme Uriah ne sais pas se retenir il lâche :

- Ah, vous voilà enfin, s'exclame-t-il.

- Mais enfin Uriah, le réprimande Marlène.

- Ben quoi ? demande ce dernier.

- Si ils ne venaient pas, qu'est-ce ce que ça aurait pu te faire ? lui demande Christina.

- Ça fait que je n'aurais pas vu ma meilleure amie au p'tit déjeuner, lui répondit Uriah.

- Mais Uriah, ça ne se fait pas ! Réplique Marlène.

De son côté, Uriah ne trouve rien à ajouter. Et toutes les conversations reprennent.

Pdv de Tris.

Une fois notre repas terminé, nous retournons chez nous. En arrivant à la maison, je vais dans le salon et Tobias ferme la porte avant de prendre ma suite. Nous nous asseyons sur le fauteuil et Tobias m'attire à lui et me serre dans ses bras ; comme s'il avait peur que je m'en aille. Nous restons dans cette position un petit moment, dans un silence confortable.

- Et si tu me racontais ce qu'il s'est passé cette nuit ?

- Si tu veux... Lui dis-je en soupirant.